OeuvreĂ©crite par la Divine Sagesse pour les Ă©lus des derniers temps Marie trĂšs sainte 13.12.11- Enfants du monde, prĂ©parez votre coeur Ă  la grande fĂȘte de NoĂ«l, pas seulement avec des dĂ©corations, pas avec des ornements extĂ©rieurs, mais surtout ornez-le Ă  l’intĂ©rieur et faites-le splendide pour accueillir JĂ©sus Qui vient avec Ses Dons merveilleux.
1 Maintenant Ă©veillĂ©s et avertis de ce qui va bientĂŽt se produire, vous devez accepter l'accomplissement de la prophĂ©tie, ne serait-ce que pour vous protĂ©ger de la grande colĂšre de Dieu. Consolez-vous en pensant que tous les mondes du ciel passent par ce redoutable moment, car il n'y a point d'autre façon de faire revenir l'homme Ă  son crĂ©ateur. Acceptez donc ce qui arrive. Souhaits et craintes du Fils 2 La souffrance de l'Ăąme est le meilleur guide de l'homme car, au-delĂ  des blessures et des maux de guerre, elle le tirera toujours vers la lumiĂšre et la paix. C'est pourquoi de catastrophes en douleurs et d'injustices en dĂ©sespoir, vous viendrez Ă  moi sans qu'il soit besoin de vous pousser. Chacun sait que je ne dĂ©sire la perte de qui que ce soit, mais que le pĂ©cheur sorte de son aveuglement et qu'il vive ! Or me prĂȘterez-vous seulement l'oreille, vous qui gĂ©missez dans ce monde ? Ce n'est point contre vous que la fureur de Dieu est dirigĂ©e, mais contre ceux qui vous font du mal Voici sur qui je porterai mes regards, dit l'Éternel, Sur celui qui souffre et qui a l'esprit abattu, Sur celui qui craint ma parole. Celui qui craint Sa parole est aussi celui qui Ă©coute Ses envoyĂ©s, les prophĂštes. Je vous conseille alors d'ĂȘtre attentifs et vigilants, car si vous persistez Ă  hausser les Ă©paules lorsqu'on vous explique qu'en vous Ă©tant Ă©loignĂ©s de la lumiĂšre vous vous ĂȘtes enfoncĂ©s dans les tĂ©nĂšbres, et si vous continuez Ă  tirer la langue quand on vous montre que ce sont vos pensĂ©es et vos oeuvres qui amĂšnent la fin, alors vous ne pourrez voir dans quel temps vous ĂȘtes et ce qui va arriver. 3 Cependant, plusieurs Ă©lĂšveront la voix pour me combattre. Ils diront celui qui s'adresse au monde aujourd'hui avec son livre n'est pas le Fils de l'homme ! car JĂ©sus l'annonce pour le dernier jour, lorsqu'il y aura tous les signes de la fin ! AssurĂ©ment, ce monde ne me porte pas toujours Ă  la tristesse... Si donc celui qui tient les sept Ă©toiles dans sa main vous Ă©claire et vous ressuscite, vous sĂ©pare des impies et vous met Ă  l'abri aprĂšs avoir vaincu le monde, n'est-ce pas suffisant pour voir en lui le Fils de David ? A quoi d'autre peut-on le reconnaĂźtre Ă  ses pieds, Ă  ses mains, Ă  ses cheveux, Ă  sa barbe ? Gens aveugles, priez plutĂŽt pour que ce soit lui qui vous reconnaisse au milieu des boucs ! 4 Et si d'autres proclament autour de vous Le Fils de l'homme n'est pas annoncĂ© pour le jour oĂč le fer rĂšgne sur la Terre ! Vous leur rĂ©pondrez, vous qui avez lu ce qu'est le songe de Daniel, le prophĂšte s'il ne se lĂšve pas lors du rĂšgne du fer qui donne l'impression de force, alors qu'il rend le monde comparable Ă  une grande statue ayant des pieds d'argile, et pendant que l'argent et l'or perdent Ă©galement le monde, quand donc peut-il se lever ? Si vous persistez Ă  croire que l'avĂšnement du Fils de l'homme a eu lieu il y a deux mille ans et non aujourd'hui, vous allez pĂ©rir. Par JĂ©sus, Jean vous a prĂ©sentĂ© son image, son personnage et ses travaux deux mille ans avant sa venue, pour qu'Ă  son arrivĂ©e soudaine chacun sache qui il est. C'est pour cela que JĂ©sus rĂ©pond Ă  ceux qui l'interrogent sur sa prĂ©sence Allez rapporter Ă  Jean ce que vous avez vu et entendu les aveugles voient, les boiteux marchent, les lĂ©preux sont purifiĂ©s, les sourds entendent, les morts ressuscitent, la bonne nouvelle est annoncĂ©e aux pauvres. Heureux celui pour qui je ne serai pas une occasion de chute ! 5 Je vous demande cependant de respecter la volontĂ© de chacun et de ne forcer personne Ă  me suivre. Veillez aussi Ă  ne point partager vos repas avec mes ennemis qui dĂ©libĂ©reront pour me faire mourir. Je parle de ceux qui composent les sept tĂȘtes du dragon qui est le diable, c'est-Ă -dire des sept catĂ©gories d'hommes dĂ©jĂ  Ă©noncĂ©es, qui rĂšgnent en croyant possĂ©der la Terre et ses habitants. En Ă©tant plus rusĂ©s que les renards, ils se sont nourris de votre chair jusqu'Ă  prĂ©sent, et vous y consentiez par les fascinations qu'ils exerçaient sur vous. Par prudence, Ă©loignez-vous d'eux dans ces derniers jours, car vous savez oĂč ils emmĂšnent le monde. 6 AprĂšs avoir lu les Écritures, et notamment l'apocalypse que Jean explique sous voile, pourquoi tiendriez-vous encore Ă  vos coutumes, Ă  vos conceptions du monde et Ă  vos projets, puisqu'il est Ă©crit que vous allez vous retrouver comme aux origines oĂč les hommes Ă©taient plus rares que l'or fin ? Pensez que les grandes villes seront dĂ©sertĂ©es, et que celles qui ne seront pas dĂ©truites, n'auront plus que des ronces, des rats et des chauves-souris pour habitants. Alors, au lieu de vous attacher aux traditions et aux coutumes qui ont apportĂ© la fin, mettez plutĂŽt la main dans mon cĂŽtĂ©, comme Thomas qui montre l'exemple. 7 Dans ces temps difficiles de la fin, l'homme est aux prises avec beaucoup d'incertitudes. Mais il a aussi des certitudes, comme les jours et les nuits qui se succĂšdent invariablement, ou comme l'amplification du mal qui amĂšne forcĂ©ment la fin du monde bĂąti sur le mensonge. Il y a donc ce que l'on peut nier et ce qui est indĂ©niable. Et le saccage de la Terre est un mouvement irrĂ©versible vers la fin qui ne peut ĂȘtre niĂ© que par ceux qui n'ont plus de luciditĂ©. 8 L'Écriture annonce encore, par Paul Sachez que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront Ă©goĂŻstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains, blasphĂ©mateurs, rebelles Ă  leurs parents, ingrats, insensibles, dĂ©loyaux, irrĂ©ligieux, calomniateurs, intempĂ©rants, cruels, ennemis des gens de bien, traĂźtres, emportĂ©s, enflĂ©s d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piĂ©tĂ©, mais reniant ce qui en fait la force. Éloigne-toi de ces hommes-lĂ . Parce que nous sommes dans ces fameux derniers jours Ă©voquĂ©s par Paul, les hommes sont bien tels qu'ils sont qualifiĂ©s. Je cite ce passage de l'Écriture pour montrer aussi ce que vous deveniez dans vos villes au soir du monde car, aprĂšs moi, il n'y aura plus personne pour vous relever. 9 Si un vieil homme voyait qu'une ville allait ĂȘtre engloutie par un glissement de terrain, il dirait Ă  son fils mon fils, hĂąte-toi d'aller expliquer aux gens de la ville qu'ils vont ĂȘtre ensevelis s'ils n'en sortent pas. Alors ce fils s'empresserait d'aller avertir les gens. Il craindrait toutefois qu'aprĂšs avoir fait Ă©vacuer rapidement les habitants, le glissement de terrain tarde Ă  se produire et que les gens le traitent de menteur. Cette crainte qui est celle de Jonas est la mienne, parce que j'annonce la destruction prochaine des villes sans en connaĂźtre le moment exact, seul Dieu le sait. Mais l'introduction de la vĂ©ritĂ© dans le monde par le Fils annoncĂ©, signifie qu'il n'y a plus de dĂ©lai pour cet accomplissement. 10 En ce qui concerne Jonas dans l'Écriture, qu'aviez-vous cru ? Sachez que Jonas dans un grand poisson, signifie le Fils de l'homme dans le personnage du Christ, qui est ce grand poisson, et non ce que vous lisez dans le sens de la lettre. Tout ce que vit Jonas, qui s'en va dire aux habitants de Ninive que la fin de leur ville est proche, est ce que je vis en vous annonçant ce qui va arriver prochainement Ă  la grande ville. Croyez cela, car vous n'aurez pas d'autres signes de l'accomplissement de la prophĂ©tie que celui que vous donne Jonas, dans la cabane duquel je me trouve. C'est aussi ce que rĂ©pond JĂ©sus Ă  ceux qui lui demandent un signe leur montrant clairement ce qui va se produire. Il leur dit Vous n'aurez pas d'autres signes que Jonas. 11 Pour comprendre l'Écriture, je dis encore que lorsque l'Éternel me fit connaĂźtre ce qui allait arriver aux villes, comme Jonas, je tentai de m'enfuir loin de Sa face. Mais je vis qu'un vent impĂ©tueux s'Ă©tait levĂ©, menaçant de faire pĂ©rir le monde, ainsi que je l'ai expliquĂ© dĂšs le dĂ©but. Et, comme Jonas et JĂ©sus le font, je m'endormis profondĂ©ment. Cela dura jusqu'Ă  ce que l'on me rĂ©veille pour calmer la tempĂȘte et pour sauver ce qui ne devait point pĂ©rir. 12 Ceci est pour expliquer ce que vous lisez de Jonas, dans l'ancien testament, et qui est aussi exprimĂ© de cette façon dans le nouveau testament Et voici, il s'Ă©leva sur la mer une si grande tempĂȘte que la barque Ă©tait couverte par les flots. Et lui JĂ©sus, il dormait. Les disciples s'Ă©tant approchĂ©s le rĂ©veillĂšrent et dirent Seigneur, sauve-nous, nous pĂ©rissons ! Comme JĂ©sus se rĂ©veille, Jonas se rĂ©veille et finit par se jeter Ă  la mer. Disons plutĂŽt qu'il y est jetĂ© pour calmer les vents et les flots. Cela signifie que sans mes prĂ©dĂ©cesseurs qui me poussĂšrent Ă  me jeter Ă  la mer pour apaiser la tempĂȘte et sauver le monde, je ne l'aurais point fait de moi-mĂȘme. Car l'ampleur de la tĂąche me paraissait beaucoup trop grande et difficile Ă  rĂ©aliser dans ce monde oĂč les hommes ne distinguent plus rien. Mais aprĂšs m'ĂȘtre jetĂ© Ă  l'eau comme Jonas ou comme Pierre, je me suis rapidement retrouvĂ© dans le personnage du Schilo, dans ce grand poisson qui me ramena sur terre pour Ă©clairer les nations et avertir les gens des grandes villes de ce qui allait leur arriver. 13 Vous avez lu, en Jonas, qu'il faut trois jours de marche pour traverser Ninive. Or, ces trois jours reprĂ©sentent une centaine de kilomĂštres d'Ă©tendue. Ce qui signifie que Ninive ou autres grandes villes des Écritures montrĂ©es en exemple, ne sont pas des villes rĂ©elles mais seulement les reprĂ©sentations de ce que sont les immenses villes d'aujourd'hui ; d'autant que dans les temps anciens, des villes aussi Ă©talĂ©es ne pouvaient exister. Comprenez alors ce que l'on vous explique avec patience. 14 Connaissant l'Ă©volution des mondes du ciel, je sais que la fin viendra dĂšs que la bonne nouvelle du royaume aura Ă©tĂ© prĂȘchĂ©e dans le monde entier. Mais avant de venir m'asseoir en face de vous, je me suis purifiĂ© l'esprit, comme le fait aussi Jonas avec le ricin que Dieu fit pousser sur sa tĂȘte. Car, faire lever la lumiĂšre sur le monde et sauver ceux qui sont sur le point de disparaĂźtre, ne peut se faire qu'avec un esprit purifiĂ©. Ce que vous pouvez Ă©galement entr'apercevoir dans cette citation de l'Écriture Le peuple de la contrĂ©e voisine de la mer, Du pays au-delĂ  du Jourdain, Et de la GalilĂ©e des Gentils, Ce peuple, assis dans les tĂ©nĂšbres, A vu une grande lumiĂšre ; Et sur ceux qui Ă©taient assis dans la rĂ©gion et l'ombre de la mort, La lumiĂšre s'est levĂ©e. La lumiĂšre est la reine du midi qui se lĂšve pour condamner le monde, et dont JĂ©sus parle par ailleurs. Mais cette parole de l'Écriture ci-dessus me remplit d'espoir quant Ă  votre entendement, car elle indique que vous ĂȘtes aujourd'hui en mesure d'ĂȘtre Ă©clairĂ©s et sauvĂ©s. 15 Connaissant la bontĂ© de Dieu et sa misĂ©ricorde, Jonas craint que la grande ville tarde Ă  ĂȘtre dĂ©truite. Voyant cela Dieu lui rĂ©pond Tu as pitiĂ© du ricin qui ne t'a coĂ»tĂ© aucune peine et que tu n'as pas fait croĂźtre, qui est nĂ© dans une nuit et qui a pĂ©ri dans une nuit. Et moi, je n'aurais pas pitiĂ© de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre ! 16 En vĂ©ritĂ©, ce n'est pas de Ninive en soi dont il s'agit, mais de la grande ville. Je vous le dis, dans peu de temps, vous saurez si Dieu a eu pitiĂ© ou non de ces grandes agglomĂ©rations composĂ©es d'hommes qui ne distinguent plus rien ! Mais, quoi qu'Il fasse, je vous conseille de quitter les grandes villes des plaines, car celles qui ne seront point dĂ©truites seront forcĂ©ment abandonnĂ©es. Qu'avez-vous alors Ă  gagner d'y demeurer plus longtemps ? 17 Que voit-on dans les villes si ce n'est, comme on l'a dit, des gens pressĂ©s qui vont et viennent pour s'entasser les uns sur les autres, et des mouvements de machines de fer qui occupent toute la place, qui tuent, perturbent, polluent, enfument, irritent, assourdissent, dĂ©chirent et corrompent les habitants ? Il n'y a point d'Ă©toiles visibles, ni de saisons, mais seulement du bitume, du ciment, des vapeurs nocives, des fumĂ©es, des immondices et des rats. 18 Alors qu'Ă  la campagne, les saisons marquent le paysage de leur empreinte et dictent les travaux ; le printemps rĂ©veille ce qui s'Ă©tait endormi durant l'hiver, les couleurs et les odeurs changent. Les animaux s'Ă©battent ; les arbres dĂ©couvrent peu Ă  peu leurs fleurs et leurs fruits ; l'air est transparent, les astres s'enorgueillissent dans le ciel. On procĂšde aux labours, aux semailles, aux moissons, aux fenaisons, aux cueillettes et aux vendanges qui sont autant de satisfactions et d'occasions de joie. L'ennui et la dĂ©solation ne sont point des mots que l'on prononce. 19 La bonne nouvelle du royaume de Dieu sera prĂȘchĂ©e dans le monde entier pour servir de tĂ©moignage Ă  toutes les nations. Alors viendra la fin. Et quand cette parole de JĂ©sus s'accomplira en tous pays, vous saurez alors qu'il s'agit d'un signe manifeste indiquant qu'il est l'heure de se retirer sur les hauteurs. Mais je vais vous montrer autre chose pour convaincre ceux qui rĂ©sistent encore opiniĂątrement. Souvenez-vous qu'en ce qui concerne la pĂąque, MoĂŻse dit Quand vous le mangerez l'agneau, vous aurez vos reins ceints, vos souliers aux pieds, et votre bĂąton Ă  la main prĂȘt Ă  partir ; et vous le mangerez Ă  la hĂąte. C'est la pĂąque de l'Éternel. L'explication de ceci est donnĂ©e aujourd'hui oĂč vous mangez l'agneau de Dieu Ă  la hĂąte, car le temps presse. Ainsi que nous l'avons dĂ©jĂ  expliquĂ©, c'est la pĂąque qui consiste Ă  passer du monde de tĂ©nĂšbres dans le monde de lumiĂšre. 20 JĂ©sus dit aussi Vous savez que la pĂąque a lieu dans deux jours ce qui signifie deux mille ans et que le Fils de l'homme sera livrĂ© pour ĂȘtre crucifiĂ©. Pourquoi deux jours Ă©quivalent-ils Ă  deux mille ans ? Parce que dans le quatriĂšme livre des psaumes, MoĂŻse, s'adressant Ă  Dieu, dit mille ans sont, Ă  tes yeux, comme le jour d'hier quand il n'est plus, et comme une veille de la nuit. Et lorsque, par ailleurs, ÉsaĂŻe gronde les femmes insouciantes, il leur annonce dans un an et quelques jours vous tremblerez ! Ce qui s'entend aprĂšs la publication du livre. 21 Pour toutes ces raisons, et parce que JĂ©sus est la reprĂ©sentation du Fils de l'homme au jour de son avĂšnement qui est ce jour, sachez que vous ne changerez vraiment d'Ăšre que lorsque le Soleil se lĂšvera pour la premiĂšre fois sur le royaume de Dieu. Jusque-lĂ , vous serez toujours dans l'ancien monde, dans le monde de NoĂ©, vouĂ© Ă  s'en aller. 22 Et puis, toujours en ce qui concerne les derniers jours, un autre signe formel m'est adressĂ©, qui confirme les prĂ©cĂ©dentes explications. Voici, il est Ă©crit Que ceci soit un signe pour toi On a mangĂ© UNE ANNÉE le produit du grain tombĂ© la parole de vĂ©ritĂ©, et UNE DEUXIÈME ANNÉE ce qui croĂźt de soi-mĂȘme ; mais LA TROISIÈME ANNÉE, vous sĂšmerez, vous moissonnerez, vous planterez des vignes, et vous en mangerez le fruit. Ce qui aura Ă©tĂ© sauvĂ© de la maison de Juda, ce qui sera restĂ© poussera encore des racines par-dessous, et portera du fruit par-dessus. Car de JĂ©rusalem il sortira un reste, et de la montagne de Sion des rĂ©chappĂ©s. VoilĂ  ce que fera le zĂšle de l'Éternel des armĂ©es. Il n'est pas besoin d'explications pour comprendre qu'il s'agit lĂ  des deux derniĂšres annĂ©es du monde qui seront suivies du royaume de Dieu sur la Terre entiĂšre. Soyez attentifs, parce que je dis encore que ni le Fils ni personne d'autre ne connaĂźt le jour et l'heure de la fin, seul Dieu les connaĂźt. Mais l'avĂšnement du Fils sonne le moment de sortir de vos villes et de vous retirer quelques jours dans les villages et sur les hauteurs de vos pays oĂč vous serez Ă  l'abri. C'est pourquoi JĂ©sus dit Ă  ses disciples qu'ils n'auront pas d'autre signe que son avĂšnement, montrĂ© par Jonas. 23 Vous aurez donc devant vous une annĂ©e de grĂące de la part du Seigneur pour manger le livre le produit du grain tombĂ© et pour vous dĂ©cider Ă  me suivre. Vous n'ĂȘtes pas pris au dĂ©pourvu. Mais l'annĂ©e suivante ne se terminera pas sans qu'arrive tout ce que l'Écriture et vos oeuvres annoncent. Et la troisiĂšme annĂ©e, vous serez enfin dans le royaume, dĂ©livrĂ©s des tĂ©nĂšbres et du mal pour toujours. 24 PersĂ©vĂ©rez alors jusqu'Ă  la fin, parce qu'il suffit de voir l'Ă©tat du monde aujourd'hui pour comprendre qu'il est arrivĂ© Ă  son terme, conformĂ©ment Ă  ce qui est prĂ©dit. Sachez donc, Ă  ce sujet, que le livre des prophĂštes est comme un livre de scĂšnes duquel les acteurs ne peuvent se dĂ©tourner. Je l'ai Ă©prouvĂ©, je vous le dis, ainsi que les personnes qui font partie de mon entourage. Vous commettriez alors une folie de ne pas croire ce que l'on vous dit. Mais cela vous regarde, car la sĂ©lection des hommes doit s'effectuer avant que les puissances des cieux ne soient Ă©branlĂ©es. 25 Si Dieu ne me pressait de vous avertir, je ne dirais rien, car je n'aurais rien Ă  expliquer de plus que vous ne sachiez. Mais pour annoncer la venue du royaume, je dois vous conduire dans toute la vĂ©ritĂ© et vous montrer la fin du rĂšgne des fils de Satan, Dieu n'habitant que des places propres et des temples d'or pur. Les Écritures en tĂ©moignent, l'enseignement des astres y conduit. Et tout est prĂȘt sur la Terre pour cet ultime accomplissement de la prophĂ©tie. Mais si je ne parviens pas Ă  vous convaincre, habitants des grandes villes, vous ne serez Ă©clairĂ©s par personne d'autre, et vous pĂ©rirez dans vos pĂ©chĂ©s. Faites comme vous voulez, l'avertissement vous est donnĂ© avec grand nombre d'explications. Vous ĂȘtes libres de vos pensĂ©es et juges de vos attitudes. Le Fils et la loi 26 Je sais combien vous ĂȘtes difficiles Ă  convaincre. Cependant si je marchais dans vos rues en criant Je suis le Christ, suivez-moi ! j'aurais dĂ©jĂ  tout un peuple derriĂšre moi, comme cela se produit avec ceux qui forment des sectes Ă  partir de mensonges et d'intrigues. Or, je n'agis pas ainsi, parce que le Fils ne se reconnaĂźt qu'Ă  travers le pain du ciel qu'il apporte, et parce qu'il vous demande de vous assembler sans lever la main sur qui que ce soit. Non, pour faire pĂ©rir les mĂ©chants et leurs prĂȘtres, il suffit de s'Ă©loigner d'eux et de les laisser sĂ©cher sur leurs pieds, comme des plantes qui n'ont plus d'eau. Dans cela, il n'y a ni violence, ni injustice, ni fraude. Et c'est parce qu'il en est ainsi qu'on reconnaĂźt le VĂ©ritable envoyĂ© du ciel, celui qui arrive Ă  l'improviste lorsque personne ne l'attend. 27 Mais plusieurs craindront que les peuples ne puissent abandonner leur religion pour suivre le Fils de l'homme. Pour les rassurer, vous devez prĂȘcher dans le monde que la tunique du Fils de l'homme est de toutes les couleurs de la couleur noire, brune, jaune et blanche ; car ce sont les premiers hommes qui commencĂšrent son sang que les derniers terminĂšrent. Le Fils de l'homme n'est pas le fils d'un peuple mais de tous les peuples, direz-vous, et son sang est celui de tous. C'est pourquoi, Ă  ses yeux, quelle que soit la couleur d'un homme, cet homme en vaut un autre d'une autre couleur. S'il s'agit d'un circoncis, il est un enfant d'Abraham Ă©lu pour le royaume. Alors, les peuples de la Terre, sachant que le sauveur est l'unique sauveur, feront la diffĂ©rence entre leur funeste religion qui apporte le malheur, et la puissance de la vĂ©ritĂ© qui assoit le rĂšgne de Dieu en tous pays. 28 Quant Ă  ceux qui ne savent pas lire, ou qui ne peuvent s'Ă©lever seuls sur les hauteurs oĂč Dieu habite, expliquez-leur patiemment les astres du ciel et la Terre avec les figures dessinĂ©es, puis faites-leur connaĂźtre les bienfaits de la loi que les anges utilisent avec respect. Alors ils connaĂźtront l'essentiel de ce que l'homme doit savoir, et seront sauvĂ©s. 29 Il ne peut en effet rien exister de mieux que la connaissance et les ordonnances du CrĂ©ateur pratiquĂ©es par tous les anges, pour vous dĂ©cider Ă  quitter ce monde inique et vivre en toute sĂ©curitĂ© dans le sanctuaire. La loi du TrĂšs-Haut ne vous tombe pas sur la tĂȘte comme le font celles des hommes, car chacun accĂšde Ă  elle par Ă©lĂ©vation et tel que vous l'avez fait dans cette ascension. DĂ©jĂ  toute Ă©crite en vous, vous n'aurez aucun mal Ă  l'accepter ; car, en lisant les paroles de Dieu, vous direz enfin ! Cela, parce qu'elle repose sur un seul principe vivre libre, en ne faisant de tort Ă  quiconque ni Ă  quoi que ce soit. 30 Vous allez donc lire maintenant cette fameuse loi de la dĂ©livrance, avec laquelle la Terre ne sera plus jamais frappĂ©e. Et je vous demande de ne point murmurer en la parcourant pour la premiĂšre fois, parce que ce n'est plus moi que vous aurez en face de vous, mais celui qui m'envoie. Alors vous constaterez que ma voix est petite Ă  cĂŽtĂ© de la sienne qui vous atteindra jusqu'Ă  la moelle des os. Cette fois, vous saurez mieux pourquoi j'Ă©tais tout tremblant lorsque l'Éternel m'adressa la parole, et qu'il Ă©crivit ses ordonnances avec mon doigt. Et c'est aussi ce qu'a Ă©prouvĂ© mon frĂšre MoĂŻse en son temps, et que vous n'avez point saisi ni cru. Maintenant vous croyez, car vous tremblez.
Sacréschampions olympiques à Tokyo, les Bleus seront les hommes à abattre dans ce tournoi. Ces derniers restent sur une bonne lancée. Le 24 juillet dernier, ils ont remporté la Ligue des
La Descente aux Enfers Fresque byzantine Thessalonique par PĂšre Placide Deseille LE BUT DE LA CRÉATION Le chrĂ©tien est un homme qui attend. Le Seigneur nous dit dans l’Évangile " Que vos reins soient ceints et vos lampes allumĂ©es ; soyez semblables Ă  des gens qui attendent leur maĂźtre Ă  son retour des noces pour lui ouvrir dĂšs qu’il viendra et frappera " Lc 12,35-36. Peu de textes nous rĂ©vĂšlent aussi parfaitement quels doivent ĂȘtre le sens et l’orientation profonde de la vie chrĂ©tienne. Le but de la crĂ©ation est la dĂ©ification de l’homme et de l’univers. Toute l’économie du salut, l’Ɠuvre rĂ©demptrice du Christ, l’action sanctificatrice du Saint Esprit, ont pour but de ramener l’humanitĂ© dĂ©chue Ă  la fin pour laquelle elle avait Ă©tĂ© créée, vers la plĂ©nitude de la dĂ©ification. Or c’est par le retour du Christ, que nous attendons, que se rĂ©alisera l’accomplissement suprĂȘme de ce dessein de Dieu, que cette Ă©conomie du salut atteindra son accomplissement ultime. Si nous voulons retrouver un christianisme vivant, qui soit pour nous une source perpĂ©tuelle de joie et d’élan spirituel, il faut que nous replacions au cƓur de notre vie chrĂ©tienne le dĂ©sir impatient et la certitude du retour glorieux du Seigneur, ce dĂ©sir et cette certitude qui animaient les premiĂšres gĂ©nĂ©rations chrĂ©tiennes. L’Esprit et l’Épouse disent " Viens ! " Que celui qui entend dise " Viens ! " Que celui qui a soif vienne et que celui qui le dĂ©sire prenne de l’eau de la vie, gratuitement Ap 22,17. L’essentiel du message chrĂ©tien, la " bonne nouvelle " du salut, est l’annonce de la rĂ©surrection, de l’irruption de la vie nouvelle et immortelle dans notre monde vouĂ© Ă  la souffrance et Ă  la mort, du fait du pĂ©chĂ© de l’homme. Cette irruption de la vie vĂ©ritable s’est rĂ©alisĂ©e, fondamentalement, dans la rĂ©surrection du Christ, dans son passage pascal de la mort Ă  la vie. DĂ©jĂ  la mort est vaincue, dĂ©jĂ  la vie a triomphĂ©. Mais il faut que chacun de nous, tout au long de sa vie, et 1’Église tout au long de son histoire, fasse sien ce passage, qu’il le revive avec le Christ – ou plutĂŽt que le Christ le revive en lui – en apportant le consentement de sa libertĂ© Ă  l’Ɠuvre de la grĂące divine. La Parousie du Christ, son avĂšnement glorieux Ă  la fin des temps, manifestera tout ce qui Ă©tait virtuellement contenu dans la rĂ©surrection du Christ au jour de PĂąques, en faisant participer tout son Corps, qui est l’Église, Ă  son triomphe dĂ©finitif sur le pĂ©chĂ©, la souffrance et la mort. Telles sont l’espĂ©rance de l’Église et sa certitude fondamentale. L’ATTENTE DES DÉFUNTS Sur ce point, la pensĂ©e des PĂšres de l’Église diffĂ©rait de ce qui est devenu la position commune dans le christianisme occidental depuis le Moyen Age. À cette Ă©poque en effet, l’accent se dĂ©place sur les fins derniĂšres de l’individu ; on considĂšre que le sort Ă©ternel de chacun est dĂ©finitivement fixĂ© au moment de la mort les saints vont directement au ciel, les pĂ©cheurs non repentis vont en enfer, et ceux qui ont encore quelque peine Ă  expier vont au purgatoire pour un temps plus ou moins long, mais leur salut final est assurĂ©. La rĂ©surrection finale n’apportera qu’un complĂ©ment accidentel Ă  la bĂ©atitude dĂ©jĂ  plĂ©niĂšre des Ă©lus, ou au chĂątiment des damnĂ©s. Le jugement dernier ne fera que manifester la sentence dĂ©jĂ  dĂ©finitive portĂ©e lors du " jugement particulier ", au moment de la mort. DĂšs lors, l’importance accordĂ©e Ă  la Parousie comme terme de l’histoire, la tension eschatologique dans la vie du chrĂ©tien comme dans la vie de 1’Église, est singuliĂšrement amenuisĂ©e. Selon les PĂšres de 1’Église, ce n’est qu’à la Parousie que les hommes entreront dans leur destinĂ©e dĂ©finitive, et le sort final de beaucoup ne sera fixĂ© que lors du jugement dernier. Jusqu’à la rĂ©surrection, les saints eux-mĂȘmes, bien qu’ils soient auprĂšs du Christ, sont dans un Ă©tat d’attente. La maniĂšre dont l’Église ancienne concevait la situation de diverses catĂ©gories de dĂ©funts dans l’attente de la Parousie pourrait se rĂ©sumer ainsi tout d’abord, la pensĂ©e chrĂ©tienne est absolument unanime pour affirmer que notre existence terrestre est unique. La foi chrĂ©tienne est inconciliable avec toute idĂ©e de vies successives et de rĂ©incarnation. Ce sont des conceptions qui se retrouvent souvent dans des courants philosophiques ou religieux non-chrĂ©tiens, surtout d’origine extrĂȘme-orientale, mais elles sont absolument Ă©trangĂšres au christianisme. C’est une donnĂ©e fondamentale de la foi chrĂ©tienne que la vie terrestre est unique, et que le destin Ă©ternel de l’homme se joue durant cette unique existence terrestre. AprĂšs la mort, l’ñme reste aussi vivante, aussi consciente, aussi active que pendant la vie terrestre, quoique d’une autre maniĂšre. Mais elle ne peut plus rien pour son propre salut. Elle ne peut pas non plus entrer en communication avec les vivants, sauf permission divine, et toutes les formes d’évocation magique des dĂ©funts, de communication mĂ©diumnique avec eux et de spiritisme ont toujours Ă©tĂ© condamnĂ©es aussi bien par la Parole de Dieu dans l’Ancien Testament que par la conscience chrĂ©tienne Ă  travers les siĂšcles Qu’on ne trouve chez toi personne qui s’adonne Ă  la divination et Ă  la magie..., qui ait recours aux charmes, qui consulte les Ă©vocateurs et les devins et qui interroge les morts. Car tout homme qui fait ces choses est en abomination au Seigneur Dt 18,10. Dans la tradition orthodoxe, qui se fonde sur les visions dont certains saints ont Ă©tĂ© favorisĂ©s, on estime que durant les deux premiers jours aprĂšs la mort, l’ñme reste encore sur terre, parcourant les lieux oĂč elle a vĂ©cu et auxquels elle a Ă©tĂ© attachĂ©e durant sa vie terrestre. À partir du troisiĂšme jour, elle passe par ce que les PĂšres de l’Église appellent les " postes de pĂ©age ". Ces "pĂ©ages" sont reprĂ©sentĂ©s de la maniĂšre suivante dans des visions de saint Antoine le Grand que nous raconte saint Athanase Un jour, sur le point de manger, Ă©tant debout pour prier vers la neuviĂšme heure, il se vit lui-mĂȘme ravi en esprit. Chose Ă©tonnante, debout, il se vit lui-mĂȘme hors de lui-mĂȘme comme conduit Ă  travers les airs par certains personnages ; ensuite il en vit d’autres, amers et cruels, debout dans l’air et voulant l’empĂȘcher de monter. Ses conducteurs le dĂ©fendant, les autres demandĂšrent s’il leur Ă©tait soumis et voulurent lui faire rendre des comptes depuis sa naissance. Les guides d’Antoine s’y opposĂšrent, disant aux adversaires Le Seigneur a remis les fautes commises depuis sa naissance ; vous pouvez lui demander compte de celles qu’il a commises depuis qu’il s’est fait moine et consacrĂ© au Seigneur. Les adversaires l’accusaient, sans pouvoir rien prouver La route fut libre et sans obstacles. Alors Antoine se vit revenir ; debout devant soi, et de nouveau il fut lui-mĂȘme. Oubliant son repas, il passa le reste du jour et la nuit dans les gĂ©missements et la priĂšre. Il admirait par quelle lutte et quels labeurs il faut traverser les airs et il se souvenait de ce que dit l’ApĂŽtre du prince de la puissance de l’air Ép 2,2. L’ennemi a pouvoir de combattre et d’empĂȘcher ceux qui montent Ă  travers les airs. Il faisait donc surtout cette exhortation " C’est pourquoi prenez l’armure de Dieu, afin de pouvoir rĂ©sister aux jours mauvais en sorte que l’adversaire soit dans la confusion n’ayant aucun mal Ă  dire de nous " 2 Co 12,2. Plus tard, il eut une controverse avec quelques visiteurs concernant le passage et le sĂ©jour de l’ñme aprĂšs la mort ; la nuit suivante, quelqu’un l’appela d’en haut " Antoine, lĂšve-toi et regarde. " Il sortit, car il savait Ă  qui il convenait d’obĂ©ir ; levant les yeux, il vit un ĂȘtre gĂ©ant, affreux, redoutable, debout et atteignant les nuĂ©es. Des ĂȘtres paraissant ailĂ©s montaient. Le gĂ©ant Ă©tendait les mains, empĂȘchait les uns ; les autres, volant au-dessus, traversaient, Ă©taient conduits en haut sans ĂȘtre inquiĂ©tĂ©s. Pour ces derniers, le grand grinçait les dents ; il se rĂ©jouissait de voir tomber les autres. AussitĂŽt Antoine perçut une voix " Comprends ce que tu vois. " L’esprit lui fut ouvert il comprit que c’était le passage des Ăąmes, que le gĂ©ant debout Ă©tait l’ennemi qui porte envie aux fidĂšles, rĂšgne sur ceux qui se sont soumis Ă  lui et les empĂȘche de passer ; mais ne peut dominer d’en haut ceux qui ne se sont pas laissĂ© persuader par lui. Averti par cette nouvelle vision, il luttait de plus en plus pour progresser chaque jour 1. Ainsi, pendant les quarante jours qui prĂ©cĂšdent l’attribution Ă  l’ñme du dĂ©funt de ce qui sera son sĂ©jour provisoire jusqu’à la Parousie, les dĂ©mons prĂ©sentent tout ce qu’elle a pu commettre comme fautes durant sa vie terrestre ; son seul recours est alors le repentir qu’elle a manifestĂ© pour les pĂ©chĂ©s qui lui sont reprochĂ©s, les bonnes Ɠuvres qu’elle a accomplies durant sa vie terrestre et l’intercession de l’Église et des saints. La priĂšre pour les dĂ©funts revĂȘt ainsi, dĂšs le moment de leur mort, une grande importance ; elle protĂšge l’ñme et la dĂ©fend contre les entreprises des dĂ©mons. LE LIEU DE RAFRAÎCHISSEMENT ET DE REPOS Si l’ñme traverse victorieusement ces postes de pĂ©age, si les dĂ©mons ne trouvent en elle rien qu’ils puissent revendiquer, elle est alors introduite par les anges dans le paradis ou le sein d’Abraham, dans ce " lieu de lumiĂšre, de rafraĂźchissement et de repos, oĂč il n’y a ni douleur, ni larmes ", mais oĂč l’ñme, au contraire, jouit en compagnie des saints d’un bonheur ineffable. Dans un trĂšs bel article qu’elle avait consacrĂ© Ă  " La bĂ©atitude dans l’Orient chrĂ©tien " 2, Myrrha Lot-Borodine rĂ©sumait ainsi l’enseignement de la tradition patristique sur ce sĂ©jour des bienheureux Requies aeterna requies beata [repos Ă©ternel repos des bienheureux]. Expression consacrĂ©e par l’Église, prĂ©sentĂ©e comme le vƓu suprĂȘme aux endormis dans le Seigneur, Ă  ces destinĂ©es posthumes qui n’ont plus de forme Ă  nos yeux. Expression que l’on doit entendre d’abord au sens d’une cessation de toute activitĂ© externe in absolutione corporis [dans la dĂ©livrance du corps]. L’image trop familiĂšre du sommeil, si proche – en apparence – de la mort, peut prĂȘter Ă  confusion et trahir une rĂ©alitĂ© autrement singuliĂšre et profonde. On devrait y reconnaĂźtre plutĂŽt cet Ă©tat de calme mental, appelĂ© par les Grecs apatheia, ou " impassibilitĂ© parfaite ", imitant la divine. D’aprĂšs saint Maxime qui reprend, en le rectifiant, l’idĂ©al des Alexandrins, c’est lĂ  une absence totale de trouble, de cogitation, une stabilitĂ© permanente de l’esprit n’aspirant plus au changement. Une tranquillitĂ© sereine, la magna tranquillitas saint Ambroise rĂ©gissant l’ĂȘtre simplifiĂ© rĂ©duit Ă  son essence mĂȘme, avec la suspension ou l’assoupissement des puissances. Oasis de la Paix, au-dessus de toute paix, celle que le monde ne donne pas, dĂ©tente et repos au pays de la Consolation Gloriosa requies futura [le glorieux repos Ă  venir] saint Ambroise. VoilĂ  le beatum esse [l'existence bienheureuse] de la premiĂšre rĂ©surrection. Ce repos inaltĂ©rable, qui n’exclut ni la conscience ni la vie intĂ©rieure, immanente Ă  ce nouveau mode existentiel, est un Ă©tat Ă©minemment contemplatif dont le cƓur reste le symbole. L’Écriture l’assimile au repos divin de la GenĂšse. Sur son modĂšle, en effet, le CrĂ©ateur institua jadis le sabbat d’IsraĂ«l, prototype du sabbatisme paradisiaque. L’auteur de l’ÉpĂźtre aux HĂ©breux, en reprenant l’antique menace du Seigneur courroucĂ© contre la race infidĂšle " Ils n’entreront pas dans mon repos " Ps 94,11, ajoute aussitĂŽt " Il y a donc un repos du sabbat rĂ©servĂ© au peuple de Dieu. Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses Ɠuvres, comme Dieu s’est reposĂ© des siennes " He 14,19. Comparaison illuminatrice, que l’on retrouve dans l’admirable office orthodoxe du Samedi de la Passion, ce " sabbat des sabbats " oĂč le Christ au SĂ©pulcre entra dans le repos bĂ©ni du triduum, ayant achevĂ© son Ɠuvre salvifique. Et voici la haute parole ultime de 1’Apocalypse " Oui, dit l’Esprit, qu’ils les saints se reposent maintenant, car leurs Ɠuvres les suivent " Ap 14,13. Parole qui signifie la fin de tout travail, en tant que peine ou servitude. Et ailleurs, le lin pur dont sera revĂȘtue toute l’Église triomphante, ce sont les Ɠuvres mĂȘmes des Saints Ap 19,8. Pareilles aux lys Ă©vangĂ©liques, qui ne tissent ni ne filent, les Ăąmes quiescentes s’épanouissent, embaumĂ©es super omnia aromata [au-dessus de tout parfum] par leurs vertus. Elles s’épanouissent dans la libertas paradisi [libertĂ© du paradis] en l’union au Christ qui les porte en Lui. C’est l’harmonie bienheureuse, l’accord de rĂ©solution, le non turban de la requies aeterna [l'imperturbabilitĂ© du repos Ă©ternel], ce dernier qualificatif impliquant une autre optique du temps, incompatible avec la nĂŽtre la durĂ©e sans durĂ©e ou sans succession d’états. QuiĂ©tude qui prĂ©suppose le non posse peccare [l'incapacitĂ© de pĂ©cher] de la perfection, enfin atteinte avec la similitudo [la ressemblance Ă  Dieu]. Perfection du vouloir et du pouvoir, infiniment supĂ©rieure Ă  celle des ancĂȘtres, encore en devenir. Et avec elle, ce sera l’offrande totale de l’imperturbatus amor [l'amour sans faille], l’agapĂ© divine et la joie perdurable du vacare Deo [Nom de Dieu] que seuls connaissent et goĂ»tent pleinement ceux qui, ayant mĂ»ri et portĂ© leur fruit terrestre, s’infusent au silence des dons cĂ©lestes. Telle l’épouse du Cantique, l’ñme quiescente fait entendre l’aveu secret de sa vigile Ego dormio sed cor meum vigilat [Je dors mais mon coeur veille - Ct 5,2]. Sommeil mystique de la micra anastasis [la " petite " ou premiĂšre rĂ©surrection] 3. Entre les saints et le monde des vivants, aucune communication " naturelle " ou de type spirite ne peut ĂȘtre lĂ©gitimement Ă©tablie cf. supra. Mais entre les Ă©lus et l’Église terrestre, un autre mode de communication, purement spirituel, mais non moins rĂ©el, existe. Dans la priĂšre, nous pouvons nous adresser Ă  eux ; ils peuvent nous assister constamment. Entre la liturgie cĂ©leste qu’ils cĂ©lĂšbrent avec les anges et nos liturgies terrestres, il existe une mystĂ©rieuse compĂ©nĂ©tration qu’évoquent les mosaĂŻques et les fresques de nos Ă©glises. Mais quel que soit le bonheur dont jouissent ainsi les saints, ils sont encore sous le signe de l’attente. Leur bĂ©atitude ne sera parfaite qu’au jour du retour du Christ et de la rĂ©surrection finale. L’HADÈS Quant aux pĂ©cheurs qui n’ont pu franchir victorieusement l’épreuve des " postes de pĂ©age " parce que leur repentir n’avait pas Ă©tĂ© suffisant et leurs bonnes Ɠuvres trop rares, il vont dans un lieu de souffrance oĂč ils sont tourmentĂ©s par les dĂ©mons. Mais ici encore, la vision des PĂšres de l’Église diffĂšre de celle qui a prĂ©valu en Occident au Moyen Âge. En premier lieu, cette souffrance n’a pas un caractĂšre d’expiation et de " satisfaction " pĂ©nale temporaire. Le dĂ©funt ne peut plus rien pour lui-mĂȘme, et sa souffrance ne peut en aucune maniĂšre contribuer Ă  sa dĂ©livrance. Il n’est pas condamnĂ© Ă  une peine plus ou moins longue, Ă  l’issue de laquelle il serait infailliblement sauvĂ©. Il n’est pas " au purgatoire ", mais dans l’HadĂšs, aux enfers, et son tourment, par lui-mĂȘme, ne peut avoir de fin. Mais en second lieu, cette souffrance n’a pas nĂ©cessairement un caractĂšre dĂ©finitif. La pensĂ©e commune de l’Église ancienne est en effet qu’avant le jugement dernier, les damnĂ©s peuvent ĂȘtre sauvĂ©s, mais cela, uniquement grĂące Ă  la priĂšre des membres de l’Église terrestre. C’est pourquoi la priĂšre pour les dĂ©funts revĂȘt, dans la conscience de l’Église ancienne et de l’Église orthodoxe d’aujourd’hui, une extrĂȘme importance il ne s’agit pas seulement en effet de prier pour que leur " temps de purgatoire " soit abrĂ©gĂ©, mais pour qu’ils soient dĂ©livrĂ©s de l’enfer Ă©ternel. Toutes les liturgies anciennes de l’Église l’attestent, y compris la liturgie romaine telle qu’elle a Ă©tĂ© en vigueur jusqu’à une date rĂ©cente jamais, dans sa priĂšre pour les dĂ©funts, l’Église n’a demandĂ© la " dĂ©livrance des Ăąmes du purgatoire " ; toutes les formules liturgiques demandent Ă  Dieu d’ĂȘtre misĂ©ricordieux dans son jugement et de dĂ©livrer le dĂ©funt de la mort Ă©ternelle. L’Église prie d’une part pour que les dĂ©funts soient protĂ©gĂ©s par la misĂ©ricorde divine lors de leur passage Ă  travers les " postes de pĂ©age " et parviennent au paradis, et d’autre part, s’ils sont dĂ©jĂ  condamnĂ©s, pour que Dieu les sauve dans sa misĂ©ricorde. LE RETOUR DU CHRIST À LA FIN DES TEMPS L’objet de l’attente ardente de l’Église, des vivants et des dĂ©funts qui sont aussi des vivants est le retour du Christ. La fin des temps ne doit pas ĂȘtre conçue par le chrĂ©tien comme une catastrophe Ă  redouter, mais comme la victoire dĂ©finitive du bien sur le mal, de Dieu et de son rĂšgne sur le Malin et sur tous ses alliĂ©s. La Parousie est la rĂ©ponse chrĂ©tienne au problĂšme du mal. Elle sera l’accomplissement dĂ©finitif du mystĂšre de PĂąques, l’ultime passage de la croix des Ă©preuves terrestres et celles des derniers temps, la " grande tribulation " eschatologique sera redoutable pour l’Église, Ă  la joie radieuse de la rĂ©surrection. C’est dans cette perspective que nous devons envisager le jugement dernier. Comme tous les " jugements " divins dans la Bible, il sera essentiellement un acte de dĂ©livrance et de salut. Ceux qui seront condamnĂ©s, ce sont ceux qui se seront volontairement identifiĂ©s aux puissances du mal, Ă  l’opposition au rĂšgne de Dieu, Ă  son dessein de salut et de bonheur infini pour ses crĂ©atures. À leur dĂ©faite dĂ©finitive s’oppose la victoire de tous ceux qui auront acceptĂ© d’ĂȘtre sauvĂ©s, d’ĂȘtre aimĂ©s et d’aimer Celui qui les a aimĂ©s " Efforçons-nous donc avant tout de porter en nous la marque et le sceau du Seigneur Car au temps du Jugement, quand paraĂźtra la rigueur de Dieu " cf. Rm 11,22, quand toutes les tribus de la terre et Adam tout entier seront rassemblĂ©s, quand le pasteur appellera ses brebis, tous ceux qui porteront sa marque reconnaĂźtront leur pasteur, et le pasteur reconnaĂźtra ceux qui porteront son sceau spĂ©cial. Et il les rassemblera de toutes les nations. Car " les siens entendent sa voix et vont derriĂšre lui " Jn 10,27. Le monde, en effet, se verra partagĂ© en deux d’un cĂŽtĂ©, le sombre troupeau qui ira au feu Ă©ternel ; de l’autre, le troupeau resplendissant de lumiĂšre, qui sera conduit vers son hĂ©ritage cĂ©leste. Or c’est prĂ©cisĂ©ment ce que nous possĂ©dons dĂšs maintenant dans notre Ăąme, qui brillera alors, se manifestera et revĂȘtira nos corps de gloire. Au mois de xanthique, les racines enfouies dans la terre produisent chacune ses propres fleurs et ses propres fruits avec leur beautĂ©, et elles fructifient. Les bonnes racines et celles qui portent des Ă©pines deviennent manifestes. C’est ainsi qu’en ce Jour-lĂ  chacun rĂ©vĂ©lera par l’éclat de son corps ses actions passĂ©es ; le bien comme le mal seront manifestĂ©s. C’est en cela en effet que consistent tout le jugement et la rĂ©tribution 4. L’APOCATASTASE Le terme d’apocatastase est un terme grec qui signifie la restauration d’un Ă©tat antĂ©rieur, le retour Ă  une situation originelle. AppliquĂ© Ă  l’eschatologie chrĂ©tienne, il exprime une thĂ©orie selon laquelle, Ă  la fin des temps, tout l’univers créé serait rĂ©tabli dans son harmonie originelle et tous seraient sauvĂ©s, y compris les damnĂ©s et les dĂ©mons. Cette conception se rattache Ă  la vision " mythique " du cosmos Ă©laborĂ©e par OrigĂšne v. 185 – v. 254. Celui-ci pensait qu’à l’origine, Dieu avait créé un univers composĂ© d’ĂȘtres purement spirituels ; faisant un mauvais usage de leur libertĂ©, tous – sauf l’ñme du Christ – seraient tombĂ©s plus ou moins gravement, et auraient alors Ă©tĂ© revĂȘtus de corps plus ou moins " Ă©pais ", et seraient ainsi devenus anges, hommes ou dĂ©mons. À la fin des temps, aprĂšs des purifications successives, tous reviendraient Ă  leur condition premiĂšre et reformeraient l’hĂ©nade originelle, c’est-Ă -dire l’unitĂ© primitive des crĂ©atures spirituelles. Cette conception du salut universel, qui nie l’éternitĂ© de l’enfer, mĂ©connaĂźt Ă  la fois l’insondable mystĂšre de l’amour de Dieu, qui transcende toutes nos conceptions rationnelles ou sentimentales, et le mystĂšre de la personne humaine et de sa libertĂ©. L’amour de Dieu implique un total respect de ses crĂ©atures, allant jusqu’à une " impuissance volontaire " devant le refus Ă©ventuel de leur libertĂ©. Les textes de l’Écriture nous obligent Ă  maintenir les deux affirmations antinomiques de la totale victoire de Dieu sur le mal Ă  la fin des temps, et de la possibilitĂ© de la damnation Ă©ternelle, la seconde ne pouvant ĂȘtre que l’envers de la premiĂšre. Seul convient ici le silence de l’intellect devant le mystĂšre. C’est pourquoi la doctrine de l’apocatastase, acceptĂ©e par saint GrĂ©goire de Nysse et, plus tard, par les grands mystiques syriens Isaac de Ninive et Joseph Hazzaya, a Ă©tĂ© condamnĂ©e en 553 par le Ve Concile ƓcumĂ©nique, en mĂȘme temps qu’un certain nombre d’élĂ©ments de la doctrine d’OrigĂšne, rĂ©duite en systĂšme par des disciples tardifs. Ce rejet de l’affirmation du salut universel par la tradition orthodoxe n’interdit Ă©videmment pas l’intercession ardente pour le salut de tous et l’espĂ©rance en leur conversion finale. L’ÉPECTASE Une question peut encore ĂȘtre posĂ©e au sujet de la bĂ©atitude Ă©ternelle des Ă©lus celle-ci doit-elle ĂȘtre conçue comme une contemplation immobile et rassasiante, ou peut-elle comporter une croissance, une dĂ©couverte sans cesse renouvelĂ©e d’une RĂ©alitĂ© inĂ©puisable ? L’un des aspects les plus originaux de la pensĂ©e de saint GrĂ©goire de Nysse est sa doctrine de l’épectase, selon laquelle la divinisation de l’homme, ici-bas et dans l’éternitĂ©, implique un progrĂšs et une tension sans fin, qu’illustre l’image du coureur de l’ÉpĂźtre aux Philippiens 3,13 " Oubliant le chemin parcouru, je vais droit de l’avant, tendu de tout mon ĂȘtre Ă©pecteinomenos d’oĂč le terme d’épectase et je cours vers le but... " Comme l’explique Jean DaniĂ©lou, l’un des meilleurs connaisseurs du grand Cappadocien Il y a Ă  la fois pour l’ñme un aspect de stabilitĂ©, de possession, qui est la participation qu’elle a Ă  Dieu – et de l’autre un aspect de mouvement qui est l’écart toujours infini de ce qu’elle possĂšde de Dieu et de ce que Dieu est... La vie spirituelle est ainsi une transformation perpĂ©tuelle de l’ñme en JĂ©sus Christ sous forme d’une ardeur croissante, la soif de Dieu augmentant Ă  mesure qu’il est davantage participĂ©, et d’une stabilitĂ© croissante, l’ñme s’unifiant et se fixant toujours davantage en Dieu 5. Sans retenir l’idĂ©e d’une croissance dans la bĂ©atitude, de nombreux auteurs de l’époque patristique – saint Maxime le Confesseur en particulier – ont utilisĂ© le thĂšme du dĂ©sir, de l’absence de satiĂ©tĂ© au sein mĂȘme de la vision de Dieu pour exprimer l’éternelle nouveautĂ© de la joie des Ă©lus. On en retrouve l’écho, en Occident, chez un GrĂ©goire le Grand. Il s’agissait pour lui de concilier deux affirmations antinomiques de l’Écriture " Les anges dĂ©sirent fixer sur lui leurs regards " 1 P 1,12 ; et " Dans le ciel leurs anges voient sans cesse la face de mon PĂšre qui est dans les cieux " Mt 18,10 Si l’on compare ces deux assertions, on constatera qu’elles ne se contredisent en rien. Car les anges, tout Ă  la fois, voient Dieu et dĂ©sirent le voir ; ils ont soif de le contempler et ils le contemplent. S’ils le dĂ©siraient sans jouir de l’effet de leur dĂ©sir, ce dĂ©sir stĂ©rile serait cause d’anxiĂ©tĂ©, et l’anxiĂ©tĂ© de souffrance. Mais les anges bienheureux sont Ă©loignĂ©s de toute souffrance d’anxiĂ©tĂ©, puisque souffrance et bĂ©atitude sont incompatibles... Pour qu’il n’y ait donc pas d’anxiĂ©tĂ© dans le dĂ©sir ils sont rassasiĂ©s tout en dĂ©sirant, et pour que le rassasiement n’entraĂźne pas de dĂ©goĂ»t, ils dĂ©sirent tout en Ă©tant rassasiĂ©s... il en sera de mĂȘme pour nous quand nous viendrons Ă  la source de Vie nous Ă©prouverons avec dĂ©lices, tout ensemble, soif et rassasiement 6. Brochure Ă©ditĂ© par le MonastĂšre Saint-Antoine-le-Grand, 26190 St-Laurent-en-Royans, France. Reproduit dans la revue Le Chemin, no. 33 1996. Reproduit avec l'autorisation de l'Archimandrite Placide. NOTES 1 S. Athanase d’Alexandrie, Vie de saint Antoine, c. 65-66. 2 Myrrha Lot-Borodine, " La bĂ©atitude dans l’Orient chrĂ©tien ", dans Dieu Vivant, 15 1950, pp. 85 ff. 3 Idem., pp. 106-107. 4 Macaire d’Égypte, HomĂ©lies spirituelles, 12, 13-14, " SpiritualitĂ© orientale ", n° 40, Abbaye de Bellefontaine, 1984, p. 170. 5 J. DaniĂ©lou, Platonisme et thĂ©ologie mystique, Paris, 1944, pp. 305-307. 6 S. GrĂ©goire le Grand, Morales sur Job, 18,54,91 ; PL 76, 94ac. DĂ©but de la Page Page d'Accueil Souffrance, Mort et RĂ©surrrection - Introduction DerniĂšre mise Ă  jour 16-08-02 DesvĂ©hicules militaires russes dĂ©truits ont Ă©tĂ© installĂ©s dans le centre de Kiev. Le 24 aoĂ»t 2022. EVGENIY MALOLETKA / AP L’Ukraine cĂ©lĂšbre, sous les DiffĂ©rents signes nous confirment que la fin des temps se rapproche irrĂ©mĂ©diablement. Certains signes Ă©dictĂ©s dans l’Islam par le ProphĂšte Mohammed sallallahou 3alayhi wa salam se sont dĂ©jĂ  rĂ©alisĂ©s. La fin du monde est dĂ©taillĂ©e dans un certain nombre de versets coraniques et de hadiths datant plus de ans. Parmi ces signes, il existe deux catĂ©gories, les signes mineurs et les signes majeurs. Les signes mineurs comprennent des Ă©vĂ©nements qui ont dĂ©jĂ  commencĂ© Ă  se produire, ou qui sont en train de se rĂ©aliser ou encore qui vont voir le jour trĂšs prochainement jusqu’à l’arrivĂ©e des signes majeurs, ceux qui annoncent de maniĂšre imminente la fin des temps. Le Noble Coran n’a cessĂ© de produire jusqu’à maintenant des miracles Ă©minents dans divers domaines de la connaissance, en dĂ©pit de la succession des siĂšcles et de l’écoulement des annĂ©es. Comment en serait-il autrement alors qu’il est le Livre dans lequel AllĂąh dit Certes, dans la crĂ©ation des cieux et de la terre et dans le changement du jour et de la nuit, il y a des preuves pour ceux qui sont dotĂ©s de raison. Sourate Ali `ImrĂąn – verset 190 Parmi les signes mineurs qui se sont produits ou sont en phase de rĂ©alisation – Les chameaux ne seront plus utilisĂ©s comme moyens de transport – Les chevaux ne seront plus employĂ©s dans les guerres – Les gens iront sur des selles qui ne sont pas des selles – La construction de maisons de plus en plus hautes – Les bergers construiront des gratte-ciel Les Ă©mirs du Golfe descendent de familles de berger – Les dĂ©serts seront construits et les villes dĂ©truites – La distance sur la terre deviendra courte – Le temps passera rapidement 
au point que l’annĂ©e passera comme un mois, le mois comme une semaine, la semaine comme un jour, le jour comme une heure; et l’heure s’écoulera aussi vite qu’un tison enflammĂ©.» Tirmidhi – Diffusion et augmentation des Ă©crits – L’usure ribĂą se propagera – Grand nombre de femmes et petit nombre d’hommes – La femme partagera avec l’homme le travail et le commerce – Les femmes porteront des vĂȘtements qui ne les couvrent pas – Les hommes s’habilleront avec de la soie – On accusera l’honnĂȘte de trahison et on fera confiance aux menteurs – Les mauvaises personnes seront honorĂ©es, les bonnes rabaissĂ©es – Les liens avec les proches et les voisins se dĂ©tĂ©rioreront – Les gens ne passeront le salut qu’aux personnes qu’ils connaissent – Les savants seront corrompus et apprendront en vue de gagner de l’argent – La science sera cherchĂ©e chez d’autres que les savants vĂ©ridiques – L’ignorance remplacera la sagesse et la connaissance – Il y aura des dĂ©vots ignorants et des connaisseurs pervers – Les imbĂ©ciles prendront la parole en public – Les liens familiaux seront rompus – L’homme Ă©loignera son pĂšre et favorisera son ami ou sa femme – Les femmes engendreront des filles qui les traiteront comme des servantes – Les enfants dĂ©sobĂ©iront Ă  leurs parents et leur donneront des ordres – L’homme obĂ©ira Ă  sa femme et dĂ©sobĂ©ira Ă  sa mĂšre – L’adultĂšre se rĂ©pandra – Les enfants adultĂ©rins prolifĂšreront – Les divorces augmenteront – La sexualitĂ© sera banalisĂ©e et s’exprimera dans les lieux publics – L’homosexualitĂ© et le lesbianisme seront gĂ©nĂ©ralisĂ©s – L’éclatement d’une guerre entre deux factions ayant les mĂȘmes convictions religieuses – Les nations s’acharneront Ă  l’encontre des musulmans – Il sera de plus en plus difficile de pratiquer sa religion – Les musulmans dĂ©laisseront le coran et ne respecteront plus les commandements religieux – Les actes et les pratiques se feront rares tandis que l’on parlera beaucoup – Quand faire l’AumĂŽne deviendra un fardeau – Les choses interdites seront considĂ©rĂ©es comme licites alcool, musique
 – Les musulmans orneront les mosquĂ©es et s’en vanteront – Le commerce sera rĂ©pandu sur Terre – Les marchĂ©s se rapprocheront – La rĂ©cession Ă©conomique – Les richesses seront dĂ©tenues par les avares – La compĂ©tition fĂ©roce pour des futilitĂ©s – Les pactes ne seront plus respectĂ©s – Les incompĂ©tents/mĂ©prisables commanderont les nations et auront les plus grandes responsabilitĂ©s – La corruption augmentera – Le nombre des forces de police et sĂ©curitĂ©, soutenant les oppresseurs, augmentera – Les catastrophes naturelles augmenteront sĂ©ismes
 – Les saisons seront trompeuses anomalies climatiques – Augmentation de la pluie mais diminution des productions – La terre des arabes sera couverte de ruisseaux et de pĂąturages pays du Golfe – Apparition de naufrages sur Terre – L’apparition d’une maladie qui n’aura aucun remĂšde – Les morts subites deviendront communes – Les meurtres augmenteront – L’assassin ne sera pas pourquoi il a tuĂ© – Les Hommes passeront Ă  cĂŽtĂ© des tombes et voudront ĂȘtre Ă  la place des morts augmentation des suicides Aux signes mineurs, succĂ©deront les signes majeurs annonçant l’heure de la fin du monde. Ils se succĂ©deront tellement vite qu’on pourrait penser que rien ne les sĂ©pare dans le temps. Le sĂ©isme du 26 dĂ©cembre 2004 dans l’ocĂ©an indien au large de l’üle indonĂ©sienne de Sumatra a coĂ»tĂ© la vie Ă  plus de personnes. Selon Sheik Imran Hosein, un Ă©rudit et philosophe musulman spĂ©cialisĂ© en Eschatologie islamique Ă©tude de la fin des temps, ce tsunami meurtrier serait l’un des premiers signes majeurs de la fin des temps. Il s’agirait du premier des trois tremblements de terre annonçant le retour de Issa alayhi salat wa salam comme mentionnĂ© par le ProphĂšte sallallahou 3alayhi wa salam. L’ampleur de l’évĂ©nement, la sĂ©vĂ©ritĂ© du tremblement de terre 9 sur l’échelle de Richter et les dĂ©gĂąts colossaux infligĂ©s, rendent ce tremblement de terre unique pour l’humanitĂ© aujourd’hui. Et Allah est le plus savant. Dansles derniers jours les hommes seront Ă©goĂŻstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphĂ©mateurs, rebelles Ă  leurs parents, Le Code du travail indique que le temps de travail effectif est le temps pendant lequel le salariĂ© doit se tenir Ă  disposition de son employeur et n’est pas libre de vaquer Ă  ses occupations. Mais il va de soi que l’employeur n’a pas les pleins pouvoirs et ses obligations en matiĂšre de gestion des temps sont nombreuses et complexes. Pourquoi ? Afin d’éviter les abus et prĂ©server la santĂ© physique et mentale des salariĂ©s. D’ailleurs, en tant que RH, vous pouvez ĂȘtre amenĂ© Ă  gĂ©rer une multitude de temps en fonction du secteur d’activitĂ© et des mĂ©tiers existants dans l’entreprise. Le respect des obligations devient alors un art subtil que vous devez maĂźtriser pour ne pas faire courir Ă  l’employeur des risques contentieux prud’hommes, sanctions pĂ©nales, dĂ©tĂ©rioration du climat social. Pour ces raisons, nous vous avons prĂ©parĂ© un rĂ©capitulatif des obligations de l’employeur en matiĂšre de gestion des temps ! Faisons le point. 1/ La durĂ©e lĂ©gale de travail L’article L3121-27 du Code du travail fixe la durĂ©e lĂ©gale de travail Ă  temps complet Ă  35h/semaine, soit 151,67h/mois et 1607h/an. Toutefois, une convention ou un accord collectif peut prĂ©voir une durĂ©e de travail infĂ©rieure ou supĂ©rieure Ă  la durĂ©e lĂ©gale. Ainsi, tous les salariĂ©s dont la durĂ©e du travail est infĂ©rieure Ă  la durĂ©e lĂ©gale ou conventionnelle sont considĂ©rĂ©s comme Ă  temps partiel. Chaque collaborateur perçoit donc un salaire en fonction de la durĂ©e de travail qui lui est appliquĂ©e, Ă  la condition qu’il soit prĂ©sent ou en absence justifiĂ©e congĂ© pour naissance par exemple et respecte ses heures de travail ! Rappelons qu’en cas de non-respect de la durĂ©e lĂ©gale ou conventionnelle de travail, l’employeur peut ĂȘtre sanctionnĂ© par le Conseil des Prud’hommes pour rappel de salaires Ă  quoi peuvent s’ajouter des indemnitĂ©s pour dommages et intĂ©rĂȘts si l’employeur n’a pas versĂ© la rĂ©munĂ©ration correspondant aux heures effectuĂ©es. Besoin d'aide pour faire le suivi des temps de travail de vos collaborateurs ? TĂ©lĂ©chargez notre modĂšle de feuille de temps. 2/ La durĂ©e maximale de travail Les articles L3121-18 et suivants du Code du travail rĂ©gissent la durĂ©e maximale de travail. Voici ce qui est prĂ©vu La durĂ©e maximale quotidienne de travail est fixĂ©e Ă  10 heures La durĂ©e maximale hebdomadaire de travail est fixĂ©e Ă  48 heures sur une mĂȘme semaine ou 44 heures par semaine en moyenne sur une pĂ©riode de 12 semaines consĂ©cutives. Toutefois, une convention ou un accord d'entreprise ou d'Ă©tablissement ou, Ă  dĂ©faut, une convention ou un accord de branche peut prĂ©voir le dĂ©passement de la durĂ©e maximale quotidienne de travail effectif dans la limite de 12 heures voir article L3121-19 du Code du travail. Des dĂ©passements Ă  la durĂ©e maximale hebdomadaire de travail sont aussi possibles par la nĂ©gociation collective article L3121-23 du Code du travail. Enfin, comme si le sujet n’était pas dĂ©jĂ  assez complexe, tous les salariĂ©s sont assujettis Ă  cette durĂ©e maximale de travail Ă  l’exception des cadres dirigeants qui ne sont soumis Ă  aucune durĂ©e minimale ou maximale de travail ! 3/ Les heures supplĂ©mentaires D’aprĂšs l’article L3121-29 du Code du travail, toutes les heures effectuĂ©es au-delĂ  de 35 heures sont des heures supplĂ©mentaires. En contrepartie de ces heures supplĂ©mentaires, le salariĂ© perçoit une majoration de 25% de la 1er Ă  la 8e heure supplĂ©mentaire, puis une majoration de 50% au-delĂ  de la 8e heure supplĂ©mentaire. Les cas particuliers SalariĂ©s Ă  temps partiel si la durĂ©e conventionnelle de travail est infĂ©rieure Ă  35h/semaine, on ne parle pas d’heures supplĂ©mentaires, mais d’heures complĂ©mentaires jusqu’à la 35e heure. SalariĂ©s en forfait jour ou ayant un statut de cadre ils ne sont pas soumis Ă  cette rĂ©glementation. Aussi, si l’employeur peut imposer des heures supplĂ©mentaires aux collaborateurs, il y a des limites Ă  ne pas franchir. Afin d’éviter des abus et de prĂ©server la santĂ© des salariĂ©s, l’article D3121-24 du Code du travail fixe le contingent annuel d’heures supplĂ©mentaires Ă  220 heures. En cas de dĂ©passement, le salariĂ© a droit Ă  un repos compensateur obligatoire. Rappel les cadres qui travaillent au forfait jour, certains salariĂ©s itinĂ©rants non-cadres et les cadres ne peuvent pas bĂ©nĂ©ficier du repos compensateur obligatoire. Enfin, n’oubliez pas qu’une convention ou un accord collectif d'entreprise ou d'Ă©tablissement ou, Ă  dĂ©faut, une convention ou un accord de branche peut prĂ©voir des dispositions diffĂ©rentes en matiĂšre d’heures supplĂ©mentaires articles L3121-32 et suivants du Code du travail. Pensez donc Ă  vĂ©rifier si vous ĂȘtes concernĂ©. Pour suivre de prĂšs les temps de travail et les heures supplĂ©mentaires de vos collaborateurs, vous pouvez vous appuyer sur notre modĂšle de feuille de pointage 4/ Les temps de non-activitĂ© Toujours au regard du Code du travail, l’employeur a une obligation de prĂ©server la santĂ© et la sĂ©curitĂ© des salariĂ©s. Ainsi, il doit respecter les temps de repos auxquels ont droit les salariĂ©s Le temps de pause 20 minutes toutes les 6 heures de travail consĂ©cutives Le repos obligatoire 11 heures consĂ©cutives de repos quotidien et 24 heures consĂ©cutives de repos hebdomadaire Les congĂ©s payĂ©s 5 semaines ou plus s’il existe des dispositions conventionnelles plus favorables. LĂ  aussi, veiller toujours Ă  vĂ©rifier si vous ĂȘtes soumis conventionnellement Ă  des dĂ©rogations articles L3131-2 et -3 du Code du travail. 5/ Des cas particuliers En fonction de votre secteur d’activitĂ© et des mĂ©tiers existants dans votre entreprise, vous pouvez avoir Ă  gĂ©rer des cas particuliers. En voici quelques-uns Le forfait jour le salariĂ© en forfait jour dĂ©compte le travail en nombre de jours travaillĂ©s annuellement et non en heures. Il n’a donc pas d’horaire minimum. La seule rĂšgle est qu’il travaille un certain nombre de jours par an. La loi limite le nombre de jours travaillĂ©s Ă  218 jours par an Article L3121-64 du Code du travail. Le travail de nuit la durĂ©e quotidienne maximale de travail pour les travailleurs de nuit est abaissĂ©e Ă  8 heures sauf exception Article L3122-6 du Code du travail. De mĂȘme, lorsque la durĂ©e hebdomadaire du travailleur de nuit est calculĂ©e sur une pĂ©riode de 12 semaines consĂ©cutives, elle ne peut dĂ©passer 40 heures Article L3122-7 du Code du travail. Les astreintes durant l’astreinte, le salariĂ© est libre de s’occuper comme il le souhaite. Ce temps n’est donc pas considĂ©rĂ© comme du travail effectif, et ne peut pas ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© comme tel. Par contre, dĂšs lors que le salariĂ© intervient, il s’agit d'un temps de travail effectif qui doit ĂȘtre rĂ©munĂ©rĂ© en consĂ©quence Article L3121-9 du Code du travail. Il en va de mĂȘme pour les temps de trajets Ă©ventuels. Dans cet article, nous avons exposĂ© les obligations de base et quelques cas particuliers. Toutefois, d’autres points restent Ă  aborder quels sont les autres cas particuliers ? Quels risques concrets court l’employeur s’il ne respecte pas ses obligations en matiĂšre de gestion des temps ? Et comment les Ă©viter ?

Sacheque dans les derniers jours il y aura des temps difficiles, car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, vantards, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, in

October 1, 2015 Nous vivons dans la pĂ©riode biblique dĂ©crite sous les termes “la pluie de l'arriĂšre saison” et le plan de Dieu s'est mis en marche. Dans le monde entier, les hautes murailles des villes de Satan sont mises Ă  bas. Pense Ă  ce qui est arrivĂ© au communisme. Des murailles ont Ă©tĂ© abattues au sens littĂ©ral du terme en Allemagne, en Russie et dans tout l'Est de l'Europe. Des millions de gens qui vivaient autrefois sous la tyrannie de Satan ont Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s et nombre d'entre eux entendent l'Ă©vangile ĂȘtre prĂȘchĂ©, pour la premiĂšre fois. Un “peuple puissant,” autrefois endurci par le pĂ©chĂ©, loue Dieu dĂ©sormais. Je te le dis, nous vivons une Ă©poque spĂ©ciale. Je n'ai jamais rien vu de tel pendant mes plus de cinquante annĂ©es de ministĂšre. Notre Ă©quipe a menĂ© une campagne d'Ă©vangĂ©lisation au Niger et 500,000 personnes sont venues Ă  Dieu en une seule nuit. On voit une faim pour Dieu qui semble sans prĂ©cĂ©dent et nous voyons des choses se produire que je n'aurais jamais rĂȘvĂ© ĂȘtre possibles. Une de ces merveilles se produit en Iran. Il y a plusieurs dizaines d'annĂ©es, mon livre La Croix et le Poignard a Ă©tĂ© imprimĂ© en secret, lĂ -bas. On estime que 25,000 copies ont Ă©tĂ© en circulation. Le film JĂ©sus a Ă©galement Ă©tĂ© montrĂ© en secret Ă  des centaines de groupes. Maintenant, des centaines de milliers d'iraniens sont sauvĂ©s au travers des messages de l'Ă©vangile tels que ceux-lĂ . J'ai rĂ©cemment reçu un Ă©mouvant rapport au sujet d'un programme d'aide contre la drogue de Teen Challenge dans un pays du Moyen Orient que je ne peux nommer. Ce pays islamique est rempli d'alcoolisme et de drogue. Le gouvernement admet que le problĂšme les dĂ©passe et, pourtant, grĂące Ă  la puissance libĂ©ratrice de JĂ©sus Christ, le programme de Teen Challenge a permis Ă  des centaines de personnes d'ĂȘtre diplĂŽmĂ©s et d'ĂȘtre sauvĂ©s, dĂ©livrĂ©s et libĂ©rĂ©s. L'un des diplĂŽmĂ©s est maintenant le superviseur d'une dĂ©nomination de PentecĂŽte lĂ -bas. Il dit que le plus grand baron de la drogue du pays a assistĂ© Ă  la cĂ©rĂ©monie de diplĂŽme de Teen Challenge. Cet Ă©minent leader islamique a entendu des douzaines de jeunes hommes se lever et tĂ©moigner de la façon dont JĂ©sus les a guĂ©ris de leur addiction ce que ce baron ignore probablement, c'est que plus d'une centaine des ces diplĂŽmĂ©s sont repartis dĂ©marrer des Ă©glises dans tout le pays. Le gouvernement reconnaĂźt aujourd'hui Teen Challenge comme le programme de dĂ©sintoxication le plus efficace du pays. Cela se produit dans le monde entier de façons incroyables “Les murailles de la ville de Satan sont abattues ! sacheque, dans les derniers jours les hommes seront ÉgoÏstes, amis de l'argent : mercredi 14 octobre 2020 / lhealp / apotre ebel pierre .
2 Timothée 31-5 BCC1923Sache que, dans les derniers jours, il viendra des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, cupides, fanfarons, superbes, blasphémateurs, rebelles à leurs parents, ingrats, impies, sans affection, sans loyauté, calomniateurs, intempérants, cruels, ennemis des gens de bien, traßtres, insolents, enflés d'orgueil, amis des voluptés plus que de Dieu, ayant les dehors de la piété sans en avoir la réalité éloigne-toi de cette sorte de Bible catholique Crampon 1923

Sacheque, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront Ă©goĂŻstes, amis de l’argent, fanfarons, hautains, blasphĂ©mateurs, rebelles Ă  leurs parents, ingrats, irrĂ©ligieux, insensibles, dĂ©loyaux, calomniateurs, intempĂ©rants, cruels, ennemis des gens de bien, traĂźtres, emportĂ©s, enflĂ©s d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l’apparence de

Les hommes ont plus souvent des problĂšmes de santĂ© que les femmes. Quels sont-ils ? Nous en parlons y a des maladies qui touchent plus les hommes que les femmes. Pourquoi ? Pour de multiples raisons, allant de l’anatomie masculine elle-mĂȘme les hommes ont une prostate et les femmes non Ă  la gĂ©nĂ©tique et aux de ces pathologies est importante pour la santĂ© publique et pour chaque patient en particulier. C’est peut-ĂȘtre lĂ  l’un des plus grands dĂ©fis reconnaĂźtre les facteurs de risque pour agir Ă  l’ les hommes nĂ©gligeraient plus leur santĂ©. Peut-ĂȘtre que ce n’est pas qu’un mythe. Au BrĂ©sil, des recherches ont mis en Ă©vidence le fait que les hommes consultent rarement et le font lorsque les symptĂŽmes sont avancĂ©s, rĂ©duisant ainsi les chances d’un diagnostic les maladies qui affectent le plus les hommes dans le maladies cardiovasculairesLes maladies cardiovasculaires sont trĂšs frĂ©quentes chez les hommes. Nous incluons ici l’infarctus du myocarde, qui est peut-ĂȘtre la forme de prĂ©sentation la plus il y a aussi l’insuffisance cardiaque, qui est plus progressive, et l’hypertension artĂ©rielle silencieuse. L’Organisation panamĂ©ricaine de la santĂ© OPS rapporte que plus de 40 % des hommes ne sont pas conscients de leur Ă©tat d’ dernier problĂšme est trĂšs grave. Comme il n’y a pas de symptĂŽmes spĂ©cifiques de l’hypertension artĂ©rielle qui incitent Ă  changer ses habitudes, les patients ont tendance Ă  perpĂ©tuer des comportements Ă  risque. Le rĂ©gime alimentaire n’est pas modifiĂ©, l’exercice physique est insuffisant et des substances toxiques sont consommĂ©es, comme l’ simple fait d’ĂȘtre un homme est un facteur de risque de pathologies cardiovasculaires. Cependant, Ă  mesure que les annĂ©es passent, le risque chez les femmes augmente, en raison des changements de la situation diffĂ©rente est enregistrĂ©e avec les accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux AVC. Il semble que les femmes aient un risque Ă  vie plus Ă©levĂ© d’en souffrir. De plus, elles enregistrent une tendance Ă  retarder la consultation lorsque les symptĂŽmes d’hommes hypertendus ne savent pas qu’ils sont hypertendus, donc ils ne consultent pas ou ne font pas de changements sains dans leurs habitudes. Le cancer de la prostateLe cancer de la prostate est la maladie oncologique qui touche le plus les hommes. Si l’on ajoute sa prĂ©valence Ă  celle des cancers du poumon et colorectal, la prĂ©valence totale est de 40 % chez les facteurs de risque ont Ă©tĂ© identifiĂ©s comme des circonstances susceptibles d’augmenter la possibilitĂ© de souffrir de la pathologie. Ce sont les suivants Plus de 50 ans AntĂ©cĂ©dent du mĂȘme cancer chez des parents directs Indice de masse corporelle Ă©levĂ©, surpoids ou obĂ©sitĂ© Avant l’ñge de 40 ans, il est trĂšs rare qu’un homme reçoive un diagnostic de cancer de la prostate. Ainsi, l’American Cancer Society recommande les directives de dĂ©pistage suivantes A partir de 50 ans, tous les hommes doivent se soumettre Ă  des tests de dĂ©pistage. Entre 40 et 50 ans, les hommes Ă  haut risque devraient Ă©galement ĂȘtre testĂ©s chaque annĂ©e. Les tests les plus certifiĂ©s Ă  des fins de dĂ©tection prĂ©coce sont l’antigĂšne spĂ©cifique de la prostate APS, qui est mesurĂ© dans le sang, et le toucher rectal. Cette derniĂšre manƓuvre s’effectue dans n’importe quel cabinet et ne nĂ©cessite aucune prĂ©paration et dĂ©pressionParmi les maladies qui touchent le plus les hommes, la dĂ©pression comporte un risque Ă©levĂ© de suicide. Les stĂ©rĂ©otypes de genre sont un problĂšme majeur qui entravent la consultation en santĂ© d’hommes croient que leur tristesse et leur angoisse sont des signes de faiblesse. Par consĂ©quent, ils ne frĂ©quentent pas les services psychiatriques et ne discutent pas de leurs expĂ©riences avec leur entourage proche. Le diagnostic est ainsi retardĂ© et il est de plus en plus difficile d’agir pour Ă©viter les paradoxe des donnĂ©es statistiques est que les femmes tentent davantage de se suicider, mais le taux de mortalitĂ© effectif de cette cause est plus Ă©levĂ© chez les hommes. En AmĂ©rique, les hommes reprĂ©sentent 79 % de tous ceux qui se campagnes publiques de santĂ© mentale pour sensibiliser Ă  la rĂ©alitĂ© de la dĂ©pression semblent insuffisantes. De plus en plus d’hommes et de femmes sont diagnostiquĂ©s avec cette maladie et souffrent dans l’ hommes sont plus susceptibles de se suicider, car ils sont moins susceptibles de montrer leur dĂ©pression.[/atomik- citation ]Les hommes souffrant de dĂ©pression cachent leurs symptĂŽmes pendant longtemps, ce qui retarde le traitement en temps et cancer du poumonL’une des pathologies qui touche le plus les hommes est la MPCO. C’est l’acronyme de maladie pulmonaire obstructive chronique, qui comprend la bronchite chronique et l’ du tabac a toujours Ă©tĂ© la principale cause de ce problĂšme. À cela, il faut ajouter le fait que certains hommes sont exposĂ©s Ă  des substances cancĂ©rigĂšnes par leur travail, lesquelles pĂ©nĂštrent dans les poumons par MPOC et le cancer du poumon diminuent considĂ©rablement la qualitĂ© de vie des patients. Les problĂšmes d’oxygĂ©nation et les limitations des activitĂ©s quotidiennes affectent la capacitĂ© Ă  faire face Ă  la maladie. Le fait de devoir utiliser de l’oxygĂšne supplĂ©mentaire lorsque la dĂ©tĂ©rioration est importante, entrave davantage la possibilitĂ© de mener une vie que l’usage du tabac montre une diminution de la prĂ©valence depuis 20 ans, l’incidence du cancer du poumon reste un problĂšme majeur de santĂ© publique. Il est Ă©galement vrai qu’au fil des dĂ©cennies, les femmes ont Ă©galĂ© les hommes dans le nombre annuel de cas. Les maladies qui affectent le plus les hommes sont le problĂšme de tout le mondeQue certaines maladies touchent davantage les hommes ne veut pas dire qu’elles ne concernent que ces derniers. Tout le monde est exposĂ© Ă  des pathologies prĂ©vention est une tĂąche qui exige des efforts conjoints. Les politiques publiques des gouvernements devraient Ă©galement penser Ă  des plans pour atteindre les patients qui refusent d’entrer en contact avec le systĂšme de attendant, si vous ĂȘtes un homme et que vous remarquez un symptĂŽme Ă©trange dans votre corps, n’hĂ©sitez pas Ă  consulter. Parfois, une simple visite chez un professionnel suffit pour rĂ©gler un problĂšme qui pourrait se compliquer Ă  l’ pourrait vous intĂ©resser ... qEO4vm.
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