Cettecomptine pour enfants, assez rythmĂ©e, se compose d'un refrain entraĂźnant qui fait intervenir des enfants se balladant dans le bois. L'aspect premier est la connaissance des habits, ainsi qu'un ordre possible et logique (on met la culotte avant le pantalon). Cela permet Ă  l'enfant de connaĂźtre tous les styles de vĂȘtements et combinaisons d'habits. chansons pour enfants Promenons nous dans les bois Prom'nons nous dans les bois, Pendant que le loup n'y est pas Si le loup y Ă©tait il nous mangerait Mais comme il n'y est pas, il n'nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? - Je mets ma culotte...etc Prom'nons nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas Si le loup y Ă©tait il nous mangerait mais comme il n'y est pas il n'nous mangera pas Loup y es-tu ? Entends-tu ? Que fais-tu ? - Me voilĂ .... me voilĂ  VidĂ©o recommandĂ©e par un internaute si disponible Texte lu 14172 fois ! Commentaires sur cette comptine -> Pas de commentaires actuellement ! 15mai 2019 - - Comptine promenons nous dans les bois toujours avec le LOUP , en ce moment ma petite B aime beaucoup surtout la chanson qui tourne en boucle chez nounou du coup , en cherchant sur le net j'ai trouvĂ© la fiche de la comptine joliment illustrĂ©e , ainsi
Promenons-nous dans les bois LyricsPromenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je mets ma chemise!"Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je mets ma culotte!"Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je mets mes chaussettes!"Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y étaitIl nous mangerait,Mais comme il n'y est pasIl n' nous mangera pas."Loup, y es-tu?Que fais-tu?""Je prends mon fusil! J'arrive!""Sauvons nous!"Lyrics powered by from 50 chansons et comptines pour les crÚches et maternelles LoadingYou Might Like LoadingFAQs for Promenons-nous dans les bois
\npromenons nous dans les bois paroles maternelle
Dateset Informations Consultez les Horaires, Avis, Plan, Tarifs. Mortain Visite Guidée : Légendes De Mortain : Promenons-nous Dans Les Bois Ajouter un lieu sur libre et c'est complÚtement gratuit !
[NARRATEUR] Il Ă©tait une fois Dans un lointain royaume, Il y avait un petit village A l'orĂ©e du bois [CENDRILLON] Je voudrais... [NARRATEUR] Et dans ce village [CENDRILLON] Plus que tout... [NARRATEUR] vivait une jeune fille, [CENDRILLON] Plus que la vie... Plus que les bijoux... [NARRATEUR] Une jeune fille insouci... [JACK] Je voudrais... Plus que la vie... [NARRATEUR] Et un boulanger sans enfant... [LE BOULANGER & SA FEMME] Je voudrais... [NARRATEUR] avec sa femme... [LE BOULANGER] Plus que tout... [LA FEMME DU BOULANGER] Plus que la lune... [LE BOULANGER & SA FEMME] Je voudrais... [CENDRILLON] Le roi donne une fĂȘte. [LE BOULANGER & SA FEMME] Plus que la vie... [JACK] Je voudrais... [CENDRILLON] Je voudrais aller Ă  la fĂȘte. [LE BOULANGER & SA FEMME] Plus que la richesse... [CENDRILLON] Et le bal... [JACK] Je voudrais que ma vache nous donne du lait. [CENDRILLON & LA FEMME DU BOULANGER] Plus que tout... [THE BAKER] Je voudrais que nous ayons un enfant. [JACK] S'il te plait, poteau - [THE BAKER'S WIFE] Je veux un enfant... [JACK] Presse, poteau... [CENDRILLON] Je voudrais aller Ă  la fĂȘte. [JACK] Je voudrais que tu nous donne du lait ou mĂȘme du fromage... Je voudrais... [LE BOULANGER & SA FEMME] Je voudrais que l'on puisse avoir un enfant... Je voudrais... [LA BELLE-MERE] Tu voudrais aller Ă  la fĂȘte ? [NARRATEUR] Les parents de la pauvre fille Ă©taient morts, [LA BELLE-MERE] Toi, Cendrillon, Ă  la fĂȘte? Tu voudrais aller Ă  la fĂȘte? [JAVOTTE] Quoi, toit, Cendrillon, la fĂȘte? La fĂȘte?! [ANASTASIE] Quoi, tu voudrais aller Ă  la fĂȘte ? [TOUTES LES TROIS] La fĂȘte? La fĂȘte du roi? [NARRATEUR] Elle vivait maintenant avec sa belle-mĂšre [LA BELLE-MERE] La fĂȘte... HA! [NARRATEUR] qui avait dĂ©jĂ  deux filles. [JAVOTTE] Regardes tes ongles ! [ANASTASIE] Regardes ta robe ! [LA BELLE-MERE] Les gens se moqueraient de toi [CENDRILLON] Peu importe, Je veux toujours aller Ă  la fĂȘtel et danser devant le prince. [LA BELLE-MERE &LES DEMI-SOEURS] Ha ha ha ha ha ha ha ha... [NARRATEUR] Toutes les trois avaient un visage magnifique, mais un coeur vil et noir.[NARRATEUR] Le pauvre gamin n'avait pas de pĂšre et sa mĂšre - [LA MERE DE JACK] Je voudrais... [NARRATEUR] Et bien, elle Ă©tait au bout du rouleau. [LA MERE DE JACK] Je voudrais que mon fils ne soit pas idiot. Je voudrais que ma maison ne soit pas en bazar, Je voudrais que la vache soit plein de lait Je voudrais que les murs soient couverts d'or - Je voudrais tout un tas de choses... Au nom du ciel, qu'est-ce que tu fais avec la vache dans la maison ? [JACK] Je pensais que s'il se sentait bien au chaud, il pourrait faire du lait. [LA MERE DE JACK] C'est une fille... Combien de fois devrai-je te le rĂ©pĂȘter, seules les filles peuvent donner du lait ?[NARRATEUR] Et puis il y avait une petite fille affamĂ©e qui portait toujours un chaperon rouge. [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Je voudrais... Ce n'est pas pour moi, C'est pour ma mamie dans les bois. Une miche de pain, s'il vous plaĂźt Ă  emmener Ă  ma pauvre vieille mamie dans les bois... Juste une miche de pain s'il vous plaĂźt...[LA BELLE-MERE] Cendrillon, si tu peux ramasser ces lentilles, et finir tes corvĂ©es Ă  temps, alors tu pourras venir au bal avec nous. Suivez-moi, jeunes femmes... [LES DEMI-SOEURS] Oui, mĂšre. Bonne chance.[CENDRILLON] Venez, petits oiseaux, Descendez des corniches et des feuilles, Ă  travers les champs, hors des chateaux et des Ă©tangs... [JACK] Maintenant, presse, poteau... [CENDRILLON] Ahhhhhhhhhh... Vite, petits oiseaux, Virevoltez Ă  travers les cendres. Picorez et picotez, mais vite, Trier des cendres au pot...[LA MERE DE JACK] Maintenant Ă©coutes-moi bien bien, fils. On doit emmener Blanche-Lait au marchĂ©. [JACK] Mais, mĂšre, non ! C'est le meilleur vache du monde... [LA MERE DE JACK] Etait - Elle est Ă  sec depuis des semaines maintenant, sans nourriture ou argent, nous n'avons pas d'autre choix que de la vendre. [JACK] Mais, Blanche-Lait est mon meilleur ami [LA MERE DE JACK] Regardes-la... Il y a des bĂȘtes sur son pie. Il y a des mouche dans ses yeux. Il y a une bosse sur sa croupe Assez grosse pour la dĂ©former - [JACK] Mais - [LA MERE DE JACK] Nous n'avons pas le temps de nous assoir et de penser, Alors que son garrot se flĂ©tris avec elle Et personne n'a pour ami une vache ! Des fois je me demande ce qui se passe dans ta petite tĂȘte.[LE PETIT CHAPERON ROUGE] Promenons-nous dans les bois, C'est le moment d'y aller, Je dĂ©tĂšste partir, Mais je le dois, pourtant. Promenons-nous dans les bois, c'est l'heure, et donc, Je dois commencer mon voyage. Promenons-nous dans les bois, et a travers les arbres, jusqu'oĂč je suis attendue m'dame, Promenons-nous dans les bois, jusqu'a la maison de mĂšre-grand - Promenons-nous dans les bois, Jusqu'Ă  la maison de mĂšre-grand - [LA FEMME DU BOULANGER] Es-tu sĂ»re de ton trajet ? [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Le chemin est clair, La lumiĂšre est bonne, Je n'ai pas peur, et personne ne le devrais. Les bois sont juste des arbres, Les arbres sont juste du bois. Je dĂ©tĂšste un peu de demander ça, Mais auriez-vous un panier? [LA FEMME DU BOULANGER] Oui, en effet. [LE BOULANGER] Je suppose que tu ne prĂ©vois pas de payer quoi que ce soit... [LA FEMME DU BOULANGER] Oh, chuuuut... Bon, ne traĂźne pas et sois Ă  l'heure, d'accord ? [LE BOULANGER] Tu devrais garder quelques unes de ces friandises pour ta mamie ? Et bah... [LA FEMME DU BOULANGER] Laisse-la, va... [LE BOULANGER] C'est une voleuse! [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Promenons-nous dans les bois, A travers les vallon Le chemin est droit, Je le connais bien. Promenons-nous dans les bois Et qui peut dire Ce qui nou attend sur le chemin ? Promenons-nous dans les bois pour emmener du pain A mamie qui est malade dans son lit. On ne pourra jamais dire Ce qui attend devant Pour ce que j'en sais, Elle pourrait dĂ©jĂ  ĂȘtre morte. Mais dans les bois, Promenons-nous dans les bois, Promenons-nous dans les bois, Jusqu'Ă  la maison de mĂšre-grand Et rentrons avant le noir.[JAVOTTE] Cendrillon! [ANASTASIE] Viens par lĂ ! [CENDRILLON] Volez, oiseaux, Retournez au ciel... [JAVOTTE] On attend ! [CENDRILLON] Retournez aux corniches Et aux feuilles Et aux champs Et aux... [JAVOTTE] DĂ©pĂȘches-toi et viens me coiffer, Cendrillon ! Tu v vraiment porter ça ? [ANASTASIE] Voila, j'ai trouvĂ© un petit accroc, Cendrillon. Tu ne peux pas le cacher avec un chapeau ? [CENDRILLON] Vous ĂȘtes magnifiques. [JAVOTTE] Je sais. [ANASTASIE] Elle parlait de moi. [JAVOTTE] Non, je ne crois pas. [CENDRILLON] MĂšre disait soit bonne, PĂšre disait soit gentille, Ca a toujours Ă©tĂ© leurs Donc soit gentille, Cendrillon, Bonne, Cendrillon, Gentille bonne bonne gentille... [JAVOTTE] Plus serrĂ©! [CENDRILLON] Quel est l'interĂȘt d'ĂȘtre bonne Si tout le monde est aveugle Et vous laisse toujours derriĂšre? Ce n'est pas grave, Cendrillon, Sage Cendrillon, Gentille bonne gentille, sage bonne gentille - [JAVOTTE] Aouh! Pas aussi serrĂ© ! Seigneur![LE BOULANGER] Qui ça peut bien ĂȘtre? [LA FEMME DU BOULANGER] Nous avons vendu notre derniĂšre miche de pain ! [LE BOULANGER] C'est la sorciĂšre d'Ă  cĂŽtĂ©. [LA FEMME DU BOULANGER] Nous n'avons plus de pain... [LA SORCIERE] Je ne veux pas de votre pain [LE BOULANGER] Alors que souhaitez-vous? [LA SORCIERE] Ce n'est pas ce que je souhaiterais, C'est ce que vous voulez. Rien ne se cuisine dans ce ventre n'est-ce pas ? Et ne se cuisinera jamais, Sauf si vous faĂźtes exactement ce que je dis. Dans trois jours une lune bleue apparaĂźtra, Seulement alors le sort pourra ĂȘte rĂ©voquĂ©... [LA FEMME DU BOULANGER] Quel sort? [LA SORCIERE] Celui jetĂ© sur cette maison. [LE BOULANGER] De quoi parlez-vous ? [LA SORCIERE] Dans le passĂ©, alors que vous n'Ă©tiez qu'un nouveau-nĂ©, Votre pĂšre emmena sa jeune femme ainsi que vous dans cette petite maison. C'Ă©tait un couple adorable, Mais pas des voisins adorables. Vous voyez... Votre mĂšre avait un enfant, Et elle dĂ©veloppa un apĂ©tit inhabituel, Elle admirait mon magnifique jardin, Et elle dit Ă  votre pĂšre que Ce qu'elle voulait, Par dessus tout, Ă©tait... Du vert, vert, rien que du vert Persil, poivrons, choux et cĂ©leri, Asperges et cresson et TĂȘtes de violons et laitue! Il dit, "trĂšs bien" Mais ça ne l'Ă©tait pas, Car je l'ai attrapĂ©, durant l'automne, Une nuit dans mon jardin! Il Ă©tait en train de mo voler, Me violer, En s'enracinant dans mes rutabagas, DĂ©valisant ma roquette et DĂ©chirant les raiponces Mes championnes, mes prĂ©fĂ©rĂ©es! - J'aurais du lui jeter un sort A l'instant, J'aurais pu le transformer en pierre Ou en chien... Ou en chaise... Mais je l'ai laissĂ© avoir les raiponces J'en avais plein Ă  donner. En Ă©change, cependant, Je lui dis, "Que justice soit faite Vous pouvez me laisser avoir le bĂ©bĂ© Que votre femme portera. Et alors nous serons quittes." [LE BOULANGER] J'ai eu un frĂšre? [LA SORCIERE] Non. Mais tu as eu une soeur. [LE BOULANGER] OĂč est-elle? [LA SORCIERE] Elle m'appartient dĂ©sormais ! Et vous ne la trouverez jamais, C'est un petit prix Ă  payer pour Ce que votre pĂšre m'a volĂ©. Ca m'a coĂ»tĂ© ma jeunesse, ma beautĂ©. Ma mĂšre m'avait prĂ©venue, Elle me punirait, Avec le sort de laideur, Si jamais j'en perdais un seul. [LA FEMME DU BOULANGER] De quoi ? [LA SORCIERE] De haricots... [LE BOULANGER & SA FEMME] Haricots? [LA SORCIERE] Les haricots magiques... Je l'ai laissĂ© partir, Je ne savais pas, Qu'il avait volĂ© mes haricots. Je le regardais ramper, Dos au mur ! Puis boum ! Crash ! Un Ă©clair ! Bon, c'est une autre histoire, Tant pis - Quoi qu'il en soit, enfin Le grand jour arriva, Et je reclamai mon du. "Oh, n'emportez pas le bĂ©bĂ©," Ils criĂšrent et hurlĂšrent, Mais je le fit, Et je la cachai lĂ  oĂč personne ne l'atteindrais. Et ton pĂšre pleura, Et ta mĂšre mouru. Quand pour mesure suplĂ©mentaire J'admet que ce fĂ»t un plaisir J'ai dis, " DĂ©solĂ©, Je ne suis toujours pas appaisĂ©e." Et je leur jetai alors un petit sort Ainsi qu'Ă  toi, fils, Afin que votre arbre gĂ©nĂ©alogique soit pour toujours stĂ©rile... [LE BOULANGER] Comment avez-vous pu faire ça? [LA SORCIERE] Et quand ta mĂšre mouru, Ton pĂšre abandonna aussi. Ton pĂšre n'en Ă©tait pas un alors pourquoi le serais-tu ? Et donc il n'y a plus d'histoires Et plus de scĂšnes, Et mon jardin prospĂšre - Vous devriez voir mes nectarines ! Mais je vous dis la mĂȘme chose Que je dis au rois et reines Ne jamais, jamais, Toucher a mes verdures ! Surtout les haricots.[JACK] Ouais, mais pourquoi devons-nous aller au prochain village ? [LA MERE DE JACK] Parce que, tout le monde dans ce village, sait que la vache n'a pas donnĂ© une goutte de lait depuis des semaines. [JACK] C'est de la triche! [LA MERE DE JACK] Nous mourrons de faim, Jack! Tu ne le comprend pas? Maintenant, tu n'acceptes pas moins de cinq livres pour elle. Tu m'as entendu ? [JACK] Oui. [LA MERE DE JACK] Combien tu demandes? [JACK] Pas plus de cinq livres. [LA MERE DE JACK] Moins de cinq livres! [JACK] De cinq! [LA MERE DE JACK] Promenons-nous dans les bois, Il est temps maintenant, Nous devons vivre, Peu importe comment. Promenons-nous dans les bois pour vendre la vache, On doit commencer le voyage ! Droit vers les bois et ne pas reporter Nous devons affronter La place du marchĂ©. Promenons-nous dans les bois jusqu'a la fin du voyage. [JACK] Promenons-nous dans les bois pour vendre un ami...[LA SORCIERE] Vous voulez avoir Le sort rĂ©voquĂ© ? Je vais avoir besoin d'une certaine Potion d'abord. Allez dans les bois et ramenez-moi Un la vache aussi blanche que le lait, Deux Le chaperon aussi rouge que le sang, Trois Les cheveux aussi blonds que le blĂ©, Quatre la pantoufle aussi pure que l'or. Ammenez-moi cela Avant que sonne Minuit, Dans un dĂ©lai de trois jours. C'est lĂ  que la lune rĂ©apparaĂźt. Ce qui n'arrive qu'une fois tous les cent ans. Apportez les juste et Je vous assure, D'avoir un enfant aussi parfait qu'un enfant puisse l'ĂȘtre. Allez dans les bois ![LA BELLE-MERE] Mesdames, Notre calĂšche attend. [CENDRILLON] Maintenant puis-je aller Ă  la fĂȘte ? [LA BELLE-MERE] La fĂȘte? ChĂ©rie, ces ongles ! ChĂ©rie, ces vĂȘtements ! Les lentilles sont une choses mais ChĂ©rie, avec ça, Tu nous ridiculiserais Ă  la fĂȘte et le prince serait mortifiĂ©! [CENDRILLON] La fĂȘte dure trois nuits. Vous pourriez certainement me laisser ĂȘtre lĂ  pour l'une d'entre elles. [LA BELLE-MERE] Le roi essaie de trouver une femme pour son fils ! Pas une domestique d'arriĂšre-cuisine ! Nous devrions ĂȘtre en route ALLEZ![CENDRILLON] Je voudrais... [LA FEMME DU BOULANGER] Des haricots ? Ce doit ĂȘtre les haricots de la sorciĂšre, Emmenons-les avec nous. [LE BOULANGER] Nous? [LA FEMME DU BOULANGER] Oui! [LE BOULANGER] Nous? Tu ne viens pas, C'est dangereux la dehors. [LA FEMME DU BOULANGER] Je peux t'aider! [LE BOULANGER] Non! Je peux faire ça moi-mĂȘme. Le sort est sur ma maison. Je peux seulement conjurer le sort, Le sort est sur ma maison . [LA FEMME DU BOULANGER] Non, non, Le sort est sur notre maison. Nous devons conjurer le sort ensemble, Le sort est sur notre maison! [LE BOULANGER] Maintenant dis-moi que dois-je ramener ? [LA FEMME DU BOULANGER] Argh, tu ne te souviens pas? La vache aussi blanche que le lait, Le chaperon aussi rouge que le sang, Les cheveux aussi blond que le blĂ©, La pantoufle aussi pure que l'or. [LE BOULANGER] La vache aussi blanche que le lait, Le chaperon aussi rouge que le sang, Les cheveux aussi blond que le blĂ©, La pantoufle aussi pure que l'or... [CENDRILLON] Je voudrais toujours aller Ă  la fĂȘte, Mais comment pourrais-je bien aller Ă  cette fĂȘte ? [LE BOULANGER] La vache aussi blanche que le lait, Le chaperon aussi rouge que le sang, Les cheveux aussi blond que le blĂ© - [CENDRILLON] Je sais! Je vais aller visiter la tombe de mĂšre, La tombe vers le noisetier, Et juste lui dire que je veux Aller Ă  la fĂȘte du roil... [LE BOULANGER] La pantoufle aussi pure que l'or... La vache, le chaperon, La pantoufle aussi pure que l'or- [LA FEMME DU BOULANGER] Les cheveux! [CENDRILLON & LE BOULANGER] Promenons-nous dans les bois, C'est l'heure d'y aller, Cela peut ĂȘtre en vain, tu/je le sais. Promenons-nous dans les bois- Mais malgrĂ© tout, Je dois faire ce voyage. [CENDRILLON, LE BOULANGER & SA FEMME] Promenons-nous dans les bois, Le chemin est droit, On le connais bien, Mais qui peut dire [LE BOULANGER & SA FEMME] Promenons-nous dans les bois pour conjurer le sort, [CENDRILLON] Promenons-nous dans les bois pour visiter mĂšre, [LA MAMAN DE JACK] Promenons-nous dans les bois pour vendre la vache ! [JACK] Pour avoir l'argent ! [CENDRILLON] Pour aller Ă  la fĂȘte ! [LE PETIT CHAPERON ROUGE] Promenons-nous dans les bois jusqu'Ă  la maison de mĂšre-grand! [TOUS] Le chemin est clair, La lumiĂšre est bonne, Je n'ai pas peur, Personne ne le devrait. Les bois sont juste faits d'arbres, Les arbres sont justes fait de bois. Pas besoin d'est effrayĂ© ici- [LE BOULANGER] Il y a quelque chose dans la clairiĂšre lĂ -bas...[TOUS] Promenons-nous dans les bois, Sans dĂ©lai, Mais en faisant attention de ne pas Se perdre en chemin. Promenons-nous dans les bois, Qui sait ce qui pourrait se cacher sur notre chemin? Promenons-nous dans les bois Pour trouver cette chose qui fait que ce voyage est digne d'ĂȘtre vĂ©cu. Promenons-nous dans les bois into the woods [LA BELLE-MERE & LES DEMI-SOEURS] Pour voir le roi [JACK & SA MERE] Pour vendre la vache [LE BOULANGER & SA FEMME] Pour faire la potion [TOUS] Pour voir Pour vendre Pour avoir Pour ramener Pour faire Pour conjurer Pour aller Ă  la fĂȘte! Promenons-nous dans les bois! Promenons-nous dans les bois! Promenons-nous dans les bois, Ensuite hors des bois, Et rentrons avant la nuit!
123 4 5 Suivant Visite guidĂ©e : LĂ©gendes de Mortain : promenons-nous dans les bois Patrimoine - Culture Mortain-Bocage 50140 Le 25/08/2022 Tout en goĂ»tant une promenade entre les majestueuses parois de grĂšs armoricain, une forĂȘt touffue et des torrents puissants, laissez-vous emporter dans le monde merveilleux des contes et lĂ©gendes du Mortainais.
En novembre et dĂ©cembre derniers, tels des sorciers, les enfants de grande section ont rĂ©ussi Ă  redonner vie Ă  de vieux morceaux de bois et ensemble nous avons fait apparaĂźtre des Triangule-arbres » ou arbres triangulaire. AprĂšs avoir triĂ© des branches, les enfants les ont positionnĂ©es au sol en forme de triangle. Certains triangles Ă©taient bien des triangles mais d’autres plutĂŽt carrĂ©s, d’autres plutĂŽt biscornus j’irais mĂȘme jusqu’à dire bizarres 
 Ce qui est certain, c’est que nous avons rĂ©visĂ© tous ensemble la gĂ©omĂ©trie avec des fou-rires et beaucoup de plaisir. Durant ce jeu de construction, les branches, elles, se sont par moment transformĂ©es en Ă©pĂ©es, en instruments de musique, en cannes, en fusils
. Les enfants, eux, sont alors devenus des chevaliers, des musiciens, certains d’entre eux sont mĂȘme devenus des oiseaux ils sont venus couver leur nid au cƓur de l’arbre triangle », puis ils se sont envolĂ©s dans une magnifique danse improvisĂ©e. Puis est venu le temps du montage en trois dimensions travail d’équipe et de coopĂ©ration. Certains ont tenu le tronc afin d’assurer l’équilibre de l’arbre, pendant que d’autres enfilaient patiemment les morceaux de bois, les empilant sur la tige mĂ©tallique. Les rĂŽles se sont ensuite inversĂ©s, personne n’est restĂ© de cĂŽtĂ©, tout le monde a participĂ©. Ce tour de magie n’aurait pas Ă©tĂ© possible sans la confiance des deux maĂźtresses de Grande Section merci Ă  elles. Merci Ă©galement aux enfants pour cette belle aventure au sein de leur classe. Christelle Plusjeunes et moins jeunes, tous peuvent partir en excursion dans le bois en famille. Que ce soit dans la forĂȘt derriĂšre chez vous ou dans des sentiers pĂ©destres sur une base de plein air par exemple, certaines rĂšgles de sĂ©curitĂ© doivent ĂȘtre appliquĂ©es pour Ă©viter que cette activitĂ© tourne au dĂ©sastre. Informez-vous de votre trajet.

DĂ©couvrez la cĂ©lĂšbre chanson "Promenons-nous dans les bois" en vidĂ©o pour les enfants. AnimĂ©e par les mascottes Pinpin et Lili, voici des comptines toutes douces et colorĂ©es pour les tout-petits! PAROLES DE LA CHANSON "Promenons-nous dans les bois" Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y Ă©tait, il nous mangeraitMais comme il n'y est pas, il nous mangera y es-tu ?OUIQue fais-tu ? M'entends-tu ?OUI, je mets ma culotte. Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y Ă©tait, il nous mangeraitMais comme il n'y est pas, il nous mangera y es-tu ?OUIQue fais-tu ? M'entends-tu ?OUI, je mets ma chemise. Promenons-nous dans les boisPendant que le loup n'y est pasSi le loup y Ă©tait, il nous mangeraitMais comme il n'y est pas, il nous mangera y es-tu ?OUIQue fais-tu ? M'entends-tu ?OUI, je mets mes mets mes bottesJe mets mon chapeauJe mets mes lunettesEt je viens te croquer ! Musique de cette vidĂ©o = © Arc-en-Ciel - ADF Bayard Musique. DĂ©couvrez les albums pour enfants chez Arc en Ciel berceuses, comptines, chansons, livres-CD ! voir la suite Les autres chansons La sĂ©lection Familiscope Coloriage Ă  imprimer Pierre et le Loup Il Ă©tait une fois
 un petit garçon nommĂ© Pierre, qui voulait attraper le loup croqueur d’oiseaux. Il grimpa dans un arbre et demanda Ă  l’oiseau d’attirer l’attention du loup. Colorie cette scĂšne, et... Coloriage Ă  imprimer Le Loup et l'Agneau Cette fable de La Fontaine n’est pas trĂšs gaie
 MĂȘme s’il n’a rien fait de mal, l’agneau sera mangĂ© par le loup qui a de toutes façons dĂ©cidĂ© de le croquer. Si tu trouves que c’est injuste, colorie... Apprendre Ă  dessiner un loup MĂȘme pas peur du loup !! Enfin, facile Ă  dire. Parce qu'il n'est si Ă©vident Ă  dessiner le monstre. Sauf si tu regardes pour dessiner un loup. Tu vas voir, c’est trop facile ! Et quand tu auras fini,... Coloriage Ă  imprimer un loup Les enfants aiment les coloriages gratuits de contes. Il y a plusieurs histoires dans lesquelles il y a un loup, comme dans le petit Chaperon Rouge ou dans les fables de La Fontaine. Coloriage Ă  imprimer Loup pris au piĂšge Le loup se croit malin et il veut surprendre la grand-mĂšre du petit Chaperon Rouge. Mais la grand-mĂšre a tout prĂ©vu
 Colorie la maison et le loup, puis imagine que le loup a ouvert la porte le sea...

Chant“La sorciĂšre Grabouilla” interprĂ©tĂ© par les GS de l’école. Chant. “un petit mot de tous les jours” interprĂ©tĂ© par les Ă©lĂšves de Patricia. chant. Un petit mot de tous les jours. Classe de Patricia; Chant interprĂ©tĂ© par les GS. FĂ©vrier 2022

Harry Potter 2005 ~€~ Autres Lieux Magiques ~€~ Grande-BretagneCiarĂĄn A. MerrowSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...CiarĂĄn A. Merrow, le Dim 4 Juin - 417 Les pulsions. Ou quand le corps prend les commandes. Quand le cerveau, lui, passe en arriĂšre plan et regarde faire. ChloĂ© n'avait rĂ©pondu qu'Ă  son corps lorsqu'elle avait pointĂ© Edward avec sa baguette magique. À cet instant, son cerveau ne contrĂŽlait plus rien. Ses sentiments n'avaient plus leur mot Ă  dire. C'Ă©tait presque comme si quelqu'un d'autre avait pris possession de son propre corps. Comme si elle n'avait mĂȘme plus le temps de rĂ©flĂ©chir. Étrangement, cela lui rappelait une partie sombre de son passĂ©. Elle se revoyait, le visage cachĂ© derriĂšre un masque, faisant taire son humanitĂ© dans l'unique but de servir le Seigneur des TĂ©nĂšbres. Elle se revoyait, le regard froid, le coeur glacĂ©, menacer des inconnus avec le bout de sa baguette magique. Elle se revoyait leur ĂŽter la vie. Sans remords aucun. Juste des actions superposĂ©es. InsensĂ©es. La Greenwood n'avait pas pensĂ© un seul instant Ă  la rĂ©action du garçon. Pendant un instant, elle avait presque pris du plaisir Ă  invoquer la peur en lui. Presque. Mais son amusement inhumain prit fin lorsqu'elle le regarda dans les yeux. Son regard avait perdu toute trace d'assurance. DĂ©sormais, il ne pouvait plus ĂȘtre certain de rien, avec elle. Il venait tout juste de le comprendre. Peut-ĂȘtre regrettait-il d'avoir Ă©tĂ© naĂŻf? En tous les cas, il eut l'intelligence de vouloir en savoir plus sur elle. Sur son passĂ©. Questions vagues mais intĂ©ressĂ©es. — Poudlard est une trĂšs bonne Ă©cole, tu sais. Tu vas y apprendre Ă©normĂ©ment. J'ai enseignĂ© la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, qu'elle ne finisse elle-mĂȘme par plonger du mauvais cĂŽtĂ©. Mais elle lui Ă©pargna cette information. Son cerveau, qui semblait avoir repris les commandes, lui intima de se taire. Elle dĂ©cida Ă©galement d'omettre certaines vĂ©ritĂ©s Ă  propos de son pĂšre. Hors de question qu'elle se confie Ă  un enfant. Qui plus est, Ă  un inconnu. — Je ne l'ai pas depuis que j'ai franchi la porte du Hogwarts Express le jour de ma premiĂšre rentrĂ©e Ă  Poudlard. Elle s'en souvenait comme si c'Ă©tait hier. Ce jour-lĂ , il avait fait Ă©tonnamment froid pour la saison. Peut-ĂȘtre que la tempĂ©rature extĂ©rieure pouvait expliquer l'humeur glaciale de son pĂšre, en cette journĂ©e si importante pour ChloĂ©. Ou peut-ĂȘtre savait-il dĂ©jĂ , Ă  ce moment-lĂ , qu'il allait partir pour ne plus jamais revenir. Peut-ĂȘtre avait-il dĂ©jĂ  pris conscience qu'il ne reverrait plus jamais ses deux filles. Peut-ĂȘtre que cette idĂ©e ne le touchait pas plus que ça. Tout simplement. Il avait simplement portĂ© les valises de la cadette sur le quai de la gare, puis rapidement embrassĂ© ses cheveux pour ensuite la regarder s'Ă©loigner, sans qu'un seul mot ne vienne frĂŽler ses lĂšvres. MĂȘme pas un au revoir. ChloĂ© lança un regard noir Ă  Edward. Son visage s'Ă©tait refermĂ©. — Si tu ne veux pas que je parle de ton pĂšre, Ă  l'avenir, Ă©vite de mentionner le mien. La seule diffĂ©rence entre toi et moi, c'est que, de ton cĂŽtĂ©, il est mort, et que moi je ne sais pas encore s'il l'est. C'est tout ce que tu as Ă  savoir. Puisqu'il Ă©tait trop curieux, l'ancienne professeur allait continuer l'apprentissage. Mais, en silence. Elle informula un Convulso Crispo en direction du jeune homme. AussitĂŽt, son corps d'adolescent fut secouĂ© de spasmes. ChloĂ© avait choisi ce sort parce qu'elle savait qu'il ne ressentirait aucune douleur, mais aussi parce que les mouvements incontrĂŽlĂ©s de son corps l'empĂȘcheraient de parler pendant quelques minutes. Et, surtout, parce qu'il s'agissait d'un sortilĂšge presque anodin. La derniĂšre chose qu'elle aurait voulu, c'Ă©tait le guider vers le mal. InvitĂ© Re Promenons-nous dans les bois...InvitĂ©, le Lun 5 Juin - 2346 Edward commençait Ă  se demander s’il devait fuir au plus vite. Il avait de moins en moins confiance en ChloĂ©. Il se sentait de nouveau mal Ă  l’aise en sa prĂ©sence. Elle lui ressemblait mais en version fĂ©minin. Quelqu’un de gentille Ă  premiĂšre vue mais qui Ă  l’intĂ©rieur de soi, possĂšde une partie sombre. Un ouragan de colĂšre qui peut s’échapper Ă  tout moment. Il l’avait bien vu dans ses yeux quand il avait mentionnĂ© son pĂšre. A prĂ©sent, il ne devait plus faire ni dire n’importe quoi. Chaque phrase qu’il prononcerait serait au prĂ©alable rĂ©flĂ©chi pour Ă©viter les ennuis. Pourquoi avait-il acceptĂ© qu’elle lui donne quelques conseils pour se dĂ©fendre ? Ed rĂȘvait d’ĂȘtre dans son lit Ă  dĂ©vorer un bouquin sur la botanique. Au lieu de ça, il suivait un cours de dĂ©fense dirigĂ© par une inconnue rencontrĂ© dans les bois. - Poudlard est une trĂšs bonne Ă©cole, tu sais. Tu vas y apprendre Ă©normĂ©ment. J'ai enseignĂ© la DĂ©fense Contre les Forces du Mal, lĂ -bas. »Dans le journal intime de sa mĂšre, elle avait mentionnĂ© toute sa scolaritĂ© Ă  Poudlard. Elle y dĂ©crivait un endroit magnifique oĂč l’on apprend au mieux Ă  se servir de la magie. Edward avait tout lu avant de recevoir la lettre pour son inscription lĂ -bas. Si ChloĂ© avait Ă©tĂ© professeur de DĂ©fense Contre les Forces du Mal, elle devait s’y connaĂźtre Ă©normĂ©ment sur les moyens de se dĂ©fendre. Et puis, elle l’avait enseignĂ© donc il n’avait en fin de compte peut-ĂȘtre rien Ă  craindre d’elle. Il Ă©tait juste un de ses Ă©lĂšves pour un unique cours. - Je ne l'ai pas depuis que j'ai franchi la porte du Hogwarts Express le jour de ma premiĂšre rentrĂ©e Ă  Poudlard. »Son comportement venait de changer. Le visage de ChloĂ© s’était assombrit. Elle n’avait donc pas vu son pĂšre depuis de nombreuses annĂ©es. Edward avait connu ce mĂȘme sentiment puisque cela faisait 12 ans que sa tendre mĂšre Ă©tait partie rejoindre les Ă©toiles. 12 ans Ă  pleurer chaque soir pour qu’elle revienne. 12 ans Ă  grandir sans amour maternel. 12 ans Ă  souffrir en silence. 12 ans Ă  haĂŻr les Dieux de lui avoir enlevĂ© sa maman. En fin de compte, ils n’étaient pas si diffĂ©rents que ça. Mais pour ChloĂ©, c’est son pĂšre qui l’avait dĂ©libĂ©rĂ©ment abandonnĂ©e Ă  l’ñge de 11 ans en plus. Quel parent pouvait-il faire cela Ă  sa fille ? On conçoit des enfants pour les aimer, les chĂ©rir. Pour leur apprendre le fonctionnement de la vie, pour parfaire leur Ă©ducation et leur culture. Autant ne pas en faire si c’est pour les abandonner ou les frapper quelques annĂ©es aprĂšs leur naissance. - Si tu ne veux pas que je parle de ton pĂšre, Ă  l'avenir, Ă©vite de mentionner le mien. La seule diffĂ©rence entre toi et moi, c'est que, de ton cĂŽtĂ©, il est mort, et que moi je ne sais pas encore s'il l'est. C'est tout ce que tu as Ă  savoir. »Edward dĂ©glutit. Une nouvelle fois, il avait peur pour sa vie. Baguette en main, il recommença Ă  trembler. Au timbre de sa voix, il savait qu’il lui avait fait beaucoup de mal en posant cette question concernant son pĂšre. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, il commença Ă  ĂȘtre secouĂ© de spasmes. Cela devenait de plus en plus intense. Il avait l’impression qu’il allait rendre son petit dĂ©jeuner Ă  ses pieds. Ed commença Ă  devenir rouge. Au bout de quelques minutes dĂ©sagrĂ©ables, cet Ă©trange phĂ©nomĂšne s’arrĂȘta. Il mit quelques instants Ă  reprendre ses esprits. Etes-ce ChloĂ© qui Ă©tait responsable de tout ça ? Pourtant, il ne l’avait pas entendu prononcer un sortilĂšge. - Ecoute, je suis dĂ©solĂ©, j’ai Ă©tĂ© bĂȘte de penser que je pouvais te poser des questions sur ton pĂšre. Je veux juste que tu m’apprennes Ă  me dĂ©fendre. D’ailleurs, c’est toi qui m’a lancĂ© un sortilĂšge ? »Il y avait de la peur dans sa voix. Si c’était elle la responsable, il devait vite s’en aller. Que lui arriverait-il si elle lui lançait un autre sortilĂšge plus violent ? Il ramassa ses affaires et commença Ă  s’en aller. Des brindilles craquaient sous ses pas. Edward tremblait de tous ses membres. Il n’entendait plus que les oiseaux qui chantaient au-dessus de sa tĂȘte. Il se retourna timidement et lança - DĂ©solĂ© mais je crois que ma tante m’attend pour dĂ©jeuner, au 
 au revoir. »Il fĂźt volte-face et ferma les yeux. Ed Ă©tait dĂ©sormais une cible facile de dos. Il supplia ChloĂ© Ă  tout bas de le laisser tranquille. En fin de compte, cette inconnue ne lui avait fait que du mal. Il voulait oublier cette rencontre au plus vite. D’effacer ce passage de sa mĂ©moire et de reprendre une vie normale. CiarĂĄn A. MerrowSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...CiarĂĄn A. Merrow, le Jeu 8 Juin - 1600 Lorsque les effets du sortilĂšge prirent fin, les yeux d'Edward ne criaient rien d'autre que de la peur. Un regard hurlant son envie de fuir. De partir. Loin, trĂšs loin. Partout, mais surtout ailleurs. Facile Ă  comprendre, quand on savait que la jeune femme Ă  l'origine des convulsions n'Ă©tait pas dĂ©rangĂ©e le moins du monde par la souffrance silencieuse et indolore du jeune homme. Il ne faisait pas de doute que sa jeunesse et son manque de maturitĂ© certain ne pouvaient pas l'aider Ă  aborder cette situation courageusement. Quoique, dans un Ă©lan de naĂŻvetĂ© et d'audace, il avait demandĂ© Ă  une ancienne Mangemort qui lui Ă©tait totalement inconnue si elle pouvait lui donner des cours de dĂ©fense. Quel doux paradoxe. Peut-ĂȘtre cette leçon aurait-elle le mĂ©rite de rĂ©veiller chez lui la mĂ©fiance qui s'Ă©tait endormie tout prĂšs de son innocence. ChloĂ© savait dĂ©jĂ  comment Edward allait rĂ©agir. Bien sĂ»r qu'il allait partir. Bien sĂ»r qu'il allait la fuir. C'Ă©tait une rĂ©action totalement normale, et s'il avait agi autrement, la vĂ©lane l'aurait trĂšs certainement pris pour un fou. Un fou totalement naĂŻf. Pour la premiĂšre fois depuis le dĂ©but de leur rencontre, le jeune garçon avait une rĂ©action saine et comprĂ©hensible. Comment pouvait-elle l'en blĂąmer? Comment pouvait-elle en vouloir Ă  un adolescent de ne pas savoir se protĂ©ger? À cet Ăąge-lĂ , c'est encore le goĂ»t du risque qui fait vibrer. Mais, maintenant, il semblait en avoir assez de mettre sa vie en pĂ©ril avec une femme qui n'avait que faire de Greenwood se sentait presque attendrie devant son manque de connaissances. Il n'Ă©tait qu'au dĂ©but de sa formation Ă  Poudlard, et n'avait pas l'air d'avoir entendu parler de sortilĂšges informulĂ©s. Mais il n'Ă©tait pas bĂȘte ; mĂȘme s'il avait pris le soin de lui poser la question, il savait parfaitement au fond de lui qu'elle Ă©tait la seule personne Ă  avoir pu l'attaquer de la sorte. Il avait demandĂ©, comme si lui-mĂȘme n'arrivait pas Ă  y croire. Comme si seule la rĂ©ponse positive de la vĂ©lane pourrait l'en persuader. Mais elle ne rĂ©pondit pas. Devant son silence, il commençait Ă  plier bagages. L'ex Serdaigle ne bougea pas et se contenta de le laisser faire. Infecte comme elle l'avait Ă©tĂ©, il valait mieux le laisser partir et accepter de le regarder s'en aller. Au fond d'elle, ChloĂ© savait que cette expĂ©rience le ferait rĂ©flĂ©chir. Qu'elle avait agi pour le mieux, et qu'il n'avait juste pas encore assez de recul sur cet instant pour s'en rendre compte. Mais dĂ©sormais, il se mĂ©fierait. DĂ©sormais, il arrĂȘterait de faire confiance Ă  des inconnus. Et maintenant qu'il avait profitĂ© d'un avant-goĂ»t, l'envie de bavarder en cours de DĂ©fense contre les Forces du Mal le quitterait. Tout ça, il ne le savait simplement pas encore. Il lui prĂ©senta une excuse des plus ridicules, pour Ă©viter de dire tout haut qu'il s'enfuyait parce qu'il avait peur. N'importe quel humain aurait rĂ©agit pareil. Pourtant, il n'avait pas de raison de la craindre. Enfin, plus aujourd'hui. Mais ça non plus il ne le savait pas. Il y avait tant de choses dont il n'avait pas connaissance Ă  propos d'elle. La vĂ©lane le regarda lui tourner le dos. Edward s'attendait Ă  ce qu'elle l'attaque de nouveau. Elle le savait. Mais elle ne bougea pas, se contentant de ranger sa baguette lĂ  oĂč elle avait initialement trouvĂ©e, Ă  l'intĂ©rieur de sa veste. Dans un dernier sourire, elle attendit qu'il passe la porte de sa maison pour se retourner Ă  son tour et quitter ces lieux oĂč elle n'avait trouvĂ© aucune rĂ©ponse. C'Ă©tait Ă  Edward de mettre la main sur les siennes. Dans un souffle, elle chuchota — À bientĂŽt, Edward. — Fin du RP — InvitĂ© dĂ©placementInvitĂ©, le Mer 21 Juin - 902 Pv EllyQuelques jours aprĂšs s'ĂȘtre Ă©chappĂ© de prison, Vladimir Estragon se trouvait sur les routes d'Angleterre. AprĂšs un rapide passage par Londres afin de s'acheter une baguette avec les derniers deniers qu'il possĂ©dait sur lui, il s'Ă©tait Ă©chappĂ© de la capitale sans ĂȘtre vu. ArmĂ©, Ă  prĂ©sent et tout Ă  la fois dĂ©sarmĂ©, le jeune vagabond s'Ă©tait demandĂ© dans quelle direction il pourrait se mettre en route. Paradoxalement, Vladimir se sentait bien. Cela faisait un long moment qu'il ne s'Ă©tait pas senti aussi libre. Peu importait la famine qui le toucherait bientĂŽt et la soif qui la tiraillait importait la chaleur qui lui faisait penser que ce n'Ă©tait pas la saison des Ă©vasions. Un jour Ă  vivre en libertĂ©, fut ce dans la pire souffrance physique en valait mille sous les verrous. Cependant qu'il marchait Ă  travers champs en Angleterre, l'homme s'Ă©tait plusieurs fois surpris Ă  crier de joie. Lorsqu'il avait de la chance, un passant lui donnait de quoi boire ou manger. Plus il montait vers le nord et plus le temps se faisait clĂ©ment. Parfois, un coup de baguette magique permettait de chasser un lapin au dĂ©tour d'un chemin et de faire un feu pour le faire cuir, mais alors...De deux choses l'une. D'une part, il craignait que le MinistĂšre ne le retrouve par l'utilisation de sa magie, d'autre part, il constatait avec effroi que la magie Ă©tait de moins en moins puissante en lui. Il manquait de pratique. C'Ă©tait d'ailleurs la raison pour laquelle il se rendait vers le nord. Dans sa libertĂ©, le jeune homme dĂ©sirait rejoindre l'Ă©cosse pour retrouver PrĂ©-au-Lard. LĂ -bas, se trouvaient ses anciens enseignants dont l'un pourrait peut-ĂȘtre l'aider. Un sorcier n'est rien sans magie Au moins les moldus avaient ils l'habitude de se dĂ©brouiller par des procĂ©dĂ©s dont celui-ci n'avait pas mĂȘme l' jour que la chaleur Ă©tait nĂ©anmoins particuliĂšrement intense, vers l'aube du mois de juillet Vladimir Ă©tait Ă©puisĂ©. La chaleur accablante semblait tout Ă©craser sous un ciel d'azurite. Ce clochard ne trouva rien de mieux que d'entrer dans une forĂȘt pour se protĂ©ger du soleil. LĂ , une riviĂšre coulait comme un trĂ©sor liquide. Se penchant pour boire, Estragon observa son reflet. Cela lui faisait bien de la peine de se voir ainsi. Il Ă©tait mal rasĂ©, peu musclĂ©, ses cheveux avaient poussĂ© plus que de raison et on pouvait observer des cernes sous ses yeux aussi profonde que la riviĂšre en face de laquelle il se trouvait. Mais ce qui Ă©tait surprenant, dans ce reflet que l'ombre des feuillages rendait un peu plus opaque, c'Ă©tait qu'il ne se voyait pas seul. Au-dessus de son Ă©paule gauche, un vieux fermier se regardait dans l'eau tout comme marcheur ambulant qui n'avait pas vu un visage depuis plusieurs jours cru d'abord Ă  une hallucination. Mais se retournant pour mieux l'apprĂ©cier, il n'eut d'autre choix que de constater l'existence de ce qu'il voyait. C'Ă©tait bien un vieil homme, court sur patte, avec une chemise Ă  carreaux. Probablement un moldu. Sur les ailes de son nez, la trace de lunettes fraĂźchement retirĂ©es laissaient penser qu'il avait Ă©tĂ© interrompu dans une activitĂ©, sans doute par la prĂ©sence d'un inconnu dans le bois qui longeait sa propriĂ©tĂ©. Bonjour.'jourVous devez avoir fait une longue route et ĂȘtre fatiguĂ©. Suivez moi, je vais vous aider Ă  vous reposer. »Le moldu Ă©tait effectivement un fermier qui possĂ©dait une ferme non loin du bois dans lequel s'Ă©tait engouffrĂ© Vladimir. Il l'invita donc Ă  rentrer et lui proposa un lait de chĂšvre que l'ancien bagnard ne se voyait pas en mesure de refuser. Finalement, comme la fin de l'aprĂšs-midi approchait Ă  grandes enjambĂ©s, un lit fut couvert dans la grange pour permettre au sorcier de passer la nuit avant de reprendre la route avant qu'il ne fasse trop chaud le lendemain une de ces granges habituelles dans lesquelles un silo permettait de stocker le grain. Au fond, une armoire trĂŽnait, poussiĂ©reuse et semblant venir tout droit d'une autre Ă©poque tout comme la moissonneuse batteuse qui se trouvait juste Ă  cĂŽtĂ©. Ce genre d'engins ne devait plus servir depuis bien longtemps. Sous la charpente de laquelle tombait quelques araignĂ©es, des poules avaient fait leurs nids avec de la paille sĂšche. VoilĂ , vous serez trĂšs bien, ici, dit le fermier en fermant la porte de la grange au grand damne de Vladimir. Bonne nuit. »La porte se ferma et la piĂšce fut plongĂ©e dans le noir le lus complet jusqu'Ă  ce que ses yeux se fussent adaptĂ© au manque de luminositĂ©. Il Ă©tait enfermĂ©... A nouveau. Un bruit se fit entendre. Puis une nouvelle fois. Il apparaissait comme venant du fond de la piĂšce. A y regarder de plus prĂšs, comme le soleil traversait par endroit la charpente en crĂ©ant des halos de poussiĂšre, il semblait que cela vĂźnt de l'armoire. S'approchant, l'homme sortit sa baguette. Pas Ă  pas, en suant Ă  grosse goutte, il commençait Ă  trembler. Lorsqu'il arriva devant la porte de cette armoire en bois brut, il l'ouvrit d'un coup. Mais il ne trouva rien Ă  l'intĂ©rieur. Lumos Une faible lumiĂšre s'illumina au bout de sa baguette, laissant entrapercevoir le fond de la commode. Étrangement, celle ci lui semblait plus petite qu' lumiĂšre s’éteignit. Le manque de pratique, sans doute. Un autre bruit se fit entendre, comme s'il venait de la grange entiĂšre. C'Ă©tait ce genre de grincement que fait parfois le bois lorsque l'air devient froid. Soudain, quelque chose bougea, il en Ă©tait sĂ»r. Cela semblait venir de la porte barrĂ©e de l'Ă©difice. En la fixant, il ne voyait rien. Puis le son se fit entendre Ă  nouveau et cette fois, il en Ă©tait certain, c'Ă©tait la grange qui bougeait. Il Ă©tait enfermĂ© avec quelque chose, sans avoir la possibilitĂ©, ni de sortir, ni de voir ce que c' murs. Le son venait des murs. La poussiĂšre que le soleil continuait d'Ă©clairer faiblement par endroit bougeait sur les murs. Celui du fond et de devant Ă©taient... Mais... Il semblait que la piĂšce fĂ»t dĂ©jĂ  devenu deux fois plus petite. Et cela continuait. Les murs, dĂ©finitivement, avançaient dans sa direction comme pour l'Ă©craser. Il allait mourir, lĂ , Ă©touffĂ©. DĂ©vorĂ© sans raison par cette prison d'un nouveau genre, par ce bĂątiment qui continuait de se refermer sur lui comme un piĂšge. Vladimir tenta de crier, d'appeler, mais aucun son ne sortait de sa gorge. L'armoire se retrouva bientĂŽt broyĂ©e comme elle se trouvait entre la moissonneuse et le mur. Elle disparut sous ce dernier dans un craquement sinistre comme un hurlement que le bois aurait sa baguette, l'homme se demandait ce qu'il allait faire. Il se demandait si tout allait se terminer comme ça. Mourir Ă©crasĂ© par une grange, il y avait de quoi rire. Rire, c'Ă©tait ce Ă  quoi il avait pensĂ© au dĂ©part, sans doute cette armoire recelait elle un Ă©pouvantard. Mais ce qui se dĂ©roulait sous ses yeux n'avaient finalement rien d'un Ă©pouvantard. La terreur, au fond de lui, qui lui enserrait la gorge, Ă©tait la mĂȘme. Cet effroi qui ne lui permettait pas de faire un geste. Il tremblait... De tous ses membres. Les murs Ă©taient de plus en plus prĂšs, bientĂŽt il connaĂźtrait le mĂȘme sort que l'armoire. Le soleil s'Ă©tait dĂ©finitivement couchĂ©, la nuit Ă©tait tombĂ©e. Il ne voyait plus rien du se coucha sur le sol. AllongĂ© sur le cĂŽtĂ©, il attendait que les bords de cette charpente viennent l'Ă©craser sous le poids de l'Ă©difice. Il avait peur, mais il se refusait Ă  la panique. Trop longtemps enfermĂ©, sans doute l'homme ne voulait plus que cela arrive. La fin Ă©tait proche. Il ne s'entendit mĂȘme pas rĂ©citer la formule comme si cela pouvait changer quelque chose. Riddikulus. Non, il ne lui semblait pas l'avoir prononcĂ©. De toute façon, cela n'avait eu aucun effet, la piĂšce continuait de se resserrer sur enfermĂ© aprĂšs avoir rĂ©ussi Ă  s'Ă©chapper d'Azkaban. Il n'avait pas de raison d'avoir peur. Deux ans dans la prison Ă©taient bien trop astronomiques face Ă  ce qu'il vivait en ce moment-mĂȘme. Et quand bien-mĂȘme il mourrait, cela Ă©tait peut-ĂȘtre mieux que de toujours se cacher. Il riait. Mourir... Haha, mais quel joli destin pour celui qui craignait qu'on ne le renvoie Ă  Azkaban par la force. Hahaha, il riait de plus en plus fort sans raison apparente, tel que pris par la folie qui vous touche lorsque vous avez suffisamment souffert pour le restant de vos jours. Il riait, il riait de plus en plus fort et les murs se feraient encore plus rapidement jusqu'Ă  ce que l'Ă©pouvantard soit totalement neutralisĂ© par le rire sans qu'il ait eu Ă  prononcer la formule ou Ă  imaginer quoi que ce soit de plus drĂŽle que son propre destin. AprĂšs tout, c'Ă©tait vrai, il n'avait plus peur du tout, au contraire, il riait de toutes ses forces. Il riait aux Ă©clats, Ă  gorge dĂ©ployĂ© et la pauvre crĂ©ature n'avait alors plus aucune emprise sur ombre sembla disparaĂźtre dans la fente au milieu de la porte de la bĂątisse et tout redevint normal d'un seul coup. Les murs semblaient ne jamais avoir changĂ© de place et l'armoire Ă©tait magiquement revenue Ă  la sienne. Vladimir se coucha dans le lit qui avait Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour lui mais, toujours tremblant, il ne parvenait plus Ă  trouver le sommeil. Finalement, il se rĂ©solut Ă  sortir pour passer la nuit Ă  la belle Ă©toile. Il ne pouvait plus s'endormir sans voir le porte s'ouvrit sans lendemain, lorsque le fermier vint lui apporter un petit dĂ©jeunĂ©, le vagabond Ă©tait dĂ©jĂ  parti. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mar 27 Juin - 727 Retrouves moi...PV avec KohaneAutorisation de reprendre le sujet par cours, sans m'arrĂȘter, je ne sais pas comment j'ai pu me retrouver ai absolument rien Ă  faire au fond, je ne cherche plus de raison, n'ai plus envie de me battre pour quoi que ce soit. Ce monde n'en vaut pas la peine, plus rien ne compte d'autre que cette douleur insupportable qui me broie l’estomac sans je crie... NuĂ©e d'oiseau qui s’envole, extĂ©rioriser la douleur qui me ronge mĂȘme si ça ne change tout ce conclut toujours d'un Ă©chec. Parce que j'ai mal, je n'arrive plus Ă  rĂ©sonner, seule reste la et moi, nous. MĂȘme si dĂ©sormais nous ne formons qu' de rage, de colĂšre et de douleur monde Ă  jamais transformĂ© pour mes un autre visage, un facette bien ne suis plus fantĂŽme, je ne suis plus rien...Je ne suis plus que rage, la vraie, celle qui vous consume et vous alimente en mĂȘme qui est mon unique raison de yeux se posent sur un arbre, je m' mes poumons Ă  terre, vomissant le contenu de mon estomac vide,goĂ»t acide sur mes lĂšvres, odeur du sans quand celui-ci rejoint le noir, monde de songe. Plus de vie, peut-ĂȘtre une simple envie. Le fil est perdu, comment finir la trame ?Des erreurs regrettĂ©e mais le monde continue de tourner, pensant me battre alors que j’ plus rien d'autre qu'une poussiĂšre, besoin intense de vengeance,dĂ©truire ce qui m'a conduit jusqu'ici. Impossible. Et pourtant je les pieds avancent toujours. Mais nul but, nulle ce besoin de continuer, alors que tout est perdu, que plus jamais le cƓur ne battra de coups, le sang coule abondement, en moi, empoisonnĂ©e de mes princesse n'est plus, rongĂ©e par la qu'une demi vie, comme si les aiguille s'arrĂȘtaient pour fatale, cicatrice banale. Tombant de haut sans avoir appris Ă  de brume, monde de fou encore bien trop flou. PaupiĂšres closes. Aveuglette, les jambes en un sens, une vois, comme si c'Ă©tait possible. Comme s'il existait quelque non, rien que le noir, la brume... Contours d'une nuit sans entre les arbres. Mains caressant les troncs sĂ©chĂ©s de vie. Simple oubliant les paroles de la chanson. Croyant que tout pourrait ĂȘtre monde, lui... Moi ? Mensonge. IncapacitĂ©. N'Ă©tant apte Ă  elle ? Viendra-elle ? Regard au sol. RĂ©signation. La peur d'ĂȘtre Ă  nouveau seule, Pas cette fois, non. Promettant de se battre pour que cela n'arrive sans avoir le moindre mot Ă  les dĂ©mons tiennent les pantin...La tĂȘte prise entre les mains enfantines. En apparence du de fois le sang a t-il dĂ©jĂ  eu l'occasion de couleur entre les doigts blancs ? Trop, beaucoup de folies, dĂ©libĂ©rĂ©s. L'adrĂ©naline qui circule si vite. Doux plaisir, cruel sourire. Une danse au pouvoir danse macabre. Tant d'excuse perdue au loin, emportĂ©e des vents si lourds. Ne cherchant plus le moindre pardon. Les mains se sont tendues, les chances ont Ă©tĂ© donnĂ©es, les bras on jamais mĂ©ritĂ©. Monde remplit de mensonge, de fausses victime. N'en Ă©tant pas une, me sentant si si profitant, je finissais par me laisser sombrer dans le de mes pires cauchemar. Voulant mettre son cƓur disparu Ă  l' veux la voir. Elle. La retrouver et chercher un soupçon d' que mon cƓur n'est pas partit avec que je me sers Ă©galement d'elle ?N'Ă©tant plus sĂ»re de rien. Doutant de moi. Je me retrouve Ă  implorer un quelconque Dieu pour qu'elle ne vienne pas, ne me trouve pas. Et soudain les jambes s'affaissent, la douleur grandit. Tombant le nez contre la terre, sentant les douces odeurs boisĂ©es qui s'enroulent autour de viens Ă  douter de mon propre nom, ne suis mĂȘme pas sĂ»re de savoir qui je sang est en train de couler dans mes veines. Je m' larmes ne coulent plus, plus depuis lui, depuis la diablesse qui a tant jouer avec est-ce finalement l'inverse. Je n'en sais trop rien... Soupir. Un souffle. Je crie son nom. Kohane...RĂ©sonnant en Ă©cho contre les arbres et dans le m'oublie pas... Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Mar 27 Juin - 1831 C'est comme l'annonce d'une mauvaise nouvelle. Ce vent. Ce ciel. Si lourd et si comme si la dĂ©tresse contenue dans sa lettre venait Ă  se reflĂ©ter dans l' lettre raturĂ©e, abĂźmĂ©e, recommencĂ©e. Des mots qui flottent et appellent Ă  l'aide. Phrases de la petite fille qui ne sait plus oĂč se poser dans ce vaste longtemps que j'ai pas eu de ses ne s'est pas passĂ© grand-chose aprĂšs notre rencontre dans les a gardĂ© sa place dans mon coeur. Elle a créé son cocon dans mon Ăąme. Mais elle a fait sa vie. J'ai fait la mienne. Une distance qui s'est imposĂ©e tout aujourd'hui, la voilĂ  qui revient. Qui bout d'une plume, ses traits tracĂ©s sur un parchemin Ă  travers les lettres et les mots qu'elle a tristesse et sa n'en sais pas sais seulement qu'elle a besoin de pour ça que je suis lui tenir la main. Parce que je lui ai promis que je pouvais l'aider Ă  faire un nouveau pas dans le monde. Parce que je ne peux la porter indĂ©finiment. Mais je peux lui tenir la main et tenter de la que je sais que j'ai autant besoin d'elle qu'elle a besoin de et feuillages. Sous un ciel gris. Qui pourrait bientĂŽt se mettre Ă  pleurer, qui sait. Arbres et feuillages. Odeurs me poser plus de questions, je me mets en route. Un pas, deux, craque sous la semelle. Le vent agite les branches, froisse le tissu des ne sais pas pourquoi, rĂ©ellement, elle a Ă©crit cette lettre. Pourquoi se sent-elle si mal. Pourquoi, pourquoi, pourquoi...Et je m'en savoirpourquoiparce que je ne suis pas lĂ  pour elle veut en donner les raisons, je l'Ă©couterai. Mais avant tout, je suis lĂ  pour silencieuse compagnie pour un peu de tenir la main pour un peu d' m'est si envie de l' que je l'aime, sans doute. La raison premiĂšre de ma venue ici. Une amie. Un fantĂŽme. Une soeur de douleur. Une bien-aimĂ©e. Elle est tout Ă  la me sens si proche d' veux l'aider. Et l' mot que l'impression qu'il renvoie Ă  ce passĂ© lointain que je regrette, cet Ăąge d'or qui m'apparaĂźt presque comme un vieux rĂȘve tellement il me semble renvoie Ă  cette Ă©poque oĂč le sourire Ă©tait si simple. L'amour si lĂ©ger. Les questions ne se posaient pas. Et j'aimais le tout me paraĂźt si d'amour Ă  donner et ne pas savoir comment le donner. Ne pas rĂ©ussir Ă  le donner. Ne pas trouver le courage d'en faire l'impression de ne plus rĂ©ussir Ă  ouvrir son coeur. Voguer, un visage, deux visages, trois... sans jamais parvenir rĂ©ellement Ă  Ă©videmment, j'ai de l'amour pour ceux qui m'entourent et me sont proches. Pour ces amis sur qui je sais pouvoir compter. Pour ces amis prĂ©sents, jamais absents, toujours de l'amour pour eux car c'est bien cela qui consolide toute le terme d'amoureuse ne signifie plus grand-chose pour moi. Je sais juste m'abandonner Ă  des bras, connus ou inconnus. Sans jamais rien ressentir de ne sais pas. Pas dans le fond, je le sens. Elle est diffĂ©rente. Des mon sentiment pour elle aussi, est tout aussi ne sont pas Ă  ses bras que je veux m'abandonner. Mais Ă  son coeur. C'est lui, que j'aimerais coeur, son Ăąme. Jumelle veux d'elle bien plus que je n'en ai voulu des autres. ExceptĂ© un regard, un sourire, une pulsation commune que je dĂ©sire. C'est ce qu'elle est au plus profond d'elle-mĂȘme que je veux. Je ne cherche pas que la surface des choses. Pas avec elle. Je veux le coeur de tout qu'elle la cherche. Ne trouve des feuilles sous le n'entends que ma propre soudain, une voix dĂ©chire le voile du silence. Une voix forte, un cri sorti de l'Ăąme. Qui ne porte qu'un mot. Qu'un sais alorsque je l'ai j'augmente l'allure, allonge le pas, suis les derniĂšres notes retombĂ©es du arbres dĂ©filentje ne vois rienentends encore rĂ©sonner, au fond de mes tympans,sa voixet l'appellancĂ© au ciellancĂ© Ă  la naturequi frĂ©mit sous le ventsa voixqui me demandaitmoic'est moiqu'elle veutpour la rattraperau-dessus du videne pas la lĂącherla ramenerprĂšs de moije ne te lĂącherai pasje te tiendraiĂ  bout de bras, Ă  bout de forceje ne te lĂącherai pasje te ramĂšnerai prĂšs de moipour t'Ă©treindre et te rassurertu ne seras pas seuleje serai lĂ Ă  te tenir la mainje te relĂšveraiet on avanceraencoreune foisun est vois son ne vois pas son peux l' elle est lĂ . C'est l' je m' Ă  deux dans cette forĂȘt. Pour crier le m' la main, saisis son bras pour prĂ©venir de ma de ne sais que dire. Je sais seulement que ne l'oblige pas Ă  se retourner pour voir son visage peut-ĂȘtre je m'accroupis pour ĂȘtre Ă  la hauteur de son corps assis et je l'Ă©treins doucement pour la silence d' bras se referment sur son corps. J'appuie mon menton sur son ne la regarde regarde paysage qui se dĂ©roule sous ses yeux. Sous les miens aussi, paysage d'arbres et feuilles. De nuages lourds et de ciel bras se ne parle n'est pas Ă  moi de ne suis lĂ  que pour rassurer. n'ai rien Ă  dire. Pour l' peux l'Ă©couter, si elle le peux la calmer. Par cette embrassade humaine empreinte d'amour et d' n'es pas seuleTu m'as attendueJe suis lĂ . Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Jeu 29 Juin - 1033 Je perds toute notion du dans un monde de vide manquant cruellement de cherche quelque chose Ă  quoi me raccrocher. Me prouver que je suis toujours qu'il et parti depuis que le diablesse m'a gelĂ© le cƓur, j'ai peur ne n'ĂȘtre plus rien qu'un simple reflet de cette autre Ellana que je pensais alors connaĂźtre. Je ne reconnait plus mon visage, mains tremblantes lorsqu'elles sĂšment la douleur pour les autres. Comme une douce vengeance, parce que je ne suis pas capable, se battent ces autres qui souffrent ? Ceux qui se perdent dans l'ombre sans avoir besoin de faire du voir le sang couler pour vivre. Je vous admire, poussiĂšres de ce d'un peu de plus, vous envolez,un peu plus loin, toujours. MĂȘme quand les ailes manquent Ă  l' je ne suis pas comme vous,je n'y arrive pas...La colĂšre me prend Ă  la gorge. Comme un millier de petite veux me battre, j'ai besoin de leur faire tous les sourires que je regretter Ă  ces imbĂ©ciles le fait mĂȘme d'ĂȘtre Ă©goĂŻsme ? Sans doute...Coup de poignard, caresse des lames, je suis une vague qui monte en moi, encore plus, toujours j'ai envie de les dĂ©chirer, ces enfants heureux comme ceux qui ne devrait pas l' donc cela que tu cherches Ellana ? Un monde oĂč tous sont comme toi ?Les questions se multiplient. Je ne rĂ©pond me rend coupable...À chaque des branches, des feuilles sous les ne suis plus seule au milieu de cet qui se ferment, un presque noir sans reste rĂ©veillĂ©e. Pour quelques minutes de ce qu'elle arrive Ă  moi. Alors lĂ  je pourrais sombrer, lĂ  je pourrais me il me faut encore un peu...Tu es sens ta prĂ©sence,cette main sur mon coup mon visage s’apaise,les trais soulagĂ©s dĂ©nouent la gorge de sa qui doucement se relĂąche. Je ne bouge pas, pas un geste, pas un tu es venues, puisque tu es me serres doucement dans tes ne peux voir ton visage mais sens ton cƓur qui le mien qui doucement se Je ne parviens plus Ă  y jamais pu comprendre Ă  quel point tu m'avais en vĂ©ritĂ© si loin, si loin de toi. Mais aujourd'hui rien n'a si les sentiments avaient simplement attendus le bon tu reviennes les reprendre entre tes Tes mains sont si pose mes paumes sir tes mains qui m'enserrent,et dĂ©licatement j'ouvre les moindre Ă  Ă©trangement retrouver des si tout brillait un peu plus que tu es Ă  mes cĂŽtĂ©s, que t'as prĂ©sence me rend un peu de Kohane, merci d'ĂȘtre lĂ  pour et d'avoir un cƓur assez grand pour m' Petite traĂźtresse repoussĂ© bien des mains, mais pas les il n'en est pas question. Jamais. Mon cƓur est brisĂ©, laissant s’échapper la vie de j'ai gardĂ© une partie intacte. Pour toi...On peut faire un pas, on pourrait...Encore un de plus, mĂȘme si j'ai mal, si toi que je n'ai pas mal de toi, comme j'ai mal de la mes "je t'aime" ne sont pas des mensonges comme pour ne jouerais pas avec toi. serais bien incapable, cela causerait ma toi je pourrais les offrir, ses trois toi je pourrais promettre, de t' que tu n'es pas comme elle...Parce que je t'aime alors que je ne pensais plus ça voulu vĂ©rifier. J'ai osĂ© lancĂ© les voilĂ  comme serre dĂ©licatement tes que je suis toujours en ce n'est pas juste un cadavre que tu encore de l'espoir. Parce que tu es que ce sont tes bras qui me qu'il n'est plus lui je lui avait promis, jurĂ© de ne jamais l’abandonner, de toujours l'aimer. Mais j'ai faillit Ă  ma mission, j'ai pris peur et me suis enfuie. Alors que mon cƓur me criait de lui demander pardon. Alors que c'est pour lui qu'il continue de battre...Pour lui et pour toi. on se perd Ă  trop aimer, Ă  toujours ce soit volontaire ou non. Ça fait si mal, enlĂšve l'envie de se que je suis trop faible, pas assez si c'est sans doute ma que je ne le nie me retourne criant sous la doigts avancent vers ta joue,j’effleure ta peau comme pour me rendre compte que tu es un mirage, ni une douce la sĂ©rĂ©nitĂ© reviens juste un peu sur les trais es lĂ ...Murmure envolĂ© au quatre mains passent derriĂšre ton t'enlace en posant mon visage contre tes Kohane...Chuchotement contre ton un secret, comme un es belle Kohane, si ne savais plus ou j' tremblement Ă  peine d'ĂȘtre venue me rejoindre,me prouver que j'ai encore un peu d'amour Ă  surtout que j'ai eu raison de te l'offrir. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Mer 5 Juil - 1547 MusiqueLe corps, tendu de rage ou de tristesse. Peut-ĂȘtre les deux. Sans doute les reste silencieuse et immobile. Mes bras qui l'enserrent de la lĂąche pas. Je veux qu'elle sente. Qu'elle sache. Que je suis lĂ . Oui, je suis venue. Pour toi. Je suis lĂ . Pour te tenir la main. Contenir ta colĂšre. Essuyer tes larmes. Etirer tes lĂšvres d'un sourire. Encore un, encore un, pour se dire qu'on en est suis venue, suis suis je sens ses Ă©paules qui, doucement, se relĂąchent. Une forme d'apaisement contagieux. Mes propres bras autour d'elle se dĂ©tendent. Je n'ai plus peur qu'elle fuie. Qu'elle explose. Qu'elle s'Ă©vapore. Je sais qu'elle paupiĂšres se ferment un court instant -soulagement aprĂšs tout, je ne la libĂšre pas. Et la garde contre ce silence Ă©ternitĂ©. Parfois agitĂ© de quelques bruits de j'Ă©coute et j' au moindre mouvement, au moindre tellement Ă©trange de la retrouver. La retrouver d'y ĂȘtre, je ne savais pas bien comment cela allait pouvoir se d'y ĂȘtre, je n'Ă©tais pas sĂ»re de ce que j'allais fantomatique rencontre au milieu de la nuit me paraĂźt si loin ! Et si rapide. Un simple Ă©clat dans une vie, lueur Ă©phĂ©mĂšre, disparue aussi vite qu'elle est apparue. Si bien qu'aprĂšs cela, je ne savais plus vraiment. Plus vraiment oĂč j'en Ă©tais. Ni mĂȘme si mes sentiments pouvaient ĂȘtre durables. SincĂšres et spontannĂ©s, ils l'Ă©taient, pour sĂ»r. Mais sauraient-il rĂ©sister Ă  la cruelle morsure du Temps ?Et, Ă  prĂ©sent que j'y suis, je rien n'a Temps n'a pas su effacer Ă  prĂ©sent que j'y suis, je m'a que je n'en avais pas conscience. Mais, dans le fond, sa non-prĂ©sence faisait un vide. Un vide que je n'ai jamais su combler. Un vide qu'on ne m'a jamais laissĂ© l'oportunitĂ© de Ă  son dos, je respire son suis heureuse. De l'avoir petit corps blotti contre le mien. La calmer pour mieux je sens ses mains, doucement, se poser sur les miennes. Les enserrer, comme signe de vie, de force. Oui, elle est encore lĂ . Encore lĂ . Elle peut ĂȘtre debout. Elle peut ĂȘtre forte. Elle peut affronter la Vie, ses Monstres et ses DĂ©mons. Je le sais. Sa main qui serre la mienne avec tant de vigueur me le mince sourire se dessine sur mes suis si heureuse que tu sois lĂ , en chair et en os. Que tu m'aies attendue. Que tu aies voulu me que les sentiments d'avant, si rapidement exprimĂ©s, besoin de toi. Tu as besoin de un nouveau ce silence d'Ă©ternitĂ©. Pour sceller des temps des mots n'est pas encore une affection muette, des gestes qui valent mille rester ainsi, que la scĂšne se fige, comme sur une photographie plus rien ne bouge. Pas mĂȘme nous. Uniquement continuer d'entendre les battements de son coeur. Savoir qu'elle est vivante. Entre mes bras. Savoir que je peux encore la tenir contre peux encore ĂȘtre lĂ  pour toi, qui sait ce que nous rĂ©serve l'avenir ?Je n'ai jamais rĂȘvĂ© un futur exclusif Ă  tes cĂŽtĂ©s. Pour moi, tu Ă©tais juste un fantĂŽme-reflet, celle en qui je me reconnaissais et que j'aimais tendrement pour la belle alchimie de nos douleurs. Tu Ă©tais ce fantĂŽme passant, que je savais pouvoir retrouver et aimer de nouveau si je le souhaitais. Ce fantĂŽme qui fait sa vie tandis que je fais la aujourd'hui, justement, ma vie, ce n'est plus moi qui la fais, qui la vie n'est presque plus la si je ne la possĂšde pas moi-mĂȘme, comment pourrai-je t'en offrir des parts ?Avec larmes, haine et rĂ©signation, j'ai acceptĂ© d'abandonner mon Futur aux obligations familiales et au poids de l'argent. Il ne me reste plus grand chose. Plus grand chose que je possĂšde encore de mon grand-chose que je puisse encore t'offrir, t'aime et je ne veux pas t' vĂ©ritĂ©. Je ne t'abandonnerai. choses risquent juste d'ĂȘtre bien mĂȘme je voudrai tout t'offrir de moi, je ne le pourrai plus. Je n'ai plus de pouvoir sur rien. Alors, aujourd'hui, c'est un peu de ce rien qui me reste que je te Ă©tant venue. Pour pouvant encore te serrer contre mon en me disant queje t' mouvement brise l'aspect figĂ© de la elle tourne la tĂȘte. Un visage dĂ©fait, douloureux. Et en mĂȘme temps, je sais qu'il est plein de doigts viennent effleurer ma ne bouge pas. Me contente de la regarder de mes pupilles suis vivante,moins fantomatique que la derniĂšre fois, peut-ĂȘtre,je suis vivante, de chair et d'os, en tout cas,ne t'en fais pas pour ses mots coulent tout doucement, comme un minuscule les laisse aller, ses bras autour de mon cou, son visage contre moi, sa voix au creux de l' dernier appel de la je serai lĂ  pour te parfois du mal Ă  me soutenir moi-mĂȘme. Mais Ă©trangement, je veux tout faire pour relever les propres bras gardent leur Ă©treinte autour de son fait tellement du bien de sentir que quelqu'un est lĂ . Qu'elle est Dame Oiseau je vois aujourd'huis en plein oĂč tu es. Je serai lĂ . Pour mumure, le sais, n'est-ce pas ?Je serai toujours lĂ  pour qu'il me restera encore un peu de ce rien qu'on me laisse, tant que je peux encore t'offrir de ce rien qui m' reçu ton appel en dĂ©tresse. Et je suis finis par desserrer mon Ă©treinte et Ă©loigner un peu mon visage pour pouvoir la regarder dans les pupilles des Ă©toiles au milieu du voile de tristesse et perdition au-dessus. Pour tenir le je sais que tu sauras t'en dĂ©barrasser, de ce voile la regarde, la contemple en est belle aussi en plein jour. Elle est diffĂ©rente. Sa beautĂ© n'est plus la mĂȘme. Mais elle continue de briller encore un peu. De cette force qui attend seulement d'ĂȘtre dĂ©couverte. Cette force qui la poussera Ă  avancer. Une fois qu'elle aura pleurĂ©, explosĂ©, pose une main sur sa ne parle dans mon oeil, seulement la t'arrive-t-il ? Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Dim 9 Juil - 1107 j'ai pas de musique mais la tienne est parfaite <3Comme une impression d’irrĂ©alitĂ©, peut-ĂȘtre que c'est mieux ainsisans doute la douleur serait-elle moins grande, je ne suis plus sĂ»re de rien,Ă  ses cĂŽtĂ©s le monde semble retrouver des couleur oubliĂ©es, un bonheur merveilleux qui m'enserre la gorge de sa beautĂ©, comme si mes yeux n'avaient Ă©tĂ© capable de le dĂ©celer plus tĂŽt, si simplement je n'Ă©tais pas apte, pas prĂȘte Ă  le voirmais maintenant tout est diffĂ©rent elle est lĂ  et ce n'est qu'au moment ou son visage rĂ©apparait devant mes yeux que je me rends compte Ă  quel point j'ai pu souffrir loin d'elle, je l'observe les yeux brillants d'une sensation de plĂ©nitude intense, l'impression qu'un rideau se dĂ©chiremettant les douleurs de cĂŽtĂ©s, au moins pour un instantjuste un petit temps plus qu'apaisant, elle est si proche tout en me semblant si loin, je ne sais que penser alors je fais taire ma raison, qu'importe la taille de cette folieelle ne m'a jamais Ă©tĂ© pleinement utile et j'ai l'impression que le destins se fiche de moij'ai Ă©tĂ© fantĂŽme et Ăąme brisĂ©e mais ma faiblesse ma reconduite dans d'autres bras,je me suis perdue dans cette instabilitĂ©, prĂȘte Ă  mentir et Ă  tromper, pour survire,pour avoir l'impression de tenir ma vie en main, de tout contrĂŽler alors que ce n'est pas le casque cela ne l'a sans doute jamais Ă©tĂ© pour personnepas de ce monde en tout casje sens la douce caresse d'un renouveau, elle ne m'a pas oubliĂ©e, encore moins abandonnĂ©e,j'ai presque du mal Ă  croire Ă  ma chance, ne comprenant pas ce qui la pousse Ă  me retrouverou peut-ĂȘtre comprenant trop bien et alors que tout aurait pu s'arrĂȘter, que nos chemins auraient si facilement pu se sĂ©parer, la revoilĂ  prĂšs de moi, serrant mon corps entre ses bras, comme pour prouver que tout n'est pas fini, qu'il reste encore un peu d'espoir, un peu de vieune raison de se battre, du lutter, toujours plu longtemps, mĂȘme alors que tout va malou du moins que c'est ce que l'on penseet moi je suis lĂ  Kohane, il y a un vide en moi qui ne demande qu'Ă  ĂȘtre comblĂ©non un vide banal que n'importe qui pourrait prendreta place celle qui tu t'es faite dans mon cƓur cette nuit lĂ que tu garde encore aujourd' suis plus forte qu'Ă  notre derniĂšre rencontre, plus forte et plus perdue,les secondes ont filĂ©es, pas mal de choses ont changĂ©es et pourtant je suis toujours profondĂ©ment la mĂȘme,j'imagine que pour toi c'est pareil, que le monde Ă  mainte fois Ă©tĂ© cruel, mais la douleur n'a pas changĂ©, pas toutparce qu'au fond nous sommes toujours les mĂȘme, parce qu'en nousnous ne sommes que toujours deux enfants perdues au fonds des cachots,deux Ăąmes empreintes d'une douce insomnies, d'une alchimie de douleur qui peut rendre plus forteet c'est ce que je veux ĂȘtre moiplus fortepour toi, peut-ĂȘtre aussi pour moi, qu'importe, les DĂ©mons plus jamais ne m'auronts'il faut je deviendrais plus redoutable, froide, distante, s'il faut je me battrais, regarderais leur sang couler sans le moindre remord, les regrets n'ont plus le loisir d'exister dans l'obscuremais malgrĂ© cela, je garderais mon cƓur, je ne veux pas ĂȘtre une machine,je veux garder une place pour toi, juste ici, en moi,parce que je te sens prĂ©sente, tu sais, depuis cette nuit tu m'alimentes,la douleur de l'absence ne me fait que trouver nos retrouvailles encore plus merveilleuseset pourtant rien n'a changĂ©, nous sommes toujours lĂ ,l'une pour l'autre mĂȘme si ça aurait pu sembler impossiblepuis tes paroles explosent, comme une saveur sous ma langue,et je veux crier, que je t'aime, plus fort, plus loin que je ne l'aurais cru possiblecomment peux-tu donc ĂȘtre comme ça Kohane, comment parviens-tu Ă  me faire ça ? en un claquement de doigts tu rends les couleurs Ă  mon Ăąme, tu parviens Ă  me rendre ce que j'ai failli dĂ©truire,tes mots volent jusqu'Ă  moi et percutent mon cƓur avec une douceur infinieles larmes veulent couler mais je les retiens,je ne permettrais pas cela, pas aujourd'hui, je veux juste ĂȘtre heureuse, de ta prĂ©sence, fĂȘter ton retour du mieux que je peux, ouvrant mon cƓur Ă  la joie de te sentir de nouveau prĂšs de moiet je voudrais pouvoir te parler, formuler ce que je n'ai pas pu Ă©criremais j'ai du mal, je n'y arrive pas, cruelle injustice de ce monde qui me bloque la gorgeje veux pester, rĂąler mais tout dĂ©borde bien trop d'inutilitĂ©alors je me perds dans ses yeux parce que tu m'as manquĂ©comme une simple justification, qui n'aurais pas vraiment sa placemais la voix est enfantine, le cerveau ne rĂ©sonne plus contact de sa main contre ma joue, je ferme un instant les yeux, parce que ça fait tant de bienque j'avais presque oubliĂ© cette sensation, ses doigts comme les ailes d'un papillon, dĂ©licats et protecteursje ne veux plus rĂ©flĂ©chir Ă  quoi que ce soit, pas maintenant, pas aujourd'hui,juste ĂȘtre, avec elle et pour elleme perdre et m'oublier, mes ses yeux interrogateur me demande,pas comme un ordre mais une invitation, un acte de prĂ©sence, me dire qu'elle est lĂ  et que je peux parler,mais dois-je donc vraiment Ă©voquer Kalsi ? Ne serai-ce donc pas un peu dĂ©placĂ© ?mais j'ai confiance en elle, plus qu'en n'importe qui, cette relation tissĂ©e entre nous est si uniqueque je doute qu'elle puisse laisser de la place Ă  une jalousie stupidej'ai Ă©tĂ© amoureuse soupir, comme une simple rĂ©signation, oui je suis retombĂ©e,dans les bras d'un homme qui plus est, je me suis blessĂ©e et brĂ»lĂ©e vive, par ma faute et non la siennemais une diablesse Ă  jouĂ© avec moi, elle m'a ensorcelĂ©e de son corps, me rendant dĂ©pendante Ă  ellej'ai tentĂ© de lutter puis j'ai pris goĂ»t au jeu et quand il nous a surpris je...une hĂ©sitation, j'ai mal d'Ă©voquer ces jours de douleur, fuyant son regard pour dĂ©poser ma tĂȘte contre son Ă©paule,la sentir prĂšs de moi et puisse une force dans sa prĂ©senceje me suis rendue compte du mal que mon instabilitĂ© allait lui faire,j'ai prĂ©fĂ©rĂ© mentir, lui dire que je ne l'avais jamais aimĂ©, j'ai prĂ©fĂ©rĂ© le laisser partir...je fini dans un souffle, serrant mes bras autour d'ellecomme pour me raccrocher Ă  quelque chose, lui dire que je l'aime aprĂšs çamais je l'aime... un simple murmure, je retrouve les yeux de mon Ăąme jumelle, fermant soudain les paupiĂšres pour un geste inconsidĂ©rĂ©, mes lĂšvres se posent dĂ©licatement sur les siennestendre baiser sans doute interdit, je ne veux plus la lĂącher, ma main passe doucement dans ses mĂšches foncĂ©es,comme si je pouvais rester ici Ă  jamais. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Dim 30 Juil - 2250 MusiqueJe ne sais comment j'avais rĂȘvĂ© ces fait, je ne les avais peut-ĂȘtre pas ne les avais pas que je ne voulais plus te je ne me projetais pas. Pas avec vivais au jour le jour en sachant qu'un jour, tu me reviendrais, je te reviendrais, nous nous ce jour,C'est aujourd' es lĂ . Si prĂšs de mieux ni moins bien. Juste. Equilibre parfait. Tu es parfaite. Dans ces teintes d'ombre-lumiĂšre sous les arbres. MĂȘme ton air attristĂ© et sombre s'accorde avec l'aspect sans tĂąche de ces retrouvailles. Je te contemple. Et te trouve plus belle que toujours quand j'arrive pour te rattraper que je te trouve toujours quand tu te tournes vers moi, quand tu as besoin de moi, quand tes bras se tendent vers moi que je te trouve Ă©clatante. Alors mĂȘme que tes yeux pourraient ĂȘtre sombres, voile de larmes sur le globe tu es belle comme regardSon regardL'un perdu dans l'autreL'autre entremĂȘlĂ© dans l'unEt on se retrouve. Et je sais que, mĂȘme si je ne me faisais aucun projet, aucun rĂȘve sur cet instant-lĂ , je l'attendais avec impatience depuis toujours. Depuis qu'on s'est quittĂ©es dans les cachots. Depuis que je l'ai dĂ©couverte fantĂŽme, que j'ai aimĂ© sa douleur, que j'ai aimĂ© sa personne. Depuis que j'ai fait un pas vers elle, elle vers n'en avais pas pris c'est suis si heureuse qu'elle soit m'as prononce ces mots alors mĂȘme qu'ils me traversent l' les sort alors mĂȘme que mes lĂšvres voulaient les a Ă©tĂ© la plus nos cƓurs Ă©taient accordĂ©s en au mĂȘme rythme doux. Pour un sentiment prononcĂ© Ă  la forĂȘt, venu du fond de la gorge, simple elle est si proche de doit l'avoir doit l'avoir qu'elle lit en moi. Et que les mots sont sait,peut-ĂȘtre,Que j'ai pensĂ© Ă  elle quand elle n'Ă©tait pas lĂ , que j'ai continuĂ© de l'aimer quand elle n'Ă©tait pas lĂ , qu'inconsciemment, j'ai espĂ©rĂ© la revoir alors qu'elle n'Ă©tait pas la vois fermer doucement les volets s'abattent sur les main figĂ©e sur sa sens sa peau chaude sous mes doigts. Y'a le sang qui circule dans son corps, pulse dans les veines, la font vivre alors qu'on pourrait la croire fantĂŽme. Y'a le sang qui coule et sais qu'elle est bien sur les fil des rĂ©vĂ©lations, j'attends. Je n'ose pas encore esquisser un pas, un peu malhabile ou maladroite dans ma discipline. J'attends seulement. Qu'elle doit donner le signal du enfin, ses mots. Disent. Sortent de la l'Ă©coute sans tĂȘte vient trouver refuge sur mon Ă©paule. Comme si elle ne parvenait plus Ă  affronter mon regard. Ou le voile des souvenirs se dressant entre elle et son cƓur. En peine. PiĂ©gĂ©. TourmentĂ©. a ressens son amertume. La douleur provoquĂ©e par l'autre. Y'a pas de nom. Y'a seulement le qualificatif. La diablesse. Qui s'est ri de tout cela. A saisi au vol le cƓur trop brĂ»lant d'amour. Pour se jouer de lui. L'ensorceler et provoquer sa son tĂȘte posĂ©e contre mon effectif ma main sur ses et souffle toujours plus finir sur la terrible je l'aime...Je sens mon cƓur se serrer. A ces derniers mots. Non pas une pointe de jalousie. Mais des souvenirs aussi, j'aurais pu dire je l'aimeEt pourtant, je l'ai que je l' y'a longtemps. Mais ça reste comme une plaie jamais cicatrisĂ©e. C'est si dur. D'abandonner volontairement ce que l'on au bout des lĂšvres, le couteau dans le connais tout en se disant qu'on soudain, me tirant de mes rĂ©flexions, je sens ses lĂšvres chaudes contre les de baiser. Tendre et si longtemps refoulĂ©. Le baiser au milieu de nulle part, une bulle rien qu'Ă  nous avec, Ă  l'occasion, quelques arbres autour. Mais c'est surtout nous, notre bulle qui m' j'accueille. Que je rends. Sa main qui vient se mĂȘler Ă  mes mĂšches. J'ai l'impression qu'Ă  nouveau, la terre tourne. Alors qu'elle est lĂ . Si prĂšs de moi. Ses lĂšvres contre les miennes. On est deux. A valser dans l'univers. Instant-temps Ă©ternel. La scĂšne pourrait se figer. Elle resterait Ă©ternellement contre moi. Sa main dans mes cheveux. .........Tout s'est arrĂȘtĂ©...........Et pourtant, nos cƓurs continuent de battre dans nos de l'un Ă  l' tape et amitiĂ©-amoureuse, deux oiseaux perdus qui s'aiment pour l'alchimie de leur douleur. Mais peut-ĂȘtre pour quelque chose de plus aussi...Finalement, par la force des choses, je finis par rompre ce baiser de larmes, d'amertume et de un peu mon visage. La pourrais te redonner espoir. Essayer. Essuyer tes larmes. Te tenir la main. Te soutenir. Je sais que tu as besoin de vais faire de mon toujours terrible de partir, laisser partir alors qu'on ses Ă©paules de mes garde serrĂ©e contre yeux se perdent sur le de sommes regrettes ? Si tel est le cas, tu as encore la possibilitĂ© de faire marche arriĂšre. Ou plutĂŽt de courir aprĂšs ce que tu as abandonnĂ©. Il n'est peut-ĂȘtre pas trop tard. Il te suffit seulement de te lancer. Et courir sans t'arrĂȘter. Jusqu'Ă  l'avoir rattrapĂ©. Il n'y a que toi qui puisse dĂ©cider de le faire ou pas. Si tu ne te lances pas dans cette course, il te faudra alors faire le deuil de cet amour. C'est possible. Mais c'est voix se brise un peu sur les derniers contre les rĂ©cifs. Qui se jettent et ne l'Ă©branlent Ă©clatent en mille et une gouttelettes, autant de larmes que j'aurais pu verser moi aussi par amour. Stupide sentiment. Pourquoi faut-il que cela fasse si mal ?Je ferme les yeux quelques sa douce l'affĂ»t des bruits environnants. Mais rien. Sinon sa respiration. La mienne. Mon cƓur. Dans mes m'a parlĂ©. M'a confiĂ©. Une part. Un bout. D'elle-mĂȘme. Moi aussi. Je peux faire. Un pas. Vers elle. Et sais, y'a longtemps, j'ai fais la mĂȘme chose que toi. J'ai abandonnĂ© ce que j'aimais. Mais je ne me suis pas retournĂ©e. Je n'ai pas couru aprĂšs. Ca a Ă©tĂ© si dur. Un deuil, c'est jamais facile. Je ne regrette pas mon choix. Car je sais que je ne pouvais faire autrement. Je l'aimais. Mais je devais partir. Je ne regrette pas. Je sais juste que... c'est dur. Les larmes et l'amertume qui restent au creux de la gorge. Les questions, les pourquoi Ă  la chaĂźne, les et si tout Ă©tait diffĂ©rent...Si c'est un deuil, que tu veux faire,Va falloir te prĂ©parer Ă  tout Ă©treinte se je serai sur moi. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Ven 11 AoĂ» - 2038 Musique...Nous Ă©tions bien peu de chosece matin dans la douceur d'une atmosphĂšre boisĂ©edeux enfants fuyant un monde d'illusion je restais contre toi car pour la premiĂšre fois j'avais cette impression de vivresentant ton cƓur battre en accord avec le mienalors que tes lĂšvres au goĂ»t sucrĂ© m'offraient une nouvelle saveurun peu de moi, un peu de toi, d'un nous que j’espĂ©rais retrouveret comme si rien n'avais changĂ©, depuis cette nuitce noir dans les cachots quand je t'ai vue brillante d'une beautĂ© oubliĂ©eje t'ai aimĂ©e Kohane, tu sais ? un peu trop vite peut-ĂȘtremais le temps ne comptes pluscomme il n'a jamais comptĂ© jusqu'ici alors que des mois ont passĂ©snous sommes toujours lĂ un peu plus forte que cet autre soirelle est intrigante comme si malgrĂ© l'impression de la connaĂźtre je pouvais dĂ©couvrir des milliers de chose de plus en elleet c'est sans doute le cas bien que je ne sois sans doute pas capableque je n'ai pas la subjectivitĂ© de ce temps si Ă©trangej'aimerais Ă  tout jamais rester lĂ et pourtant mon baiser prend finalors je me rend compte que pas un instant, je n'avais douter de son commencementelle aurait pu ĂȘtre pu, me repousser, me dire un simple "non"est-ce que je ne viens pas de lui avouer oĂč Ă©tait une grosse partie de mon cƓur ?peut-ĂȘtre qu'elle s'en moque, je ne sais pas, ou alors trop biencomme si au dessus de cela nous ne pouvions Ă©prouver jalousieun simple bonheur de voir l'autre heureuse comme de l'ĂȘtre ensemblej'Ă©tais comblĂ©e de ce partage que l'on aurait pu penser impossiblemais qui pourtant vivrait en nous sans le moindre complexe avec toi Kohane, toutes les convenances se voient chamboulĂ©eselle me parle, ses bras m'entourent je suis... bienjuste comme ça sans avoir besoin d'autre choseelle et doucement ses paroles s'offrant Ă  moicomme un torrent, une cascade viveque doucement je remonte jusqu'Ă  son Ăąmepour y dĂ©couvrir une autre histoireun passĂ© semblable Ă  mon prĂ©sent il ne me reste qu'un choixme retourner ou fermer les yeuxet je doute pouvoir le faire, j'ai peurde passer Ă  cĂŽtĂ© du bonheur comme de forcer quelque chose de dĂ©jĂ  mortcomment savoir sans essayer ?me voilĂ  perdue entre deux possibilitĂ©sincapable de dĂ©cider quel chemin emprunter si seulement je pouvais me perdre, Kohanedans ton Ă©treinte, tes bras rassurants qui me tiennent chaudslĂ  si prĂšs de mon cƓur allumĂ© qui bat alors qu'il se devrait sans doute Ă©teint j'ai peur de me retrouver seule une fois que tu ne sera plus lĂ tu sais, les couleur sont tellement plus belle Ă  cĂŽtĂ© de toiune vie qui se veux paraitre moins difficile pour me laisser un temps de rĂ©pit, un temps avec toitu es si belle, je suis incapable de comprendre pourquoi tu restes encore prĂšs de moimais je te vois brillante Ă  cĂŽtĂ© de mon Ăąme salie, tu scintilles d'un aura presque magiqueune merveilleuse symphonie que j'entends rĂ©sonner Ă  mes oreillesje voudrait te demander, Kohane, comment on fait pour ĂȘtre toi ?Alors que se tais la douceur de sa voix vibrante d'une Ă©motion qui me traverseparce que chacun de ses mots ont un sens, toutes ses phrases vibrent de vĂ©ritĂ© Ă  mes yeuxje sais, je vois, sa douleur qui pourrais ĂȘtre la mienneson passĂ© dans mon futur et nos destins liĂ© pur hasard ? un soupçon de magie... dans ce monde qui perd un peu de grisun peu de silence, avant qu'elle ne reprenneallumant mes yeux, mon cƓur, cette amour tendre que je lui porteune promesse diffĂ©rente de celle qu'offre les amours innocentspuis ce que je sais qu'elle la tiendra, que c'est grĂące Ă  elle, qu'encore mon cƓur batparce que j'ose compter sur toi, j'en ai besoin aussiet un regard vers le ciel, l'attente que les mots viennent Ă  moij'ai peur, maladroite, mais je sais qu'avec elle il n'y a pas de place Ă  la gĂšne les craintes s'envolent une Ă  une au rythme de ma respirationaccepter l'idĂ©e d'un nous, si belle promesseje ne veux pas le laisser fuir, j'en suis incapablele bonheur s'est arrĂȘtĂ© trop tĂŽt, je veux le retrouvermais je me vois comme un monstre, j'ai peur de lui faire malcomme Ă  toi Kohane, mais pourtant tout est si diffĂ©rentque se passe t-il donc entre nous ? pourquoi ne fuis-tu donc pas ?le voix se brise, persuadĂ©e d'avoir raisonpresque prĂȘte Ă  la voir partir alors mĂȘme que l'idĂ©e me semble si irrĂ©alisable et attachĂ©e tu sais qu'elle non plus tu ne saurais la laisser fuircomme Peter auquel tu es toujours attachĂ©ealors qu'il vaudrait sans doute mieux laisser partiril n'y a pas assez de place dans un cƓur pour y placertant de personnedu moins je crois, mais ne suis plus sĂ»re de rien Ă  prĂ©sentseulement d'une chosesi mon cƓur bat encore c'est sans doute grĂące Ă  toi. Kohane W. UnderlindenMDJ-GestionnaireHarryPotter2005 Re Promenons-nous dans les bois...Kohane W. Underlinden, le Lun 4 Sep - 2325 MusiqueLa prĂ©sence douce Ă  cĂŽtĂ© de est tout Ă  la fois aujourd'hui. Calme et paniquĂ©e, douce et violente comme une mer dĂ©chaĂźnĂ©e Ă  l'intĂ©rieure de son cƓur, ici et lĂ -bas. Elle ne sait plus oĂč elle est. Et moi, j'aimerais lui tenir la main lui dire tu es lĂ , avec moi, tu es lĂ , ne crains aux ailes coupĂ©s qui ne peut que sautiller, sautiller en piaillant de toutes ses forces au monde. Sautiller, n'aller jamais assez vite et trop petit pour que le monde le regarde avec attention. Trop fragile pour passer seul l'hiver. Il avait trouvĂ© un sourire, il avait trouvĂ© une paume de main rĂ©confortante, il avait trouvĂ© un foyer. Et, pour une raison bien personnelle, il s'est enfuit alors mĂȘme que ses ailes coupĂ©es ne le portaient toujours pas. Il s'est enfuit ; peur de blesser l'autre. Et c'est vers moi qu'il se tourne. Je pourrais te recueillir au creux de ma main, charmant oiseau blessĂ© de vie. Mais me fuiras-tu moi aussi ? Sautilleras-tu loin de moi, par peur de... peur d'un je-ne-sais-quoi ?Je ne veux pas que tu alors, si tu dois t'en aller, je veux pouvoir espĂ©rer que tu n'en ai jamais douter, je dois toujours fait confiance au Destin sur ce plan-lĂ . Je savais que tu reviendrais -ou que je aujourd'hui, cette promesse tient-elle toujours ?Lorsque nous nous sĂ©parerons tout Ă  l'heure, ta prĂ©sence sera-t-elle encore lĂ , dans l'atmosphĂšre, dans cette bulle qui m'entoure et m'enveloppe ? Ta prĂ©sence invisible sera-t-elle promesse de futures retrouvailles ?Je ne l'ai jamais rĂ©alisĂ©. Mais je crois. Que tu m'as perdu, oiseau sans te porterai dans l'hiver, Ă  travers le froid et la neige. Je te rĂ©chaufferai sous le givre. J'Ă©clairerai la nuit lorsqu'elle sera trop noire. Je soignerai tes plaies, panserai tes blessures. Mais, s'il-te-plaĂźt, moi, au moins, ne me fuis sais, non, en fait, tu ne sais pas, mais tu es apparue dans ma vie Ă  un moment trouble. Un moment oĂč plus rien n'allait. Un moment oĂč j'Ă©tais perdue. Comme nous Ă©tions Ă©garĂ©es dans les cachots. Une ombre qui se cherche et qui en trouve une es apparue dans ma vie Ă  un moment oĂč j'avais besoin de moment oĂč je vacillais, mes appuis se dĂ©litaient sous appuis Ă©taient si peu solides. S'Ă©vaporant dans la perdais Rachel, je me perdais moi, je perdais ma famille parfaite et rĂȘvĂ©e. ConfrontĂ©e subitement au dur monde adulte, un monde duquel j'Ă©tais Ă©pargnĂ©e jusque lĂ . Je tanguais et titubais dans le il y a eu les mains qui m'ont un peu rattrapĂ©e. Les prĂ©sences que je n'attendais pas et qui, pourtant, Ă©taient lĂ , solides, indĂ©fectibles. Il y a eu AsclĂ©pius. Puis il y a eu toi, Ellana, sƓur de douleur, belle Ăąme, bien aimĂ©e. Tu es apparue Ă  un moment oĂč les sentiment se faisaient la malle. Un moment oĂč plus rien ne m' en te voyant, fantĂŽme de la nuit, j'ai mon cƓur m'appartenait quoi qu'en dise les autres. MĂȘme si les autres tentent de le mĂȘler Ă  de foutus combines, d'histoires de titres et d'argent. Il ne l'auront pas. te voyant, j'ai si ma vie ne m'appartenait plus, mon cƓur, lui, resterait Ă  jamais en ma t'ai t'ai aimĂ©e. Je t'ai m'as tant appris !Et lĂ , aujourd'hui, tu me dis que tu as peur. De faire tu me demandes pourquoiPourquoi toi, moi, se passe alchimie des douleurs qui va bien au-delĂ  de la simple compassion ou de la simple familiaritĂ©. Alchimie des douleurs qui en vient Ă  crĂ©er quelque chose de nouveau. Quelque chose de plus beau. Bien au-delĂ  de la douleur. Qui contrebalance mĂȘme cette dĂ©chirure de l'Ăąme au couteau tendresse que je trouve chez toi. Dans ton me rappelle que le cƓur bat toujours un peu pour les affection que nous partageons sans t'aimeEt je sais dĂ©sormais que je peux t'aimer comme en aimer d'autre sans culpabilitĂ©. Car mon cƓur m'appartient. Il n'appartient Ă  personne d'autre. Pas mĂȘme Ă  toi, en fait. Pas entiĂšrement, du moins. Tu en dĂ©tiens une partie. Comme moi je dois possĂ©der une part du tien. Mais jamais dans sa vogues vers d'autres horizons, d'autres visages. Sans fais de c'est comme ça qu'on s' chacune Ă  voler dans l'hiver et se retrouver au sens sa voix se briser sur les derniers vague heurte le en mille et une gouttes qui s' sens ta peur, peut-ĂȘtre regrets te dire de courir, jusqu'Ă  t'Ă©puiser, courir aprĂšs les regrets pour les rattraper, les empĂȘcher de cavaler davantage. Choppe-les au vol ! Tords leur le trop dur de vivre avec des trop dur. De tourner la page vie est rendue lourde. Elle avance si lentement !Tu ne peux pas dire que tu aimerais cela et faire l' tellement terrible de vivre en sachant qu'on aurait dĂ» faire cela mais qu'en pleine connaissance de cause, on a choisi le chemin opposĂ©. Sans jamais rien y lĂšve les yeux vers la cime des bouffĂ©e d'air forestier rentre dans mes me sens si bien. Ici. Avec aurais-je peur ?J'ai surtout peur que cette belle promesse d'une relation en fil de funambule ne tienne pas. Peur qu'elle casse sous notre poids. Que toi, moi ou nous la brisions d'un coup de ciseau involontaire. Peur qu'Ă  nouveau, tout se fasse la sais, aujourd'hui, tu es, dans mon monde, une des seules choses stables qui me m'accroche Ă  toi comme Ă  un dernier point de repĂšre. Phare sur cette mer trop agitĂ©e qu'est ma ne fuis pas parce que je n'ai aucune raison de fuir, je rĂ©ponds en baissant de nouveau les yeux sur elle. Je ne fuis pas parce que je sais que tu n'es pas un monstre. Tu as seulement du mal Ă  t'accepter. Avec tes parts d'ombre et de lumiĂšre. Pourtant, on est tous comme ça. A la fois noir et blanc. Un coup noir un coup blanc. Et il faut l'assumer, parvenir, d'abord, Ă  l'accepter soi-mĂȘme pour ensuite parvenir Ă  contrĂŽler tout ça, apprivoiser ses dĂ©mons et se faire accepter des tends le bras, prends sa main dans la mienne, la tiens et la garde de sa peau contre la que c'est je t'aime comme ça, Ă  la fois ombre et lumiĂšre, fantĂŽme et humaine. A prĂ©sent, il faut que tu parviennes toi aussi Ă  t'aimer si tu refuses de le laisser partir, lui, alors tu n'as pas le choix. Cours. A moins que tu ne sois prĂȘte Ă  vivre avec un Ă©ternel poids de regret sur les yeux se perdent dans ses la secondes. dois rĂ©apprendre Ă  voler, oiseau blessĂ©. Ne laisse pas les lames plus profondĂ©ment plantĂ©es en toi. Retire-les comme on retire une grosse Ă©charde. Et peut-ĂȘtre que la premiĂšre Ă©tape pour pouvoir les retirer, c'est te mettre Ă  je lĂąche sa corps se me mets Ă  la aux cette position si fiĂšre et position que j'aime parce que je refuse dĂ©sormais de mordre de nouveau la poussiĂšre. BlessĂ©e sans rien pouvoir lui tends la main. Pour qu'elle s'en saisisse de nouveau. Et la premiĂšre Ă©tape pour voler, c'est d'arrĂȘter d'ĂȘtre au sol. Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Sam 30 Sep - 1026 MusiqueDĂ©solĂ©e pour le retard Mes yeux ont tant croisĂ©, des millions d'Ă©toiles, de regard offerts, jetĂ© Ă  la sur chaque ĂȘtre j'ai posĂ©, un nom, un souffle, comme mes yeux pouvaient les voir, les aimer, fĂ©e, ange ou papillon. Et je n'ai pas rĂ©ussit, Ă  la dĂ©crire en un mot, lui faire trouver sa place dans une unique appellation, parce qu'elle est trop, juste parfaitement tout - soupir - l'odeur douce des bois qui flotte en une ronde autour de moi, et cette fois je suis battements d'un cƓur perdu qui se demande encore pourquoi il ne parviens pas Ă  rester de marbre, fissurĂ© Ă  tant d'endroit, de coups des autre, de coups de moi. S'oublier Ă  trop se voiler la face, je ne sais lus qui je suis rĂ©ellement, les masques tombent et avec elle je redeviens une enfant. Cette amitiĂ© amoureuse qui consume ma peur, entre tes bras je n'ai jamais y a une Ă©tincelle dans ton douce passerelle qui me fait passer de l'autre cĂŽtĂ© du dans cette forĂȘt, hors du temps, loin des le silence d'un toi, pour nous, je vis... Je vois, au fur et Ă  mesure que te paroles viennent rĂ©sonner contre mes tympans, la beautĂ© du trĂ©sor que tu caches comme une perle Ă  l'intĂ©rieur de toi. Alors que dans tes cernes je peux voir, la douleur de ton existence qui pĂšse de plus en plus sur tes Ă©paules, pourtant tu t'envoles encore plus lĂ©gĂšre qu'avant. Je ne sais comment tu fais Kohane, explique-moi s'il te plait... La vie, la peur, l’oubli. Je voudrait ĂȘtre aussi forte, relever la tĂȘte et me battre, tu penses que c'est possible ? Alors que mes doigts frĂȘles trembles autant que mon sourire ? J'ai envie de voler, avec toi, contre toi, m'oublier un peu plus dans cette douceur que tu poses tout contre ma douleur, changeant le sud et le nord de leurs places respectives, me perdant pour mieux me brille. Mes yeux contemplent sans se lasser cette flamme qui Ă©mane de son ĂȘtre comme capable d'Ă©clairĂ© le monde tout entier. Je suis sĂ»re que mĂȘme au plus profond de l'enfer sa douce lumiĂšre resplendirait toujours, Ă  mes yeux en tous cas, j'ai perdu depuis longtemps de vue un quelqu'un but, aujourd'hui mon cƓur entier ne souhaite plus que de rester Ă  ses cĂŽtĂ©s pour encore profiter de sa chaleur, sa tendresse, son amour qu'elle parvient Ă  me donner sans long discord. Parfois les paroles sont inutiles, futiles et pourtant... Avec toi il n'y a pas besoin de parler, je peux comprendre, d'un seul regard, ce qui nous lie, la raison de ta prĂ©sence ici mais j'aime entendre ta voix qui chante une mĂ©lodie Ă  mon cƓur meurtri, croire la vĂ©ritĂ© de tes tirades qui m'emporte dans un autre monde plus doux, plus Ă  suis petite fille malade, d'une robe blanche d’hĂŽpital, un masque sur le visage. J'ai peur de lui faire du mal, peur de la contaminer mais c'est elle, qui d'un geste dĂ©licat viens dĂ©lier mes lĂšvres, m'enlevant cette protection inutile Ă  ses yeux. Je ne suis pas malade. Et si je doit mourir, si je dois m'Ă©teindre, alors je veux le faire Ă  tes cĂŽtĂ©s, sentir ton regard chargĂ© d'Ă©tincelles et m'en aller d'un dernier "je t'aime". Je veux poser une main sur ton cƓur pour le sentir battre Ă  mille Ă  l'heure, me dire que nos Ăąmes croisĂ©e on si bien fait de se trouver. Au cƓur d'un forĂȘt oĂč, tu sais, le loup Ă  tant hurler son amour Ă  la lune. Comme j'ai fait signer de l'encre aprĂšs toi pour Ă  nouveau pouvoir me perdre Ă  ta voix, te mains, ton tout. Je ne suis plus rien sans toi...C'est un rĂȘve comme posĂ© sur la rĂ©alitĂ©, l'impression de renaĂźtre alors que les aiguilles se sont ne sais plus rien, perdue dĂ©boussolĂ©e, les sentiments se battent en moi sans que je ne puisse envie, besoin aussi peut-ĂȘtre, de trouver la clef, de choisir la bonne porte et d'y entrer, ta main dans la je t'aime, comme une Ă©vidence, sans mĂ©fiance, juste une derniĂšre suis folle, peut-ĂȘtre dĂ©rangĂ©e, je ne sais trop bien. Le cƓur partagĂ© entre tant de personne et ses paroles qui doucement se collent Ă  mon Ăąme pour m'assurer qu'Ă  courir je pourrais tenter de la rattrapĂ©, se retourner, regarder en arriĂšre comme de tout façon bien incapable de faire quoi que ce soit d'autre, j'ai laissĂ© au passĂ© une partie de moi que je ne peux pas me rĂ©soudre Ă  abandonner. Une volontĂ© qui ne me permet simplement pas de baisser les bras, Ă  moins que ce soit simplement par et blanche... DĂ©sĂ©quilibre pourtant alors que je me sens une main qui me lĂąche, je perds pied, la peur de l'effondrement me prend Ă  la gorge. Non... Tomber pour mieux se relever et ses doigts vers moi se tendent alors que le soulagement se fait si puissant en moi. Sans hĂ©sitation j'attrape sa main et me remet sur mes jambes, lĂ  Ă  ses cĂŽtĂ©s je souris. Pleinement, vĂ©ritablement, les yeux brillants posĂ© dans les siens. La chaleur de sa main me maintenant en vie, fait battre mon cƓur et me soulage, je suis ! Alors un pas, un second. Les pieds posĂ© sur le sol qui cherche Ă  rĂ©apprendre Ă  marcher. Le sourire presque enfantin collĂ© au lĂšvre alors que sa main m'empĂȘche de vais y arriver, courir. Plus loin, plus vite, heureuse. Et le regard qui se fait nouveau sur les bois qui me semblent tellement plus lumineux qu'il y a quelques instants. Ensemble... Alors le souffle court, battement de cƓur irrĂ©gulier. Les jambes se mettent Ă  marcher, de plus en plus vite, jusqu’à la sensation de l'envol, se perdre et se retrouver. Ce n'est plus une fuite, une traque, juste un Ă©lan de vie vers l'infini. Et sa main toujours dans la mienne alors que comme une comĂšte je file d'Ă©toile en Ă©toile. Puis doucement un arrĂȘt, les cheveux emmĂȘler vienne se mĂȘler aux siens, je me perds dans son regard, les joues un peu rosie par la brise et un doux rire qui rĂ©sonne dans ma tĂȘte. Mes mains viennent caresser sa joue et d'une envie incontrĂŽlĂ©e, incontrĂŽlable, mes lĂšvres rejoignent les sienne pour me perdre complĂ©tement. Cet infini...[Fin du RP ] GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mer 25 Oct - 1936 PV EnfantOuais comme ça, pasque j'crois que y'a un besoin Tu m'en veux pas hein ? Par contre c'paoufMusique pas obligĂ©eParce que les roulottes tournent, roulant sur la terre battue, avec leurs marchandises Parce que ça tangue, les aiguilles s'affolent, Ă  moins qu'il n'y en ai qu'une danse de la boussoleLe nord est parti au sud, empĂȘchant les neurones de s'y retrouver Au fond ça pue, nous sommes perdu dans la nature de la viePire que l'Amazonie, c'est une vĂ©ritable course folle qui est partout Et elle s'enfonce dans les bois, dans la vie, dans le puits Il n'y a plus de solutions Tout s'Ă©croule de partout, comme si on la dĂ©vorait Et elle est rapide pourtant, elle va de plus en plus vite au fil du temps qui s'Ă©couleLes arbres eux-mĂȘmes flanchent faces aux masses Aux tronçonneuses qui s'emparent de leurs vies Et malgrĂ© les appels Ă  l'aide, il y a cette solitude Elle cherche du rĂ©confortsEux-aussi Mais ils n'en trouvent pas Et alors que les couteaux s'emparent de la chair Qu'ils tentent tous de protĂ©ger Elle se voit tĂȘte dans le sol Battue Ă  coups de pieds En fixant le ciel, derniĂšre complainte sur le bout des lĂšvres J'ai envie de m'Ă©vaderLes Ă©paules les plus solides du monde finissent un moment par craquer D'abord il y a un Ă©clat dans ce verre si lisse et parfait Ensuite cela continue Un peu comme une coquille d’Ɠuf Au dĂ©part il faut taper Mais plus la carapace s’effrite, plus le reste est d'une simplicitĂ© enfantine Ă  enleverAu final il reste une trace Et on peut, oui, tout recoller, faire un puzzle, mais qu'est-ce qu'on est c~n si on croit que les traces vont partir Tout reste, quelque part, mĂȘme avec l'amnĂ©sie prĂ©coce parfois ou lointaine, l'alcool aussi Rien n'y fait, ce n'est que tout reculer, t'as beau essayer, mais ça fonctionne pas Mary en fait les frais, lĂ , titubante, enfolante, en se cognant contre les arbres Ping, pong, poufC'est compliquĂ© de garder la tĂȘte haute Une bouteille, oui, deux, elle en avait beaucoupY'a deux minutesC'Ă©tait la derniĂšreD'un Ă©lan de colĂšre, elle l'envoie valser sur un tronc voisin En s'affalant contre celui en face Puis se couche, ferme les yeux, les idĂ©es peu claires, les cheveux dans la boucheLes sanglots, la colĂšre, en venir Ă  maudire, Ă  aimer, Ă  espĂ©rer C'est fou, tout passe, les images filent, elle veut les attraperEn fait non, elle se trompe, il n'y a pas de Folie ici, entre ses doigts coulent la dĂ©raison Devenue ce qu'elle ne voulait pas Refoulant des pulsions qu'elle n'aurait jamais souhaitĂ© faire devenir rĂ©alitĂ©En se traĂźnant, elle ramasse, un de ces morceaux d'alcool brisĂ© C'est que ça fait mal Et elle hĂ©site, le tenant entre ses doigts Jouant avec Finalement c'est devenue une glace Pour observer un reflet cassĂ© Dans un morceau dĂ©capitĂ© Murmure dĂ©solĂ© ~ MĂȘme toi, j'ai rĂ©ussi Ă  te tuerD'un coup elle se prend pour la mort HĂ©site Ă  crever ses yeux HĂ©site Ă  tomber des cieux À jurer contre les dieux À manipuler les feux ardant Couper les sentiments brĂ»lants Torturer les mots chantants C'est brun, ce qui est entre ses doigts, poudreux, du sable ? Mais ça, elle le voit pas, c'est gris Bordel, ça veut pas se colorer un peuElle connait, une technique, se fracasser le frontHĂ©site, mais elle a trop mal, mal, mal AĂŻe Puis elle se relĂšve, un peu, pour continuer Tant qu'Ă  faire, elle ne voit plus, d'autres solutions, toujours continuer Mais oublie, et les morceaux s'enfoncent dans la plante de ses pieds Alors elle trace un chemin de sang IllusionnĂ© ? Malheureusement non Et alors que le rouge tĂąche le sol, se mĂ©langeant au couleurs d'automne Elle rage grogne crie Pour le coup il ne fait pas nuitIl reste quelque pas, elle sent la descente aux enfers Comme si, dans cette vaste nature il y avait des escaliers Mais HadĂšs ne se trouve pas au fin fond du chemin, Juste, rien, un vide infiniUn jour quelqu'un a dĂ©cidĂ© qu'au bout du monde on tombait Puis un autre, un imbĂ©cile, Ă  prouver qu'il n'y avait pas de finUn cercle, une sphĂšre telle est la TerreElle aimerait le trouver, lui Ce fĂącheux personnage qui s'est cru mieux que tout le monde Et mĂȘmes ceux d'avant, qui sont mortsPour les empĂȘcher de faire des dĂ©couvertes Sans se rendre compte qu'ils les avaient tous mener Ă  leur perte D'humanitĂ© ? Non, cela s'est passĂ© quelques milliers d'annĂ©es avant Mais de fin, de se dire que ouais, y'a plus rien Plus possible, plus maintenant FinalementUn, deux, trois pas Et elle se replonge entre les morts Se prenant pour un ange, battant des bras CrĂ©ant peu Ă  peu son cercueil, ici et lĂ  Vanille FleurySerpentard Re Promenons-nous dans les bois...Vanille Fleury, le Mer 25 Oct - 2023 J'faisais un certain MP et puis... C'est une pause, alors je fais ce que je veuxt'façon je fais toujours ce que je veux Tu es lĂ Au sommet__ de la folie ? Pas cette fois ci, elle plane doucement le regard vers le ciel sur une branche de vie et de perditionelle sourit, Ă©trange sensation les yeux se plissent, le cƓur vibre d'un Ă©clat nouveau et soudain elle oublie tout jusqu'Ă  son propre nom, elle a envie de tout recommencer, une page blanche un passĂ© inexistant il faut poser un dernier soupire avant de sauter dans le vide, les bras Ă©cartĂ©s, l'Ăąme battant aux oreilles d'un rythme doux depuis sa branche elle guette le monde, une main sur l'Ă©corce pour faire Ă©cho au sommeil de l'arbre qui de sa sĂšve figĂ©e lui chatouille encore dĂ©licatement les doigts, elle a les jambes repliĂ©es, sous elle dans une position Ă©voquant vaguement celle d'un oiseau, les cheveux lĂąchĂ©s dans un vent qui les ramĂšne entre ses lĂšvres sans qu'elle n'y prĂȘte la moindre attentiontrop occupĂ©e Ă  ĂȘtre simplement heureuse, c'est une voix qui lui a soufflĂ©e alors qu'en bas elle Ă©tait perdue ce matin, c'est une mĂ©lodie qui l'a prise par la main pour la guider jusqu'Ă  l'ancĂȘtre vĂ©gĂ©tal puis elle est montĂ©e, contre le tronc nouĂ©e, elle s'est accrochĂ©e, comme un cĂąlin dans un refrain, elle n'a fait qu'unses pensĂ©es ont virevoltĂ©, dansĂ© et se sont perdue dans les feuillages dĂ©plumĂ©s, elle s'est fait une couronne de feuille posĂ©e sur ses mĂšches dĂ©colorĂ©es et a attendu longtemps encore elle guette, sans savoir quoi, sans mĂȘme comprendre un quelconque pourquoi, elle est lĂ  parce qu'on lui a demandĂ© et que son cƓur a besoin de trouver une raison de battre il faut se concentrer, sur le balancement des branches que le vent fait siffler, sur les animaux qui avancent furtivement entre les bois sans penser ĂȘtre observĂ©, elle est restĂ©e une journĂ©e et une nuit puis encore quelques heures elle est devenue la forĂȘt, un de ses trĂ©sors, un de ses secrets et maintenant elle cherche le bonheur les doigts pianotent doucement sur le vieil ĂȘtre pour chasser les fourmis qui s'y sont installĂ©e, les forcer peut-ĂȘtre Ă  aller rejoindre une autre colonie qu'elle devine en bas mais celle ci sont invisible alors Ă  quoi bon elle a les pieds nus, se sont ses yeux qui le remarquent en premier en regardant au lieu d'observer parce que le dĂ©tail futile n'a pas d'importance elle n'a pas froid c'est lui qui tiens chaud encore pour un petit moment puis en bas ce sont des plaintes qui parviennent aux oreilles devenues ultra sensible Ă  force de silence, une voix qu'elle connait plus que bien, un timbre qui rĂ©veille en elle l'affection affolĂ©e qu'elle ne peut plus dĂ©verser, alors elle oublie et elle descend sous ses pieds les feuilles ne font plus de bruits, quand elle la voit de dos, elle la trouve jolie puis elle s'avance et pose ses doigts chauds et froids sur les lĂšvres de la mourante approchant son murmure de ses tympans enfin lĂ  ses doigts dans les siens quand elle la tourne vers elle comme une danse Ă  deux, une danse d'amoureux, puis elle lĂąche et recule__ observe avant de se rendre compte de son Ă©tat et ses cheveux se cachent derriĂšre ses oreilles la laissant respirer dans sa petite robe autrefois blanche aujourd'hui verte, sa peau et ses ongles sales comme ses cheveux emmĂȘlĂ©s de feuille, imprĂ©gnĂ©e de l’essence forestiĂšre comme dans un rĂȘvepeut-ĂȘtre que bientĂŽt il sera temps de se fondre dans un arbre et de fermer les yeux pour avouer tu prends le mauvais chemin et reculer d'un pas avant de tendre les doigts aux veines emplies de sĂšve viens avec moi ce sera bien, on peut dessiner demain et une mĂ©lodie qui s'Ă©chappe des lĂšvres, une musique sans paroles fredonnĂ©e sans trop savoir si la raison comprend, si la raison existe, si elle s'ignore qu'importe... GaĂ«lle PanyellaSerdaigle Re Promenons-nous dans les bois...GaĂ«lle Panyella, le Mar 31 Oct - 1729 Une infinitĂ© de pardonsDes bribes de chansonsEt un LALes traits se dessinent, sur le sol, la forme d'un corps meurtri a tendance Ă  se laisser marchanderMalheureusement loin d'ĂȘtre argile, elle s'effacera plus vite que si elle l'avait Ă©tĂ© Un peu comme sa prĂ©sence, une Ă©phĂ©mĂšre, tout le monde l'est, chaque chose, mĂȘme le soleil Si rapide, si lent, le fleuve s'Ă©coule, la vie aussi, puis on tombe Ă  cĂŽtĂ© de la plaque Certains essayent de retourner sur le radeau, les morceaux de bois sont rĂ©parables, tout commence avec un tronc Puis le monde ne s'est pas fait en un jour vous savez, alors les courageux ont tendance Ă  ĂȘtre sauvĂ©sIls s'accrochent, telles des sangsues Ă  la moindre brindille, puis les plus forts vont s'amuser Ă  piquer celle des autres Quant Ă  certains, ils s'habitueront au milieu pour finir naĂŻades Puis d'autres couleront, un peu comme elle, sur ce sol automnale Ă  attendre quelqu'un Ou une apparition Pour fuir ~ oĂč ? ~ Nul part ~ dans un lieu curieux ~ qui ne l'est pas ~ conclusion ~ ça ne sert Ă  rien ~ au final ça fait du bien ~ de se croire mourir, de s'imaginer dĂ©chĂ©ance Parce que mĂȘme quand c'est pas le cas, on se sent sans importance, puis la culpabilitĂ© c'est peut-ĂȘtre juste ne pas assumerNe plus ĂȘtre c'est ĂȘtre remarquĂ© parce que peu peuvent le prĂ©tendre, c'est juste une autre version de la mort ?Elle ne sait pas, elle veut ĂȘtre seule, dans ses/ces nuages de solitude, ouais ça existe, c'est comme çaUne morsure de soi-mĂȘme, un venin translucide qu'on ne voit pas se rĂ©pandre dans les veinesCaresse sur le bout de ses lĂšvres, envie de mordre mais reste muette, Mary s'attache Ă  ce doux contact, jamais elle n'aurait pensĂ© Ouvrir les yeux, puis voir, mais pourtant ne pas reculer, trop voilĂ©e, maintenant elle s'Ă©tonne de trouver dommage que la lame n'aie pas rĂ©ussi Ă  tourner la page de sa vie Alors elle respire, lorsque les yeux se croisent, sans s'Ă©loigner plus jamais plus envie, demande de rester avec cette petite fille Au final toutes deux ne sont qu'ombres, trop restĂ©e dans le Neverland pour pouvoir avoir envie de revenir, la tĂȘte toujours lĂ -bas, le corps complĂštement mĂ©tamorphosĂ©Elle laisse donc faire, quand les doigts se touchent, quand elle se relĂšve, n'Ă©coutant plus la raison, il y en a plus de toute façon, alors voilĂ , avec la meurtriĂšre vipĂšre, qui n'est rien d'autre aujourd'hui qu'une chimĂšre au visage d'angeEt cette promesse tentante aux odeurs allĂ©chantes dessiner demain ~ et pourquoi pas aujourd'hui ?EntremĂȘler les doigts, descendre la pente, suivie et menant, suivant et menĂ©e, on ne sait pas, au final c'est peut-ĂȘtre ce fil Invisible De la vie Qui les malmĂšne Sur la route, traçant encore et encore sur les feuilles mortes Devenant vie en nourrissant Puis les plaies s'infectent et cicatrisentEt elle serre, sur cette pression, ses serres d'aigle enfoncĂ©es dans la peau sans pour autant laisser un sillon Juste un soutient, une bouĂ©e de sauvetageSuivi d'un arrĂȘt, qui laisse percer l'espoir, avec un goĂ»t amer dans le fond de la gorgeY'a un chat pas net qui y est restĂ© enfoncĂ© Elles vont y remĂ©dier ~ Tu te souviens, du monde parfait d'eau et d'espĂ©rance ? ~Penchant la tĂȘte Ă  droite, elle voit comme image floue, de sa haine et des hĂ©sitations Tanguant sur un bateau-chaise, la serpentard Ă©tait mal, puis elle n'a fait qu'empirer avec joie et dĂ©dainAlors que l'intention Ă©tait noble Mary ramasse une brindille, la tend Ă  l'autre, avant de s'en trouver une, puis la jette dans le videL'inconnu LĂ , entre toutes ces branches Comme une promesse d’allĂ©gresse et de tendresse Comme un recule vis Ă  vis des faux-semblants et des truands ~ On voulait ĂȘtre dans ce lieu oĂč nous Ă©tions copines toutes les deux ~L'oiseau l'enfant et la chĂšvre qui s'amusent avec le crocodile, la vache et les abeilles~ Finalement j'ai un peu tout gĂąchĂ© ~Tout serait diffĂ©rent si elle n'avait pas Ă©tĂ© si faible et insignifiante lors de leur premiĂšre rencontreLa marche aux flambeaux des remords se donne une allure de ribambelleLes enfants tournoient, mains dans la mains, entre les chaises, les obstaclesNe se dĂ©faisant pas de la joie qui allume leurs visages Insignifiants, ils ne voient rien~ Tu veux ĂȘtre aveugle avec moi ? ~ Re Promenons-nous dans les bois...Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
cd : Promenons-nous dans les bois Jean-François Alexandre TirĂ© de : Chansons et Comptines de notre Enfance MatĂ©rialisation des arbres de la forĂȘt avec des plots + bĂątons + sacs matĂ©riel du loup Temps 1 : Dans la salle de jeu Cette sĂ©ance sera jouĂ©e plusieurs fois.
UFe8.
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